dimanche 24 novembre 2013

OMAR

14e séance avec débat











   Avec leurs organisations ou leurs associations respectives, celles qu'on avait annoncées (Solidarité internationale, Francas, Palestine 18, commerce équitable), et celles qu'on a découvertes comme le Mouvement pour la Paix ou le Forum social, et toutes celles dont je n'ai pas retenu le nom, mais qui peut-être nous adresseront leurs coordonnées afin que nous puissions combler cette lacune.

Et Nadia, véritable association à elle seule puisqu'elle représentait de ce côté-ci de l'Atlantique toute l'importante famille américaine des Zuaiter, omnipresente au générique du film.

Le représentant de Solidarité internationale nous présente le film à côté du représentant des Francas.



Au nom de Palestine 18, Francis situe l'intrigue du film de dans le contexte local.


La voix de Nadia n’a pas tremblé. Elle a parfaitement communiqué à la salle toute la sympathie qu'elle avait à l'égard du film, ainsi que son désir de lui voir faire une belle carrière en France   (Après avoir déjà-de connu de nombreuses récompenses critiques internationales). 

Etant donné la compétence des divers intervenants, le public a beaucoup appris au cours de cette soirée.


Une des informations distribuées qui rappelle le cadre de notre séance :




     
L'association MEDINA fête ses15 ans d'existence. Nous relayons la communication de Willy qui était présent à notre soirée :


MEDINA, association de solidarité internationale soutenant les populations des pays en conflit intervient particulièrement dans les zones où les grandes ONG sont pas ou peu présentes.
Je suis administrateur de cette asso qui fête ses 15 ans en novembre 2013.
Pour la soutenir, prenez le temps de regarder les flyers recto-verso ci-joints:
- Une expo de peinture de deux peintres venus soutenir Medina pendant le mois de novembre à la galerie Pictura à Bourges: vernissage vendredi 8 novembre à 18h30. Entrée libre.
- une conférence de Jean-Pierre Filiu sur la Syrie mardi 26 novembre à 20h30 salle des délibération du Conseil Général 18.
- Un concert au théâtre Jacques Cœur de Bourges le samedi 30 novembre à 20h30. Je peux vous vendre des billets (14€)!!

Venez aider une belle asso berruyère qui oeuvre en toute indépendance religieuse ou politique .
Allez sur son site: www.solidarite-medina.org







Ça s'est passé exactement comme ça:

leberry.fr



Pays de Vierzon

CHER  PAYS DE VIERZON  VIERZON     24/11/13 - 13H40

La projection du film  palestinien Omar a suscité le débat


Bassam Nasser et Nadia Essayan, deux Vierzonnais d'origine palestinienne,
ont échangé avec les spectateurs. - Petreau



Omar , film racontant le drame vécu par un jeune Palestinien engagé dans la résistance contre l’occupant israélien, projeté vendredi au Ciné Lumière, était suivi d’un débat bien nourri.
Vendredi, l'association Ciné rencontres était associée au collectif Monde solidaire du Cher, pour une soirée ciné-débat inscrite au programme de la Semaine de la solidarité internationale.
Le conflit israélo-palestinien en toile de fond
Avec en toile de fond le conflit israélo-palestinien, le film Omar (lire ci-dessous) , projeté en début de soirée, a suscité des échanges sérieux et passionnés. Le thème étant les droits de l'enfant, cette histoire d'amour entre deux jeunes que tout va séparer, a perturbé la soixantaine de spectateurs présents, parmi lesquels se trouvaient des militants de mouvements engagés pour la paix, pour la défense des droits de l'homme ou encore de l'action non-violence.
« On n'est pas dans le monde des Bisounours », a commenté Bassam Nasser, l'un des deux témoins Palestiniens d'origine, né au Liban, avec Nadia Essayan, dont des membres de sa famille jouent dans le film, notamment Waleed Zuaiter.
Membre de Palestine 18, Bassam Nasser répondait aux remarques sur le fait que la paix sans faire la guerre, devait encore avoir sa chance, malgré un contexte géopolitique qui s'est dégradé dans ce conflit datant de presque soixante ans. « À l'extérieur, bien sûr, toutes les manifestations pacifiques de soutien, ou l'appel au boycott des produits cultivés dans les colonies, c'est très bien. Mais de l'intérieur, ça ne suffit pas. » Il évoque « un système dont on ne sortira pas tant qu'il est basé sur la peur et la répression ». Le film, tourné à Nazareth, montre l'extrême violence, physique et psychologique, subie par des habitants qui ne sont pas libres, pourchassés dans des ruelles, encerclés dans des murs au tracé absurde séparant des familles, des voisins.
La manipulation exercée par l'armée israélienne sur les prisonniers palestiniens est glaçante. Les premiers spectateurs qui se sont exprimés se sont dits « sans voix ».
Rendez-vous. La Semaine de la solidarité internationale se termine aujourd'hui, avec la projection à 15 heures, du film Les droits de l'enfant en question, avec une expo-vente de produits équitables, salle Lacouture à Sagonne ; projection à 19 heures d' Enfants valises, Maison de la culture de Bourges (12 rue Clémenceau), suivie d'un débat.











Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire