mardi 9 avril 2019

LE SILENCE DES AUTRES

34ème séance avec débat
si animateur/trice/s disponible/s 
(vacances)






LE SILENCE DES AUTRES

  
Documentaire espagnol de Almudena Carracedo... (2019 - vost - 1h35)



VENDREDI 12 AVRIL 2019
20h30

La loi d'amnistie post-franquiste.
L’année 77, la transition démocratique, justice contre dictature,…
Le livre référence de notre ancienne collègue d'histoire à Vierzon Phryné Pigenet: 






1977. Deux ans après la mort de Franco, dans l’urgence de la transition démocratique, l’Espagne vote la loi d’amnistie générale qui libère les prisonniers politiques mais interdit également le jugement des crimes franquistes.
Les exactions commises sous la dictature et jusque dans les années 1980 (disparitions, exécutions sommaires, vols de bébés, torture) sont alors passées sous silence. 
Mais depuis quelques années, des citoyens espagnols, rescapés du franquisme, saisissent la justice à 10.000 kilomètres des crimes commis, en Argentine, pour rompre ce « pacte de l’oubli » et faire condamner les coupables.










Genèse du projet
En tant qu’Espagnole, Almudena Carracedo ressentait une douleur qui s’accumulait en elle au fil des années lorsqu'elle voyait que la question de la mémoire historique restait bloquée à ce point dans son pays. La réalisatrice explique : "Il n’y a pas de victimes directes de la dictature dans ma famille, mais mes parents se sont battus comme tant d’autres contre le régime franquiste. J’avais de la peine quand j’imaginais la vie de tous ces gens qui n’ont pas eu de jeunesse, qui ont donné leur vie pour qu’on puisse vivre en démocratie. À chaque fois que je voyais un film sur la mémoire historique – comme Le vent se lève, de Ken Loach, ou Chili : la mémoire obstinée, de Patricio Guzmán –, j’étais très émue. C’est une douleur qui allait au-delà du récit du film, qui me restait sur l’estomac pendant des jours…" 






Robert Bahar, qui a coréalisé Le Silence des autres avec elle, explique à son tour : "Je suis né à Philadelphie. Aux États-Unis, on étudie la Guerre d’Espagne comme un prélude à la montée du fascisme en Europe, mais on ne connaît rien de Franco ni de sa dictature, et encore moins des conditions du passage à la démocratie. Quand j’ai entendu parler de cette loi du silence, j’ai été absolument choqué que personne n’ait essayé de résoudre le problème, même 40 ans après la mort du dictateur. Dans la plupart des pays du monde qui ont subi des périodes aussi sombres, on a tenté de se réconcilier avec le passé, et le fait de vouloir tout oublier me paraissait inouï. Notre point de départ était de décrire ce pacte du silence et ses conséquences sur les victimes. La souffrance décrite dans le film est le résultat de cette volonté de marginaliser les victimes et de les rendre invisibles."

Dialogues et silences
Almudena Carracedo et Robert Bahar ne voulaient pas que le film soit seulement un cumul d’informations sur 80 ans d’histoire espagnole. Les réalisateurs ont cherché à ce qu’il contienne aussi des moments d’empathie avec les personnages, des instants de silence et de poésie. Ils confient : "Certains spectateurs nous disent que la forme du film est très accessible alors que sa matière est complexe, et a exigé 450 heures de tournage et 14 mois de montage. Notre obsession était que les spectateurs puissent se mettre dans la peau des protagonistes et les suivre dans leur quête de justice. Nous espérons qu’ils sortent de la projection en ayant appris quelque chose, mais en ayant également ressenti quelque chose."

Almodóvar à la production
La société de production des frères Almodóvar a soutenu Le Silence des autres. Almudena Carracedo et Robert Bahar travaillaient sur le film depuis six ans quand ils leur ont présenté un premier montage. Ils précisent : "Ils se sont montrés incroyablement enthousiastes dès le départ. Agustín Almodóvar l’a vu en premier, suivi de Pedro, qui a partagé le même avis. Ils nous ont soutenus d’une façon qu’on n’aurait jamais osé imaginer, en acceptant de présenter le film et de joindre leurs noms aux nôtres. Pedro et Agustín avaient déjà abordé ce sujet dans certains des films qu’ils ont réalisés ou produits : dans La mauvaise éducation (2004) ou Julieta (2017), mais aussi dans L’échine du diable (2001) de Guillermo del Toro. Ces oeuvres entrent en résonnance avec cette réflexion nouvelle qui a lieu dans la société espagnole, qui pousse de nombreux artistes et intellectuels à briser, enfin, les tabous. Il s’agit moins pour eux de juger les choix du passé mais plutôt d’interroger notre présent. Le film s’inscrit dans la même démarche."

Particularité espagnole
À la différence de l’Espagne, dans la plupart des pays européens, les crimes contre l’humanité ne sont pas restés impunis. Pour Robert Bahar, la différence en Espagne, par rapport à la plupart des pays européens, est que Franco a gagné la Guerre Civile et qu’ensuite il est resté 40 ans au pouvoir : 

"La transition vers la démocratie a démarré avec sa mort en 1975 et elle a été négociée avec son régime, qui est resté en place. Cela se traduit par une certaine continuité dans la période démocratique que nous connaissons depuis : on le constate dans les rangs des forces de l’ordre, le pouvoir judiciaire mais aussi dans la vie politique. Des hommes politiques franquistes et leurs enfants ont fondé des partis et sont restés au pouvoir. La question n’est pas de dire que les responsables des accords de l’époque ont eu tort, mais d’interroger ce qu’on peut faire à présent pour les changer. Nous ne sommes plus en 1977". L’Espagne a changé." Almudena Carracedo poursuit : "Il ne faut pas oublier que dans cette transition démocratique, ce sont les franquistes qui étaient en position de force. Quand je lui demande des explications, mon père me répond souvent : « Mais que pouvions-nous leur demander ? ». Ils n’avaient aucune marge de négociation, ils ont simplement pris ce qu’ils pouvaient… La loi d’amnistie a été approuvée pour exonérer les franquistes de toute responsabilité. Voilà la vérité."






Le livre indispensable de Phryné Pigenet: 













      C'est un film documentaire poignant qui nous a été servi hier soir, d 'autant plus saisissant du fait de la présence dans la salle de deux réfugiés espagnols de l'époque franquiste âgés respectivement de 91 et 93 ans. Leurs paroles, d'une rare intensité, méritaient d'être enregistrées et rappelaient l'intervention de Robert Hebras un des survivants d'Oradour sur Glane qui lui  aussi a témoigné à Vierzon en forçant le respect de l'auditoire.
     Que dire de l'inique loi d'amnistie de 1977 votée par le gouvernement espagnol qui permettait « d'oublier » les événements des 40 ans de pouvoir  de Franco ? Il eut été intéressant de connaître les noms des deux parlementaires qui ont osé voter contre.
      Effacer d'un trait les violences, tortures, exécutions, disparitions. Gommer les vols d'enfants . Cependant ce qu'un texte souhaite effacer laisse  intacte la mémoire des victimes et leurs proches et les cicatrices et traumatismes remontent forcément à la surface un jour ou l'autre. On ouvre le robinet et peu à peu, craintivement et honteusement la parole se déverse, car la crainte et la honte ont servi de freins puissants pendant toute la période franquiste et jusqu'à nos jours.
     Le devoir de mémoire s'impose, le vengeance sans doute aussi, mais celle-ci serait en quelque sorte si modestement humain à côté d'un désir de justice universelle naturelle, évidente mais surhumaine qui  poserait les limites de l'acceptable. Il est permis de rêver dans un monde qui trop souvent banalise l'irrecevable et cautionne l'impardonnable.
     On n'oublie pas, on enterre pour mieux exhumer au sens propre comme au figuré. Pour dire au revoir à ceux que l'on a aimés, mais il est souvent  trop tard car le temps de la vie d'un homme et le temps de la justice ne sont pas synchrones . Les anciens passeront en espérant qu'il  y ait des jeunes pour constamment  veiller à remonter les pendules, ce temps-là ne doit pas s'oublier. Transformons nos silences en clameurs d'indignation.



Madrid, 1937






   Non Monsieur Ferré tu avais tort .




     Avec le temps                        LEO FERRE
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie le visage et l'on oublie la voix
le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien
Avec le temps
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
avec le temps tout s'évanouit
avec le temps
avec le temps, va, tout s'en va
mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules
à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort
le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule
Avec le temps.
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre à… 
Avec le temps
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie les passions et l'on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps
avec le temps, va, tout s'en va
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l'on se sent floué par les années perdues- alors vraiment
avec le temps on n'aime plus


John





La réalisatrice, en présentant son film, a fait le constat que les salles s’arrêtaient davantage sur son aspect émouvant que sur son aspect didactique et informatif. 
De l’émotion, il n’en a pas manqué lors de cette séance, ni sur l’écran, ni dans la salle au cours du débat. 
Des souvenirs bouleversants de la part d’acteurs, de vétérans qui ont connu cette époque (ils avaient une dizaine d’années ou étaient adolescents au début de la seconde guerre mondiale) ont établi comme une correspondance en miroir avec les histoires présentées dans le documentaire. Leurs souvenirs se sont précipités, et eux-mêmes paraissaient surpris que leur mémoire soit restée si vive et si sensible aussi longtemps après, le film jouant le rôle d’un catalyseur efficace. 
Le lien entre l’histoire familiale et l’histoire nationale se faisait naturellement, et il n’y avait pas non plus de rupture entre les mémoires espagnoles et les mémoires berrichonnes. Jean-Marie B. a rappelé les débats plutôt chauds dans nos salles de cinéma comme le France 2, et je me demande comment on n’a pas pensé sur le coup au célèbre Mourir à Madrid de Frédéric Rossif, que j’avais vu pour ma part à la maison de la culture de Bourges quand j’étais à l’Ecole Normale, en sortie scolaire sous l’égide de notre professeur d’histoire monsieur Jean Roja. Je ne savais pas alors, ou bien je l’ai aussi oublié, que l’Espagne franquiste avait demandé la censure de quelque 25 passages, et que le gouvernement français en avait retenu 6. 



L’opposition entre "marxistes" et "anarchistes" trouvait là un terrain favorable, prélude au plus récent Land and Freedom de Ken Loach, que j’ai vu à Bourges aux « Cinémas du jeudi » animés par l’ancien de l’ACV, Jean Mériau, et que je suivais là par amitié et fidélité à notre militantisme cinéphilique commun. 
Je me souviens que l’ancien des brigades internationales, le Vierzonnais Henri Diaz, y avait été particulièrement maltraité (quelqu’un hier m’a rappelé cet épisode) et que j’avais alors pris la parole, non pas tant pour le défendre (il n’en avait guère besoin et chacun a bien le droit d’exprimer son opinion) que pour exiger un minimum de respect envers ce grand résistant de la part de ses jeunes interpellateurs. 




Pour retrouver les noms de ces pionniers du ciné débat qui me sont toujours également chers et que je n’oublierai jamais, il y a, sur le blog, notamment cette page (Samyn s’écrit sans « e »). 
https://cinegraphe.blogspot.com/2013/10/pinchaque-le-tapir-colombien.html


Sur Henri Diaz : 
http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article22686

Une remarque de Jean-Luc sur l'importance de cette très problématique notion d'"oubli" après une guerre civile a donné lieu à plusieurs réflexions et comparaisons, de l'Afique du Sud au Cambodge, du Rwanda à l'Algérie. 
L'oubli  jamais possible, la nécessité de vivre ensemble quand même, tout cela oblige à des combinaisons politiques délicates pour que ce soit possible et acceptable. Dans le cas de l'Espagne, le film montre bien l'imposture qui conduit à un malaise persistant et la menace d'un redoutable retour du refoulé: l'amnistie attendue pour les républicains condamnés par le régime franquiste s'est muée en protection odieuse et totale au bénéfice de leurs bourreaux. 

A ce titre, de nombreux rapprochements sont à faire avec la dernière grande guerre civile de notre propre histoire, celle de la Commune de Paris, où une République bourgeoise écrase dans le sang une République sociale, puis continue la persécution bien après la cessation apparente des hostilités (les méfaits de Franco n'ont pas cessé à la Libération), et finalement impose une impunité de ses actes au moyen d'une chape d'oubli, laquelle se prolonge jusqu'à nos jours dans les médias dominants et l'éducation nationale. 
Et cela malgré la réhabilitation (toute récente et donc bien tardive) des communards par l'Assemblée nationale le 29 novembre 2016. 

https://vaillantitude.blogspot.com/2016/11/la-commune-rehabilitee.html

Les jeunes Français, les futurs citoyens, ont le devoir de connaître les guerres de religion ou la Terreur révolutionnaire des siècles passés, mais ne doivent surtout pas savoir qu'à moins de 150 ans d'eux l'équivalement de la population de Vierzon a été tuée dans une répression impitoyable. 
Espérons que le 150e anniversaire de cette Commune de Paris en 2021 sera l'occasion de remédier à ce qui est davantage qu'une injustice, une insupportable amnésie. 
Dans ce domaine, Vierzon a une vraie spécificité, comme en témoigne cette manifestation nationale et locale dont l'épicentre est attendu à la salle de la Décale, où devrait se tenir une conférence organisée par l’association des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871:

 Cette initiative se situe dans le cadre du 150ème anniversaire de la Commune de Paris. La conférence sera animée par Jean Louis Robert, Président d’honneur de l’association, historien, professeur émérite de l'Université Paris-I.
Elle portera sur l’évocation de la Commune de Paris et se délocalisera dans 7 VILLES qui ont connu des événements communards importants (Lyon, Saint-Etienne, Le Creusot, Marseille, Narbonne, Toulouse, Limoges), PLUS VIERZON, eu égard à son statut exemplaire (associée à Issoudun et au Berry en général et même un peu au-delà) de ville importante dans le cadre de la liaison Paris-Province (présence de nombreux communards, beaucoup d’anonymes, d’autres très célèbres comme Edouard Vaillant et Félix Pyat), ainsi qu’à ses traditions de luttes ouvrières. 
La date retenue pour cette initiative est le vendredi 26 mars 1921.

Sur cet enjeu méconnu, voir par exemple:
https://vaillantitude.blogspot.com/2019/03/le-18-mars-dans-liberation.html








Berry républicain 5 juin 2019






N’hésitez pas à visiter la page de l’actualité du mois,
 qui concerne :

Université populaire du Pays de Vierzon
Café repaire
Concert "Les Pastoureaux"  de Waterloo à l'église des Forges
J.-M. Favière et J. Brel sur France Culture
Théâtre musical Brel Steinbeck à Bourges
Gilles Magréau dédicace
Compagnie Puzzle Centre
80 ans d'enseignement à Vierzon
Dédicace George Sand à Bourges
Pôle jeunesse Vierzon
Médiathèque de Vierzon
Double Coeur
Nouveaux tarifs Ciné Lumière
Cours de cinéma en ligne ciclic

(Depuis le début du blog:)










LE SAVEZ-VOUS?
(La réponse s'obtient en cliquant sur les images)

"Parler pour tout dire."

                     
 Ça concerne quoi?



                      C'est quoi, et c'est depuis quand?






COMPLEMENTS, PROGRAMMES, PHOTOS, BANDES ANNONCES,...
    Cliquez sur le lien ou sur l'image.

http://cinelumiere-vierzon.info/



Vous n'avez pas manqué de remarquer la rubrique ART ET ESSAI... et le lien
CINE RENCONTRES.







Carte d'adhérent
 Tarif de 5 euros sur présentation de la carte d'adhérent de Ciné-rencontres à la caisse.  (Ce tarif est appliqué uniquement sur les films sélectionnés dans le programme de Ciné-rencontres.)
N'hésitez pas à nous la demander.
Rappel du tarif d'adhésion: 10 euros pour un an (de date à date) avec possibilité d'affilier 2 personnes si on le souhaite pour ce montant (chacune aura sa carte, ce qui revient à 5 euros l'adhésion avec cette option couple" au sens très large: amis, relations,...). 5 euros pour étudiant ou chômeur (possibilité également d'adhésion "couple", ce qui revient alors à 2,50 euros).
Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu. 












Vous pouvez remplir cette fiche chez vous, après l'avoir copiée et collée (par exemple) dans un traitement de texte (Word,...). 


Merci pour votre soutien. 

















Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.







Facile de nous trouver. Il suffit de taper "cinégraphe" sur Google par exemple...
(capture d'écran du 27 septembre 2017).










Tiens... tiens... "abondante et variée"... Et si Ciné Rencontres y était un peu pour quelque chose en fin de compte?...


Autres tarifs au Ciné Lumière: 


Berry républicain 2 décembre 2017



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