samedi 28 juin 2014

DANCING IN JAFFA

40e séance avec débat
(dernière séance de la saison 2013-2014)



en partenariat avec 



DANCING IN JAFFA

Documentaire américain et israélien de Hilla Medalia. (2013 - vostf - 1h24)






Né à Jaffa en 1944, Pierre Dulaine quitte son pays avec sa famille en 1948 pour s’installer à l'étranger. Après une carrière internationale accomplie de danse en couple, Pierre retourne à Jaffa pour réaliser son rêve : faire danser ensemble des enfants juifs et palestiniens.
Un témoignage touchant, drôle et joyeux montrant comment la culture peut faire exploser les barrières plus fortement que les discours.


mardi 24 juin 2014

Vous allez voir Dancing


40e séance avec débat
(dernière séance de la saison 2013-2014)





DANCING IN JAFFA

Documentaire américain et israélien de Hilla Medalia. (2013 - vostf - 1h24)




lundi 23 juin 2014

Films Option cinéma


PRESENTATION DES FILMS DE FIN D'ANNEE SCOLAIRE

JEUDI 26 JUIN 2014
     A  17 H 45




Nous avons la chance à Vierzon d’avoir un lycée avec une Option cinéma où se transmet une solide culture audiovisuelle, aussi bien théorique que pratique.

Les liens sont évidents et historiques : les créations du Ciné Lumière, de l’Option cinéma du lycée Edouard Vaillant et de l’association cinéphilique Ciné Rencontres sont concomitantes.

dimanche 22 juin 2014

TOUT EST PERMIS

39e séance avec débat
(pénultième séance de la saison 2013-2014)








TOUT EST PERMIS

Documentaire français de Coline Serreau. (2013 - 1h36)




Le permis de conduire à points est instauré depuis plus de 20 ans .
Véritables lieux de mixité sociale et culturelle, les stages de récupération de points sont l’occasion pour les auteurs d'infractions d’y exprimer leur révolte mais aussi de se raconter. Les nombreux témoignages et images recueillis par Coline Serreau lors de ces stages, dressent un portrait tragi-comique de notre société où l’individualisme et les petites habitudes de chacun mettent en péril le bonheur de tous.

CINÉ-DÉBAT VENDREDI 20 JUIN à 20h30

mercredi 18 juin 2014

Dans le rétro








Toujours regarder dans le rétro, pour mieux aller de l’avant !




            C’est une nouvelle rubrique, qu’il nous fallait bien ouvrir un jour ou l’autre, et dont l’occasion se présente maintenant, à la fin de notre saison 2013-2014 : voilà presque un an que notre blog existe, ce qui est peu et beaucoup à la fois.


NOCES EPHEMERES 
de REZA SERKANIAN



            Ciné-Rencontres : c’est toujours des rencontres, au moins avec les films, au moins avec le public. Mais, ce qu’il nous est impossible d’oublier, ce sont les rencontres avec les réalisateurs des films présentés. Et toujours, nous tenons à leur faire savoir que nous serions très heureux de les recevoir à nouveau dans notre salle. C’est pourquoi nous ne manquons jamais de leur demander s’ils ont des projets. Qu’on ne se méprenne pas : ça ressemble à un service après-vente, mais ce n’est pas un service après-vente. Le mot ne nous conviendrait pas. Il s’agit plutôt d’un service de continuité dans la fidélité, voire dans l’amitié. Dommage, il existe des préfixes pour dire avant et après, mais pas pour traduire la permanence. Inventons-en un pour l’occasion : il s’agit donc de semperfidélité, de semperamitié. Ça sonne un peu comme « super » : ce n’est pas si mal.
            Or il se trouve que Francis vient de nous faire savoir que Reza Serkanian a des projets. Reza Serkanian ne figure pas dans les archives de notre blog commencé fin 2013, étant donné qu’il nous a rendu visite début 2012. C’est loin ? Il nous semble au contraire que c’était hier, et nous sommes presque étonnés qu’il n’ait pas pris place dans notre créneau récent. Cette rubrique que nous inaugurons est un peu une façon d’y remédier, et nous espérons qu’elle sera nourrie de beaucoup d’autres réalisateurs qui viendront nous donner des nouvelles de leurs créations en cours, et - pourquoi pas ? - songer de nouveau à venir les présenter chez nous, au Ciné-Lumière de Vierzon.

            Nous ne tenions pas d’archives informatiques en ce temps-là. Cependant, en cherchant bien, j’ai retrouvé le bilan de la saison 2012 fourni au Berry républicain. En voici donc le début, jusqu’au premier paragraphe :


Les vacances sont là, et c’est le moment de faire le bilan des activités depuis le début de l’année, et surtout d’envisager les projets pour la rentrée.

LE BILAN

A la toute fin 2011, l’événement marquant fut la venue de Robert Hebras, le survivant, pour le film Oradour qui a touché un grand nombre de scolaires. Depuis, avec 11 animations en 6 mois, et compte-tenu des congés, le rythme de 2 animations par mois a été tenu. On se souviendra particulièrement de la venue des réalisateurs Reza Serkanian (Noces éphémères, l’Iran au quotidien), Lucas Belvaux (38 témoins, un crime à New-York) et Luc Leclerc du Sablon (Au prochain printemps, la France de la campagne présidentielle 2007). Mais ont également eu leur importance, grâce notamment à la présence de témoins très impliqués, des films comme Tous au Larzac, Les nouveaux chiens de garde, ou Marta, Marcy, May, Marlène, lequel, traitant de l’emprise des sectes, devrait même faire l’objet d’un rendez-vous ultérieur avec le spécialiste départemental de la question.

Eh oui, c’était le temps où nous avions une programmation bi-mensuelle (ce qui n’était déjà pas si mal !), avant que sous l’impulsion notamment de John nous passions à une séance hebdomadaire régulière, ce qui nous permettra de compter le nombre rond (c’est le hasard, mais il fait bien les choses) de 40 films pour notre saison 2013-2014.

            Sur le site du Ciné-Lumière, j’ai également retrouvé un article de présentation du film, ce qui est bien commode pour s’assurer de la date précise de la séance. Je pourrais me contenter de reproduire le lien qui y conduit, mais on perdrait le contenu s’il venait à être effacé. Deux précautions valant mieux qu’une nous nous l’approprions ici, à la fin de cette page, pour mieux rafraîchir et assurer nos souvenirs. Simple nostalgie superstitieuse ? Non : c’est au contraire une façon de mieux accueillir l’avenir.

            Si nous n’avons pas de trace écrite, nous avons des souvenirs. Forcément de bons souvenirs. Bien que dans un registre différent, nous pourrions reprendre ce que nous avons dit du film de Philippe Muyl que nous venons de recevoir. La Chine depuis Voltaire, la Perse depuis Montesquieu, sont pour nous des modèles d’exotisme, mais d’un exotisme si proche de nous qu’il nous permet d’interroger nos propres mœurs. L’intérêt de ces comparaisons ne se dément jamais. Sera-t-on frappé par les ressemblances ? On se réjouira alors de constater le caractère universel des coutumes humaines. S’étonnera-t-on au contraire de ce qui nous semble si lointain – Comment peut-on être Persan ? -, et on sera tout heureux d’apprendre quelque chose qui nous dépayse et que nous ne soupçonnions pas une minute auparavant. Tout le monde y gagne, le public, le réalisateur, et en fin de compte le film.

            Là encore nous arrivions avec quelques connaissances et beaucoup de préjugés. Nous savions par cœur les statistiques fournies par Journalistes sans frontières, par exemple, et nous devinions des vies dures et tristes. 

         Il fallut toute la patience et toute l’expérience vécue du réalisateur pour nous rendre sensible ce paradoxe : tout ce que nous savions n’était pas forcément faux, mais les gens ne vivent pas fondamentalement autrement que nous par ailleurs, connaissant beaucoup plus souvent que nous pourrions le croire des joies et des peines comparables aux nôtres. Avec la Chine, Philippe Muyl nous a rendu sensible et concret un paradoxe assez semblable.

          L’astuce, la débrouillardise, l’intelligence du quotidien sont sans cesse sollicitées et font souvent merveille. Là aussi, l’héroïsme des gens humbles s’accompagne souvent d’humour. Autre motif de rapprochement : l’importance des connaissances, pour ne pas dire des amitiés, qui peuvent débloquer, sur la marge des règlements, les situations a priori les plus inextricables. Ainsi le fonctionnaire qui permet l’enterrement du grand-père, comme, dans Le promeneur d’oiseau, le contrôleur du train qui ferme les yeux pour aider son ami.


            Nous avons par la suite, début 2013, présenté des films qui pouvaient eux aussi supporter le rapprochement. Nous n’avions pas alors les réalisateurs avec nous (ce ne peut pas toujours être le cas), mais nous avions toujours fraîchement en mémoire les informations précieuses de Reza Serkanian, et nous étions spontanément tentés de les transposer, à quelques nuances près, en Arabie saoudite ou en Afghanistan.
            Bref ce fut une soirée riche, une soirée comme nous les aimons et comme nous aimerions en avoir encore plus souvent, une soirée chaleureuse, utile et agréable. C’est un bon souvenir que nous avons grand plaisir à raviver ici. Pas seulement pour le plaisir de la nostalgie. Mais nous l’avons déjà dit…



Le rôle capital des femmes, dans le film comme dans la société.
(
Mahnaz Mohammadi, émouvante et forte à la fois).


 Les films suivants, 
pour lesquels ont aurait bien aimé une expertise de la même qualité.



Wadja, d’Haifa Al Mansour, 
film saoudien - allemand avec Waad Moahammed (la petite fille à bicyclette), 
6 février 2013.





Syngué Sabour – Pierre de patience, d’Atiq Rahimi, 
film français - allemand - afghan avec Golshifteh Farahani (forcément sublime), 
20 février 2013.



Voici comme promis la présentation de l'époque sur le blog du Ciné-Lumière. 
(A l'époque, nous commencions nos séances une demi-heure plus tard.)


Reza Serkanian, réalisteur iranien présente "Noces Ephemeres" Vendredi 17 Février à 21h

14 Février 2012

NOCES EPHEMERES
Film franco iranien de Reza Serkanian avec Hossein Farzi-Zadeh, Mahnaz Mohamadi, Javad Taheri... (1h18)


séance exceptionnelle en présence de Reza Serkanian, réalisateur du film Vendredi 17 Février à 18h au Palace de Romorantin et à 21h au Ciné Lumière de Vierzon avec Cinérencontres.


Une société qui étouffe les désirs et les aspirations individuelles. Une relation entre le jeune et fougueux Kazem et sa belle-sœur Maryam. Une ville iranienne où se pratique une coutume étrange : le mariage à durée déterminée.

Noces éphémères de Reza Serkanian : on ne badine pas avec l'Iran ?  

Il y a du Shakespeare et de la farce dans le premier long-métrage de Reza Serkanian. Ses Noces éphémères distillent de façon insidieuse le parfum réjouissant de la ruse. Celle, d'abord, de son cinéaste, qui a décidé de tourner dans son pays natal, et donc de jouer au chat et à la souris avec les censeurs iraniens.
 Un satyre surgit devant le portique d'une maison et nous entraîne dans une danse loufoque à travers les arabesques et les bassins d'une cour intérieur. C'est Aziz ( Javad Taheri, formidable Scapin), le père de famille, qui ravive la coutume des vagabonds costumés divertissant les villageois en échange de l'aumône. Poursuivant ses deux garçons, il met en scène son autorité dans un charivari plein de fantaisie.

La maisonnée dans laquelle nous pénétrons est pourtant régie par les femmes et la tradition qu'elles orchestrent dans une comedia dell'arte permanente. La vie quotidienne va se trouver chahutée par une suite d'évènements majeurs : la circoncision des deux petits, le retour de l'armée du fils bien-aimé, Kazem ( Hossein Farzi Zadeh), l'annonce de ses fiançailles avec Effat (Soheyla Kashef Azar), reportées par la mort inopinée du grand-père Hadji ( Dariush Asad Zadeh). Cette plongée intimiste dans une famille modeste est d'une authenticité rare et déroutante, parce qu'elle montre des êtres libres, jouant à composer avec les coutumes de leur pays et les drames de leur existence.
 Quelle heureuse impertinence dans l'ascendant que la mère de famille exerce sur son mari ! Le couple ne se parle pas directement mais use d'un langage métaphorique et des potentialités dramaturgiques du décor pour vivre son mariage. Ainsi, quand la femme n'est pas d'humeur à accomplir son devoir conjugal, elle le signifie à son mari en déplaçant sa couche auprès de la fenêtre. Celui-ci savoure, à l'inverse, la promesse d'une union charnelle quand son épouse lui demande de fermer la fenêtre! Ce vaudeville iranien se poursuit avec la cour que Kazem fait à Effat, à la faveur d'un marivaudage organisé autour d'un escalier central et de portes dérobées d'où surgit la belle pour échapper à son damoiseau.
 Après ce huit-clos feutré, le film s'ouvre à l'inconnu et au danger, par une sortie vers une ville de pèlerinage, où pourrait être enterré le grand-père. C'est dans cette seconde partie flottante que Reza Serkanian dresse à demi-mots le portrait brumeux d'un Iran incertain, où mollahs et policiers brident les inclinations vitales des citoyens. L'intrigue est alors prise de vertige, suggérant l'amour naissant et réprimé entre Kazem et Mariam ( Mahnaz Mohammadi), une jeune femme qui s'apprête secrètement à quitter son pays pour gagner l'Europe. Si cet éclatement narratif peut sembler une faiblesse, il constitue la force même de ces Noces éphémères, le point de fuite et d'interrogation d'un pays qui confesse sa fragilité comme un appel poignant murmuré à notre oreille.
 Par Elodie Vergelati




( Pour voir le retour de Reza Serkanian sur cet article : )















mardi 17 juin 2014

Vous allez voir Permis


... si vous ne regardez pas France-Suisse de football !...


39e séance avec débat
(pénultième séance de la saison 2013-2014)






TOUT EST PERMIS

Documentaire français de Coline Serreau. (2013 - 1h36)




Le permis de conduire à points est instauré depuis plus de 20 ans .
Véritables lieux de mixité sociale et culturelle, les stages de récupération de points sont l’occasion pour les auteurs d'infractions d’y exprimer leur révolte mais aussi de se raconter. Les nombreux témoignages et images recueillis par Coline Serreau lors de ces stages, dressent un portrait tragi-comique de notre société où l’individualisme et les petites habitudes de chacun mettent en péril le bonheur de tous.

CINÉ-DÉBAT VENDREDI 20 JUIN à 20h30





 Que ceux qui ne se sentent pas concernés lèvent le doigt!



Les stages de récupération filmés par Coline Serreau

Dans son film Tout est permis, la réalisatrice Coline Serreau (Trois Hommes et un Couffin) s'est penchée sur les stages de récupération de points, qui lui sont apparus comme de véritables lieux de mixité sociale et culturelle. Elle y a recueilli de nombreux témoignages et images qui dressent un portrait tragicomique de notre société où l'individualisme et les petites habitudes de chacun mettent en péril le bonheur de tous. Les auteurs d'infractions y expriment leur révolte ou se raconte, un peu comme dans une séance de psychothérapie générale. On y fait une intéressante plongée dans la mauvaise foi ou la surestimation de certains stagiaires, avec des remarques récurrentes du genre : « C'est quand même les autres qui font plus d'erreurs que moi », « Je ne téléphone pas au volant, par contre je réponds aux appels » ou « J'aime pas la vitesse, j'aime les accélérations ». Coline Serreau s'inspire d'une expérience personnelle, quand, contrainte de récupérer des points, elle a découvert la fragilité de la perception humaine : notre vision est souvent partielle, notre temps de réaction incompressible, le cerveau a du mal à se concentrer sur deux tâches à la fois, etc. Pour résumer, ce film pose le problème du partage de l'espace commun qu'est la route, donc au final celui de notre faculté ou non de vivre ensemble. Ce film a l'avantage de donner la parole à tout le monde, les spécialistes de la sécurité routière comme les défenseurs des automobilistes. En salle à partir du 9 avril... - MF Les Routiers(.com)




Les longs métrages de Coline Serreau :

1975 : Mais qu'est-ce qu'elles veulent ? (documentaire)
1977 : Pourquoi pas !
1992 : La Crise
1996 : La Belle Verte
2001 : Chaos
2002 : 18 ans après
2014 : Tout est permis (documentaire)

2014 : Madame le maire (téléfilm)


Biographie

Fille de l'écrivain Geneviève Serreau et du metteur en scène Jean-Marie Serreau, Coline Serreau a fait des études de Lettres, fréquenté le conservatoire de musique, l’école du cirque d'Annie Fratellini (où elle apprend le trapèze). Elle a fait aussi de la danse classique et moderne.
Attirée par le théâtre, elle entre au centre de La Rue Blanche en 1968, elle est stagiaire à la Comédie-Française en 1969, avant de s'orienter vers l'écriture de scénarios pour le cinéma et le théâtre, et la mise en scène au théâtre, au cinéma et à l'académie
Shakespeare, As you like it, 1977

En 1975, elle se lance dans la réalisation cinématographique et connaît un vrai succès auprès de la critique en 1977 avec son second film Pourquoi pas !, qui réunit Sami Frey, Mario Gonzales et Christine Murillo et traite d'un trio amoureux composé de deux hommes vivant en couple et de leur amie commune.


En 1985, Trois hommes et un couffin apparaît sur les écrans de cinéma. Avec plus de 12 millions d'entrées, il compte parmi les records du nombre d'entrées pour un film français. Elle réalise ensuite Romuald et Juliette, La Crise (César du cinéma du meilleur scénario), La Belle Verte, Chaos, 18 ans après, Saint-Jacques… La Mecque et Solutions locales pour un désordre global en 2010.
Elle a également joué dans de nombreux spectacles de théâtre qu'elle a écrits ou non : Lapin Lapin, Quisaitout et Grobêta (cinq Molières), Le Salon d'été et Le Cercle de craie Caucasien de Bertolt Brecht. En 2006, elle joue Arnolphe dans L'École des femmes de Molière, spectacle qu'elle a mis en scène au théâtre de la Madeleine. Elle a également mis en scène à l'Opéra Bastille Le Barbier de Séville de Rossini et La Chauve-Souris de J. Strauss.
Elle a été longtemps la compagne du metteur en scène de théâtre suisse Benno Besson, qui fut le codirecteur du Berliner Ensemble avec Bertolt Brecht.
Elle a composé la musique de quelques-uns de ses films et dirige la Chorale du cinéma des cinéastes.
Elle a été élevée au grade de chevalier de la Légion d'honneur le 14 juillet 2004 par Jacques Chirac.










dimanche 15 juin 2014

LA BELLE VIE

38e séance avec débat
(antépénultième séance de la saison 2013-2014)

Voir aussi l'article 
PRE-PROPOSITIONS MARS 14 
(30 mars 2014)











LA BELLE VIE

Film français de Jean Denizot avec Zacharie Chasseriaud (Sylvain), Nicolas Bouchaud (Yves, son père), Jules Pelissier (Pierre, son frère aîné)... 
Film tourné en Région Centre. (2013 - 1h33)




Yves vit dans la clandestinité avec ses fils, Sylvain et Pierre.
Il y a dix ans, il les a soustraits à leur mère à la suite d’une décision de justice. Mais les garçons grandissent et la cavale sans fin les prive de leurs rêves d’adolescents. Jusqu’à ce que Sylvain, le cadet, rencontre la belle Gilda : première étape sur la chemin de la belle vie, la sienne...
Un road movie à la française sur les bords de Loire, inspiré d’un fait divers.
Un joli film inattendu et délicat sur l'amour paternel, plein de promesses et qui aborde des sujets graves tout en restant dans le divertissement.

CINÉ-DÉBAT VENDREDI 13 JUIN à 20h30



jeudi 12 juin 2014

Pré-propositions juin 2014





De ce qui est présenté ici, rien n’est définitivement fixé, sauf précision contraire. C’est même la spécificité de cette rubrique.
Elle nous permet en tout cas de ne pas oublier, de montrer qu’on n’a pas oublié, et de faire connaître à tous ce qui nous a été proposé ou ce que nous avons envisagé nous-mêmes pour notre prochain programme.



mardi 10 juin 2014

Vous allez voir Belle vie



38e séance avec débat
(antépénultième séance de la saison 2013-2014)


Voir aussi l'article 
PRE-PROPOSITIONS MARS 14 
(30 mars 2014)









Soutien Ciclic 
(voir aussi site ACC dans la liste des sites associés à notre blog).





LA BELLE VIE

Film français de Jean Denizot avec Zacharie Chasseriaud (Sylvain), Nicolas Bouchaud (Yves, son père), Jules Pelissier (Pierre, son frère aîné)... 
Film tourné en Région Centre. (2013 - 1h33)



dimanche 8 juin 2014

LE PROMENEUR D'OISEAU

37e séance avec débat




CINÉ-DÉBAT VENDREDI 6 JUIN à 20h

(fin du débat au plus tard à 22h).
Ce ne fut pas tout à fait vrai, nous avons (un peu) débordé, pour profiter davantage de la présence exceptionnelle du réalisateur, et aussi en raison de la relativement faible représentativité des enfants dans la salle, un temps attribuée à la coquille du journal qui indiquait une séance une demi-heure plus tard que l'horaire prévu, puis par l'effet démobilisateur d'un weekend de Pentecôte donc prolongé, à moins qu'il ne faille incriminer que la trop faible publicité faite autour de cette soirée. Nous essaierons, comme disait le grand Eddy Merckx à chaque fois qu'il venait de laisser échapper une victoire, de faire mieux la prochaine fois!



LE PROMENEUR D’OISEAU
Film franco chinois de Philippe Muyl avec Baotian Li. (2013 - vostf et vf - 1h40)

Accompagné de sa petite fille, jeune citadine gâtée, Zhigen décide de retourner dans son village natal pour y libérer son oiseau, unique compagnon de ses vieilles années. Au cours de ce voyage aux confins de la Chine, dans une nature magnifique, ces deux êtres que tout sépare vont se dévoiler l’un à l’autre et partager souvenirs et aventures. La petite fille va découvrir de nouvelles valeurs, surtout celles du coeur. Tendre et drôle à la fois, évoquant l’intimité des relations parents-enfants dans des paysages époustouflants, et rappelant habilement quelques valeurs essentielles de la vie, ce film est une bien jolie balade.

LE FILM DU CONSEIL MUNICIPAL DES ENFANTS DE VIERZON

en présence de Philippe Muyl, réalisateur du film


samedi 7 juin 2014

Actu Juin 2014




Rappelons que nous consacrons cette rubrique ACTU à relayer des initiatives ou des messages ou des activités des adhérents de notre association.


REUNION CALIPAS AU CINE­ LUMIERE






lundi 2 juin 2014

Vous allez voir Promeneur



37e séance avec débat




CINÉ-DÉBAT VENDREDI 6 JUIN à 20h

(fin du débat au plus tard à 22h).









LE PROMENEUR D’OISEAU

Film franco chinois de Philippe Muyl avec Baotian Li. (2013 - vostf et vf - 1h40)

Accompagné de sa petite fille, jeune citadine gâtée, Zhigen décide de retourner dans son village natal pour y libérer son oiseau, unique compagnon de ses vieilles années. Au cours de ce voyage aux confins de la Chine, dans une nature magnifique, ces deux êtres que tout sépare vont se dévoiler l’un à l’autre et partager souvenirs et aventures. La petite fille va découvrir de nouvelles valeurs, surtout celles du coeur.
Tendre et drôle à la fois, évoquant l’intimité des relations parents-enfants dans des paysages époustouflants, et rappelant habilement quelques valeurs essentielles de la vie, ce film est une bien jolie balade.

LE FILM DU CONSEIL MUNICIPAL DES ENFANTS DE VIERZON


en présence de Philippe Muyl, réalisateur du film



Merci à Anaïs Desportes-Pannetier du Service Petite Enfance-Enfance-Jeunesse qui nous a fait parvenir les affiches :





http://www.ville-vierzon.fr/Cinema-Debat,1446




Berry républicain 3 juin 2014





LE REALISATEUR

Philippe Muyl est un réalisateur, scénariste et producteur français né le 30 mai 1953 (60 ans) à Lille (Nord).

Après son bac philo, et féru de dessin, Philippe Muyl étudie aux Arts graphiques en Belgique, puis à l'Ecole Supérieure de Publicité de Paris.

Il choisit de produire lui-même le film L'Arbre sous la mer, qui sort le 16 janvier 1985 avec Christophe Malavoy et Julien Guiomar. C'est un échec, et il lui faudra 8 ans pour rembourser ses dettes... 

En 1993, Alain Poiré, producteur chez Gaumont, lui propose d'adapter au cinéma la pièce de théâtre de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui Cuisine et dépendances. Ce sera son premier grand succès public.

Le papillon (2002) : Elsa, une petite fille délaissée par sa mère décide de suivre à son insu Julien, un septuagénaire passionné de papillons à la recherche d'une espèce toute particulière, l'Isabelle.

En 2011, l'extraordinaire notoriété de son film Le Papillon en Chine le conduit à entreprendre un projet du même type, mais spécifiquement adapté au marché chinois.

En 2012 il réalise YE YING (en chinois, 夜鶯 (pinyin yè yīng) : « rossignol » ; titre français Le Promeneur d'oiseau), tourné en Chine, en chinois, avec uniquement des acteurs chinois (Li Baotian, Li Xiaoran, Qin Hao). Après 11 Fleurs de Wang Xiaoshuai, il s'agit de la première coproduction franco-chinoise (Envision Film Pékin / Pan Eurasia France) et du premier film chinois réalisé par un Français. Distribué par UGC, Le Promeneur d'oiseau sort le 7 mai 2014 en France. En Chine, il sort le 15 mai 2014, distribué par Stellar. Le 8 mars 2014, le film fait la clôture du Festival du film asiatique de Deauville.


fiche :





Si vous ne connaissez pas encore...

MUHIHI ENSEMBLE CONSTRUISONS L'ECOLE





Description
Cette association a pour but de :
- favoriser la scolarité des enfants du village de MUHIHI et de plusieurs secteurs environnants, en classes maternelles et primaires - en accord avec l’Etat rwandais afin d’en obtenir l’aval et la reconnaissance administrative - ceci par tous moyens légaux d’accompagnement et de soutien matériel et financier réunis par l’association à l’intention des enfants et des parents
- apporter une aide pour l’alimentation des enfants par la construction d’une cantine et d’un jardin potager scolaire associant, dans ce travail de culture et d’entretien, les enseignants, les enfants et les parents.
- veiller à ce que ces actions s’inscrivent dans la durée et se développent en regard des besoins des enfants.
Afin de se doter de garantie de suivi et de vérification de la bonne utilisation des aides apportées – matérielles ou financières - l’association sera en lien permanent avec :
- les représentants de l’administration rwandaise, 
- les représentants locaux des « conseils de secteur »
- les « comités de parents engagés », 
- des personnes référentes choisies par l’une des co-présidentes, fondatrice de l’association et originaire elle-même de Muhihi.

En rapport avec Bourges :