(Précisions dans l'article du 1er avril) |
C'est les vacances, et il n'y a pas de séance Ciné-Rencontres avec débat pendant cette période. Mais Ciné-Rencontres est néanmoins présent avec ses films demandés et soutenus. Parmi ceux-ci (voir la page du programme MARS-AVRIL-MAI), on fera tout naturellement ici un sort particulier au dernier Leconte, étant donné les liens privilégiés entre ce réalisateur et notre Ciné Lumière.
UNE PROMESSE
Film de Patrice Leconte avec Rebecca Hall, Alan Rickman, Richard Madden.
Synopsis
Allemagne, 1912. Un jeune diplômé, d’origine modeste, devient le secrétaire particulier d’un homme âgé, patron d’une usine de sidérurgie. L’état de santé du patron se dégrade et lui impose de rester à domicile. Il y accueille le jeune homme pour travailler.
L’épouse du patron est une femme de trente ans, belle et réservée. Le jeune homme s’éprend d’elle, sans oser révéler ses sentiments. Dans le huis-clos de la demeure, couve cette passion amoureuse, sans geste ni parole, tout en regards et en silences.
Brusquement, le patron décide d’envoyer son protégé au Mexique, afin d’y superviser l’exploitation de mines de fer. L’annonce de ce départ provoque chez l’épouse une réaction désespérée. Le jeune homme réalise qu’il est aimé d’elle, lui aussi, en secret. Mais la présence du mari malade interdit à leur amour de s’accomplir ici et maintenant. L’épouse fait une promesse : au retour du jeune homme, dans deux ans, elle sera à lui.
L’épouse du patron est une femme de trente ans, belle et réservée. Le jeune homme s’éprend d’elle, sans oser révéler ses sentiments. Dans le huis-clos de la demeure, couve cette passion amoureuse, sans geste ni parole, tout en regards et en silences.
Brusquement, le patron décide d’envoyer son protégé au Mexique, afin d’y superviser l’exploitation de mines de fer. L’annonce de ce départ provoque chez l’épouse une réaction désespérée. Le jeune homme réalise qu’il est aimé d’elle, lui aussi, en secret. Mais la présence du mari malade interdit à leur amour de s’accomplir ici et maintenant. L’épouse fait une promesse : au retour du jeune homme, dans deux ans, elle sera à lui.
Le nouveau film de Patrice Leconte, parrain des Ciné Lumière
DU MERCREDI 23 AU MARDI 29 AVRIL
(1 seule semaine)
Adaptation
A l'origine : tournage en
allemand !
Dans
la langue de Shakespeare
Impasse
historique
Fin alternative
APRES L'AVOIR VU
De l'usage de l'art en réparation de guerre
Je rajoute ceci après les cérémonies du 11 novembre 2014, celles du centenaire.
Je ne pense pas un instant que l'intention de Patrice Leconte ait été d'édulcorer la nouvelle de Zweig. J'y vois plutôt l'intention de réparer, au moyen de l'art, les injustices de la réalité. Comme s'il ne se résignait pas à la tragique malchance qui a brisé le destin des deux amants dont le sort l'a profondément ému, et qu'au moyen de la magie du cinéma il leur offrait, dans la fiction cinématographique, la chance de concrétiser leur passion qu'il n'ont pas eue dans la fiction romanesque. Cette idée d'un créateur artistique, démiurge de son univers fictif, pris de tendresse pour des personnages eux-mêmes fictifs au point de leur offrir une seconde chance de bonheur, ne me déplaît pas.
Mer : 20:45
Jeu : 14:30 | 20:45
Ven, Mar : 18:00
Sam : 17:00
Dim : 17:00 | 20:45
Lun : 18:00 | 20:45
Jeu : 14:30 | 20:45
Ven, Mar : 18:00
Sam : 17:00
Dim : 17:00 | 20:45
Lun : 18:00 | 20:45
ATTENTION ! DURANT LES VACANCES DE PRINTEMPS AU
CINE LUMIERE LES SEANCES DE 18h SONT
A 5 EUROS SEULEMENT, PRIX REDUIT POUR TOUS !
Rebecca Hall (Rôle : Lotte Hoffmeister) et Richard Madden (Rôle : Friederich Zeitz) |
Stephan Zweig (1881–1942)
|
Le Voyage dans le passé (Reise in die
Vergangenheit) est une nouvelle
de Stefan Zweig
parue pour la première fois sous forme fragmentaire en 1929. La version complète
est retrouvée plusieurs dizaines d'années plus tard et éditée en 19761.
La première traduction française est due à Baptiste Touverey (Grasset, 2008).
Stefan Zweig, né le 28 novembre 1881 à Vienne,
en Autriche-Hongrie, et mort par suicide le 22 février 1942, à Petrópolis au
Brésil,
est un écrivain,
dramaturge,
journaliste
et biographe
autrichien.
Ami de Sigmund Freud, d'Arthur
Schnitzler, de Romain
Rolland, de Richard Strauss et d'Émile
Verhaeren, Stefan Zweig fit partie de la fine fleur de
l'intelligentsia juive viennoise, avant de quitter son pays natal en 1934 en
raison de la montée du nazisme. Réfugié à Londres, il y
poursuit une œuvre de biographe (Joseph Fouché, Marie Antoinette, Marie Stuart) et surtout d'auteur de romans
et nouvelles qui ont conservé leur attrait près d'un siècle plus tard (Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments). Dans son
livre testament Le Monde d'hier. Souvenirs d'un
Européen, Zweig se fait chroniqueur de l'« Âge d'or »
de l'Europe et analyse avec lucidité ce qu'il considère être l'échec d'une civilisation.
« Né en 1881 dans un grand et puissant empire [...], il
m'a fallu le quitter comme un criminel. Mon œuvre littéraire, dans sa langue
originale, a été réduite en cendres. Étranger partout, l'Europe est perdue pour
moi... J'ai été le témoin de la plus effroyable défaite de la raison [...].
Cette pestilence des pestilences, le nationalisme, a empoisonné la fleur de
notre culture européenne » (Le monde d'hier, Stefan Zweig).
À trente ans (1911), Zweig connaît une première idylle en la
personne de Friderike Maria von Winternitz, déjà mariée et mère de deux
filles. Durant les années qui vont suivre, les deux amants se voient
régulièrement et coulent des jours paisibles. Zweig poursuit ses voyages et
entame un ouvrage sur Dostoïevski. À l’été 1914, en compagnie de
Friderike, son bonheur est parfait.
Il est loin de se douter que l’assassinat, le 28 juin,
de François-Ferdinand va plonger l’Europe
dans une folie meurtrière et dévastatrice. Emporté par la folie patriotique et
ses clairons, Zweig revient à Vienne et cède durant une brève période à ce
tourbillon. Il rédige des articles dans lesquels il prend parti pour l’esprit
allemand, avant de retrouver bientôt la trace de ses idéaux de fraternité et
d’universalité. Romain Rolland et Stefan Zweig sont atterrés par la guerre qui
commence et le 3 août 1914, Romain Rolland écrit : « Je suis accablé.
Je voudrais être mort. Il est horrible de vivre au milieu de cette humanité
démente et d’assister, impuissant, à la faillite de la civilisation. »
Mais contrairement à Stefan Zweig, il se reprend vite et publie en 1915 l’un de
ses textes les plus connus : Au-dessus de la mêlée. C’est
l’opiniâtreté de Romain Rolland dans sa lutte contre la guerre qui sauve Stefan
Zweig de la dépression et fait qu’il admire de plus en plus celui qu’il
considère comme son maître.
De Londres, Zweig suit l’actualité autrichienne de près. Ce
qu’il appréhende depuis des années finit par se réaliser. Le12 mars 1938, Hitler traverse la
frontière et proclame l’annexion de l’Autriche. Du coup, Zweig se voit dépossédé de sa
nationalité autrichienne et devient un réfugié politique comme les autres.
Désireux d’échapper aux brimades réservées aux expatriés, considéré comme
ennemi quand la guerre éclate, Zweig demande et reçoit enfin son certificat de
naturalisation. Entretemps, il a rompu avec Friderike et a épousé Lotte.
C’est avec elle qu’il quitte l’Angleterre, à l’été1940, juste avant le début
de bombardements
allemands sur Londres. Zweig cède de plus en plus au désespoir.
Sa première escale est à New York où
sa condition d’Allemand lui attire l’hostilité. Il part donc pour le Brésil,
pays qui lui avait fait une forte impression et où il avait été bien reçu. Il
est toujours accompagné de Lotte, dont la santé fragile commence à peser sur le
couple.
Installé à Rio, Zweig parcourt le pays. Il se rend également
en Argentine
et en Uruguay
pour une série de conférences. Il revient ensuite à New York, en mars 1941, pour la dernière
fois. Il y revoit Friderike qui a réussi à émigrer aux États-Unis. Zweig
demeure quelques mois là-bas et fréquente ses vieux amis, expatriés comme lui.
Le 15 mai, il prononcera sa dernière conférence. Désespéré et honteux du tort
que cause l’Allemagne, il réitère néanmoins sa confiance en l’homme, mais on le
sent déjà désabusé.
Avec l’entrée en guerre des
États-Unis, Zweig perd de plus en plus espoir. Il n’en continue pas moins son
œuvre, dont Le Joueur d’échecs, bref roman publié à
titre posthume qui met précisément en scène un exilé autrichien que les
méthodes d'enfermement et d'interrogation pratiquées par les nazis avaient
poussé au bord de la folie. Au mois de février, en plein Carnaval à
Rio, il reçoit le coup de grâce en apprenant la défaite des
Britanniques en Indonésie.
Hanté par l'inéluctabilité de
la vieillesse, ne supportant plus l'asthme sévère de Lotte et moralement
détruit par cette guerre, il décide qu’il ne peut plus continuer à assister
ainsi, sans recours, à l’agonie du monde. Il rend, à Barbacena, visite à l’écrivain Georges
Bernanos qui tente, en vain, de lui faire reprendre espoir. Le 22 février 1942, après avoir
fait ses adieux et laissé ses affaires en ordre (il laisse un mot concernant
son chien, qu'il confie à des amis), Stefan Zweig met fin à ses jours en
s'empoisonnant au Véronal (barbiturique), en compagnie de Lotte qui refuse de survivre à
son compagnon. Il aura droit à des funérailles nationales lors de son
enterrement à Petrópolis, contrairement à ses vœux
Secrets de tournage AlloCiné
Adaptation
Une Promesse est l'adaptation d'une nouvelle de Stefan
Zweig intitulée "Le Voyage dans le passé" et parue en 1929 : "C’est
Jérôme Tonnerre, ami et co-scénariste de plusieurs de mes films, qui m’a conseillé
de lire Le Voyage dans le passé, car il y voyait des choses susceptibles
de m’intéresser. Quelques jours après avoir refermé le livre, j’ai réalisé
que l’histoire s’était installée dans un coin de ma tête. En fait le roman véhiculait
des sentiments, des émotions qui me touchaient infiniment. J’ai donc rappelé Jérôme
pour lui dire que son conseil de lecture avait fait son chemin et que j’avais
très envie de l’adapter avec lui pour le cinéma", explique le cinéaste.
A l'origine : tournage en
allemand !
Patrice Leconte avait confié
au micro d'AlloCiné en avril 2011 qu’il voulait tourner Une Promesse en
Allemagne et en allemand, parce qu’il ne "souhaitait pas abîmer, pervertir
le caractère fort et allemand de Stefan Zweig. Donc plutôt que de transposer ça
je ne sais où… Moi je suis pour le respect des choses, donc il faut tourner en
allemand avec des acteurs qui viennent de ce pays… J’ai quelques idées en tête évidemment,
il y a beaucoup d’acteurs allemands qui sont assez francophiles et du coup
francophones, comme Diane Kruger pour ne pas la citer, je l’adore, elle est
parfaite, pourvu qu’elle soit libre…"
Dans
la langue de Shakespeare
Patrice Leconte confie avoir
choisi de tourner en anglais plutôt qu’en allemand (la langue d’origine de
l’histoire et de Stefan Zweig qui était autrichien) parce qu'il ne
connaissait pas suffisamment cette langue. L’option fut envisagée un temps mais
finalement toute l’équipe de production s’est accordée à dire que ça ne
changerait rien à l’histoire. Ce n’est, en effet, pas le premier film à se
dérouler en Allemagne avec des personnages qui parlent anglais.
Impasse
historique
Bien que l’ensemble de l’histoire
se déroule à la veille de la Première Guerre mondiale (nous sommes en 1912), l’aspect
historique est fortement effacé dans le film. Patrice Leconte s’explique :
"Je ne voulais pas que cette guerre qui, en 1912, grondait comme un très
mauvais orage, prenne le pas sur ce qui me semblait être le plus important :
les sentiments qui unissent les deux personnages. Ils évoluent dans une bulle
sentimentale qui semble les anesthésier de tous les événements extérieurs. Mais
je n’ai rien inventé car Zweig ne raconte pas plus la montée de la Première
Guerre mondiale dans son roman que nous l’avons fait dans le film."
Fin alternative
La fin du film a été modifiée par
rapport à celle du livre : "Au-delà de toutes les idées
narratives qui nous sont venues, la seule adaptation singulière était la
fin. Zweig étant un écrivain et un homme très pessimiste (son suicide l’a
prouvé), il a conclu cette oeuvre par une fin extrêmement désenchantée",
confie Patrice Leconte, expliquant aussi qu'il n'a pas voulu pour autant faire un
happyend.
APRES L'AVOIR VU
C’est le second film de Patrice Leconte. Il est encore trop
tôt pour savoir si c’est le deuxième. Le premier, c’était Ridicule. Je
compte pour rien tous les autres. Ridicule, c’était la société vue par
Voltaire, Balzac, Stendhal, Flaubert. Une promesse, c’est la passion vue
par Goethe, Balzac, Stendhal, Flaubert. Bien sûr, Zweig aussi a contribué.
Jamais sa mise en scène n’a été plus légère. On pouvait
craindre, sur ce fil tendu, un faux pas, ou, pire, une chute ridicule. Mais
l’équilibre, comme une note difficile à chanter, a été tenu avec une parfaite
maîtrise jusqu’à la fin.
Au fait, quel âge a Patrice Leconte ? Peu importe,
c’est assurément le film d’un tout jeune homme. Mais d’un jeune homme qui
aurait beaucoup vécu, ou qui aurait juste l’impression d’avoir beaucoup vécu.
Oui, il y a du Musset aussi dans cette trame légère qui ne se déchire pourtant
jamais.
Les plans où le désir est filmé en caméra subjective le sont toujours à bonne distance, quelle que soit cette distance. Moyenne, avec l'ondulation de la hanche en montée des marches itérative, ou extrêmement proche, avec la nuque et le coin de l'oeil scrutés dans le détournement unique des lunettes de spectacle. Spectacle où l'on est censé voir des grosses dames qui n'en finissent pas de mourir : humour de connivence du mari, avec des répliques souvent à double sens. Humour noir parfois, mais jamais pesant.
Dans le casting musical, le réalisateur a convoqué Bach et Beethoven. Leur accord parfait contribue aussi grandement à l’équilibre parfait du film.
Les plans où le désir est filmé en caméra subjective le sont toujours à bonne distance, quelle que soit cette distance. Moyenne, avec l'ondulation de la hanche en montée des marches itérative, ou extrêmement proche, avec la nuque et le coin de l'oeil scrutés dans le détournement unique des lunettes de spectacle. Spectacle où l'on est censé voir des grosses dames qui n'en finissent pas de mourir : humour de connivence du mari, avec des répliques souvent à double sens. Humour noir parfois, mais jamais pesant.
Dans le casting musical, le réalisateur a convoqué Bach et Beethoven. Leur accord parfait contribue aussi grandement à l’équilibre parfait du film.
La voix française de Lotte, dans ce film tourné en anglais
où tous les acteurs sont excellents et où Alan Rickman règne en maître, est
celle de Julie Gayet. Mais ça, c’est seulement anecdotique.
La fin qui "trahit" Zweig? Elle ne me dérange pas, pas plus que la fin du Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud qui n'est pas celle d'Umberto Eco. Le film est une réussite, et ça, c'est tout sauf anecdotique.De l'usage de l'art en réparation de guerre
Je rajoute ceci après les cérémonies du 11 novembre 2014, celles du centenaire.
Je ne pense pas un instant que l'intention de Patrice Leconte ait été d'édulcorer la nouvelle de Zweig. J'y vois plutôt l'intention de réparer, au moyen de l'art, les injustices de la réalité. Comme s'il ne se résignait pas à la tragique malchance qui a brisé le destin des deux amants dont le sort l'a profondément ému, et qu'au moyen de la magie du cinéma il leur offrait, dans la fiction cinématographique, la chance de concrétiser leur passion qu'il n'ont pas eue dans la fiction romanesque. Cette idée d'un créateur artistique, démiurge de son univers fictif, pris de tendresse pour des personnages eux-mêmes fictifs au point de leur offrir une seconde chance de bonheur, ne me déplaît pas.
Contient le texte original en allemand et bien évidemment aussi une traduction française. |
Le 28 févier 2004, l'année qui précède l'inauguration officielle du Ciné-Lumière, Patrice Leconte était venu à Vierzon pour les cérémonies de parrainage.
CHAMP. Ce n'est certes pas fini, mais l'essentiel est déjà en place. Patrice est au téléphone. Joël, qui sera bientôt le premier président de notre association dès 2005, le chapeau à la main, ne le quitte pas des yeux.
CONTRE CHAMP. La friche industrielle des usines de matériel agricole et industriel qui ont fait la prospérité de Vierzon quand elles tournaient à plein régime, et sa désolation quand la dernière (CASE) a fermé. Nom de code: le B3. Ensuite, de vastes images bucoliques (champs de blé) ont masqué cette vue d'un voile pudique. Actuellement, des travaux sont en cours pour l'ouverture d'un prochain bowling. Débat local "conflit rencontres" inévitable : les uns s'en réjouissent, les autres ont carrément les boules...
CHAMP. Ce n'est certes pas fini, mais l'essentiel est déjà en place. Patrice est au téléphone. Joël, qui sera bientôt le premier président de notre association dès 2005, le chapeau à la main, ne le quitte pas des yeux.
CONTRE CHAMP. La friche industrielle des usines de matériel agricole et industriel qui ont fait la prospérité de Vierzon quand elles tournaient à plein régime, et sa désolation quand la dernière (CASE) a fermé. Nom de code: le B3. Ensuite, de vastes images bucoliques (champs de blé) ont masqué cette vue d'un voile pudique. Actuellement, des travaux sont en cours pour l'ouverture d'un prochain bowling. Débat local "conflit rencontres" inévitable : les uns s'en réjouissent, les autres ont carrément les boules...
HORS CHAMP. La maquette ouvre des perspectives sur l’avenir.
Les promesses du cinéma sont tenues. pour la brasserie, ce n'est encore qu'un décor virtuel.
AU CHAMP. Je ne suis pas sûr que ce bonnet m’avantage, mais
il fait froid en février. Et, pour la proximité qu’elle rappelle, j’ai malgré
tout la vanité d’être encore fier de cette photo !
PLEIN CHAMP. Les discours officiels comme il se doit, avec
le maire de l’époque.
CHAMP LIBRE. Bientôt Patrice aimera déambuler dans la rue
principale de Vierzon, le rue de la République. Inutile de dire qu’il ne sera pas seul.
(Photos Soraya Aliche)
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