mercredi 20 mars 2024

ET PLUS SI AFFINITÉS

                      

  séance avec débat



  





ET PLUS SI AFFINITÉS
(VO)

3 avril 2024 en salle | 1h 17min | Comédie
De Olivier Ducray, Wilfried Meance 
| Par Olivier Ducray, Wilfried Meance
Avec Isabelle Carré, Bernard Campan, Julia Faure

MERCREDI 20 MARS 2024

19h


en présence des réalisateurs Olivier Ducray et Wilfried Méance 
et de l'acteur Pablo Pauly. 











Bonjour à toutes et tous,
 Au cinéma mercredi 20 mars à 19h - le film "ET PLUS SI AFFINITÉS " en présence des réalisateurs Olivier Ducray et Wilfried Méance et de l'acteur Pablo Pauly. 


Les adhérents de Ciné-rencontres bénéficieront du tarif préférentiel de 5,50 euros sur présentation de leur carte. 


Autre information :
- le samedi 23 mars à Issoudun à partir de 9h45 : Colloque organisé par les Ami.e.s du Berry de la Commune de Paris, sur le thème "nouvelles approches historiques de la Commune de Paris". -voir ci joint l'affiche. 



Un rappel : Le samedi 6 avril, notre festival "MIYAZAKI (mail du 6 mars dernier). 
 AU CINÉ-LUMIÈRE DE VIERZON

-       16H : LE VOYAGE DE CHIHIRO 

-       18H15 : DÉBAT/CONFÉRENCE

-       19H15 : REPAS JAPONAIS 

-       20h30 : LE CHÂTEAU AMBULANT

Coût pour les 2 films : adhérents : 10 euros, non adhérents : 15 euros. 

Repas japonais pris dans l’enceinte du cinéma, coût : 10 euros.  Inscription auprès de Laurence Frischeteau (06 79 64 21 28). 


Pour information : la suite du programme de Ciné-rencontres : 

- Jeudi 21 mars : Comme un fils
- Jeudi 28 mars : Shikun




Pour toute information, voir le blog 


Edwige


SYNOPSIS
Usé par vingt-cinq ans de vie commune, le couple formé par Xavier et Sophie semble à bout de souffle. Et le moins que l’on puisse dire c’est que l’idée de Sophie d’inviter à dîner leurs voisins, Adèle et Alban, n’enchante pas Xavier. Il reproche à ce couple, visiblement très amoureux, son manque de discrétion, surtout la nuit ! Au contact de ces voisins aux mœurs débridées, Xavier et Sophie vont devoir se confronter à leur réalité, avant d’être poussés dans leur retranchement par une proposition quelque peu… indécente.








Berry républicain 19 mars 2024






N'hésitez pas à laisser vos commentaires.

Si vous n'y parvenez pas, essayez de débloquer la situation en vous rendant sur cette page:

https://cinegraphe.blogspot.com/2015/03/commentaire-mode-demploi.html#more



    Je vais être franc, il y a bien eu l’expression d’une déception à la fin de la séance. Mais je rassure tout de suite : on m’a aussitôt incité, si j’en rendais compte, de le faire d’une manière telle qu’elle apparaisse pour ce qu’elle était en réalité, c’est-à-dire un compliment. Explication : les personnes de l’équipe du film (à savoir les deux réalisateurs, l’acteur, le producteur et la productrice, et aussi le chauffeur) ont tellement capté la sympathie du public lors de leur présentation, que celui-ci, il faut bien employer le mot, s’est déclaré déçu de ne pas pouvoir échanger avec elles à la fin de la projection, pour manifester chaleureusement toute la gratitude éprouvée à proportion du bien que ce film lui a fait. J’ai tout de suite pensé que Du Bellay, Molière, Racine même, auraient aimé ce film, eux qui n’ont cessé de proclamer, à leur manière et à leur époque, que la principale règle en art, sinon la seule, était de plaire, et de toucher le public. Car le public, et de bon cœur, a ri comme rarement on a entendu rire à une séance de Ciné Rencontres. Et contrairement à une idée reçue, c'est une des tâches les plus difficiles qui soit que de parvenir à obtenir ce résultat, comme le soulignait Molière lui-même quand il avouait: "C'est une étrange entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens."
C’est sans doute qu’on retrouve ici le plaisir qu’on éprouvait enfant à rire devant les clowns équilibristes qui menaçaient de tomber à chaque pas qu’ils faisaient sur leur fil, apparemment grotesquement comiques, et en fait suprêmement virtuoses. Il faut dire que les situations qui s’enchaînent sont des plus casse-gueule, et que seule une maîtrise sans faille de l’écriture nous permet de rire sainement, là où on aurait pu craindre la chute dans le discutable, pour ne pas dire pire. A la vue du résumé, en effet, on aurait pu craindre, comme ce fut le cas pour Max Ophüls à la sortie de La ronde, du graveleux, du lourdement potache, du mauvais goût à la pelle… Au lieu de cela, nous reçûmes avec bonheur du dialogue ciselé plein de finesse, du comique de situation et du comique de mots en rafale. Comme, entre autres, dans Le prénom, de deux réalisateurs là aussi (Alexandre De La Patellière, Matthieu Delaporte), ou encore dans Coup de chance, de Woody Allen. On a eu droit à du Bernard Campan subtil et émouvant derrière son caractère bougon (Jean-Pierre Bacri a été évoqué), à une Isabelle Carré délicieusement ambiguë avec sa naïveté perverse ou sa perversité naïve (ça marche dans les deux sens), à une Julia Faure irrésistible, capable de vous vendre comme tout à fait naturelle et séduisante la plus incongrue des situations, et enfin à un Pablo Pauly que nous avions découvert sur l’écran dans Patients puis dans Les invisibles, et qui, cette fois en présentiel, a bien mérité qu’on lui décerne le titre de « très grand acteur comique ». Un casting homogène donc dans le haut niveau, et on a rappelé à ce sujet que les prix d’interprétation, tant féminine que masculine, du festival de l’Alpe d’Huez 2024 ont bien été décernés, comme l’affiche le proclame, aux quatre vedettes du film. 
Et quand, cerise sur le gâteau, j’ai entendu les premières notes de « La Chanson des vieux amants » de Jacques Brel, j’ai cru un instant que le film n’avait été fait que pour moi et uniquement pour me plaire ! Mais non, les rires étaient bien dans toute la salle, parfaitement collectifs, et le rire de Dominique par exemple, des plus spontanés et communicatifs, était bien au-dessus de tout soupçon d’être si peu que ce soit forcé.
Si bien que si les membres de l’équipe du film s’étaient de nouveau présentés dans la salle à la fin de la projection, informés à la fois de nos éventuelles préventions et de notre heureuse surprise, et qu’ils nous aient fait cette simple remarque : « Hé bien, on vous a bien eus ! », on n’aurait pu leur répondre autrement que par un applaudissement unanime. 
Dernière remarque : ce compte rendu, même si je le signe, est en fait collectif, étant le résultat d’un échange d’après le film, même s’il n’y eut pas de débat dans la salle en raison de l’horaire et donc de la séance suivante. Dans le hall, en effet, nous avons discuté longtemps avec nos adhérents qui restèrent et avec les deux responsables du cinéma. Ces dernières, pour le faire court, ont souligné le fait que la communication de notre association fut efficace pour aider à remplir la salle, et nous, en retour, nous nous sommes réjouis de la qualité de leurs choix de programmation. Une soirée agréable, on vous dit ! 
Jean-Marie





« Cette valse désenchantée, que Max Ophüls avait dû amputer de vingt minutes pour rassurer les puritains, connut un triomphe public malgré une violente campagne de dénigrement de la part de la critique. On reprochait à ce moraliste baroque d’avoir dressé un inventaire des diverses formes de libertinage et des amours illégitimes. Rien de scabreux pourtant, et pas une scène polissonne dans ce défilé virtuose de scènes d’alcôves. Le propos est amer, tragique, juste un rien teinté du cynisme cruel de Schnitzler, dont il s’inspire. Max Ophüls dresse un constat d’une infinie tristesse sous l’apparence frivole d’une fresque sur les discours et les comportements amoureux : le bonheur n’existe pas. Ce qu’il peint, fataliste, c’est l’impossibilité d’éterniser les élans les plus purs, le désespoir du sentiment amoureux bafoué par la fièvre du désir, la pureté piétinée par les rencontres éphémères, la blessure secrète de l’âme face à l’infidélité des ivresses. Le temps, implacable, ronge l’amour, oublie le don, attise le vertige des conquêtes, refroidit les cœurs. Cette frénésie désespérante et désespérée des « ruses, mensonges et périls constants » qui tissent la lutte des sexes, cette sinistre sarabande de femmes et d’hommes abusés par la comédie du plaisir est magistralement mise en scène. Les arabesques sensuelles de la caméra font partie du sujet du film : danse, transes et vertiges. »

— Jean-Luc Douin, Télérama N° 2308 – 6 avril 1994







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Un film de Louis-Julien Petit... Le festival du Film de Demain n'est pas loin.













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L'Antidote Bourges
Palestine 18 à Vierzon
La Maison de l'eau
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Vous n'avez pas manqué de remarquer la rubrique ART ET ESSAI... et le lien
CINE RENCONTRES.







Carte d'adhérent
 Tarif de 5,50 euros sur présentation de la carte d'adhérent de Ciné-rencontres à la caisse.  (Ce tarif est appliqué uniquement sur les films sélectionnés dans le programme de Ciné-rencontres.)
N'hésitez pas à nous la demander.
Rappel du tarif d'adhésion: 10 euros pour un an (de date à date) avec possibilité d'affilier 2 personnes si on le souhaite pour ce montant (chacune aura sa carte, ce qui revient à 5 euros l'adhésion avec cette option couple" au sens très large: amis, relations,...). 5 euros pour étudiant ou chômeur (possibilité également d'adhésion "couple", ce qui revient alors à 2,50 euros).
Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu. 












Vous pouvez remplir cette fiche chez vous, après l'avoir copiée et collée (par exemple) dans un traitement de texte (Word,...). 


Merci pour votre soutien. 

















Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.







Facile de nous trouver. Il suffit de taper "cinégraphe" sur Google par exemple...
(capture d'écran du 27 septembre 2017).










Tiens... tiens... "abondante et variée"... Et si Ciné Rencontres y était un peu pour quelque chose en fin de compte?...



RADIO TINTOUIN




Radio Tintouin
Auberge de jeunesse
1 place F. Mitterrand
18100 Vierzon

02.48.75.30.62
www.radiotintouin.org


Nous y sommes régulièrement invités pour présenter le jour-même de sa projection le film du vendredi soir. 
Le film de la semaine est chroniqué (annoncé) par John et/ou Edwige et/ou moi (selon disponibilités) cinq fois dans la journée du vendredi où le film passe. 

Horaires des annonces Ciné Rencontres le vendredi:

9h15  12h15  14h15  16h15  17h25








BR 4 10 2022



BR 6 10 2021



BR 23 11 2021



LES TARIFS AU CINE LUMIERE


(depuis juin 2022)

Berry républicain 10 juin 2022

            séances

6 euros avec la carte fidélité.

5,50 euros pour les films Ciné Rencontres sur présentation d'une carte valide.
(films Ciné Rencontres: les films avec débat + les films labellisés Ciné Rencontres)








(depuis décembre 2017)
















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