samedi 25 février 2017

JACKIE

20ème séance avec débat
(exceptionnel pendant les vacances)







JACKIE  
Biopic américain de Pablo Larraín avec Natalie Portman. (2016 -vost/vf- 1h30)


VENDREDI 24 FEVRIER 2017 (CINE DEBAT)
20H30



Le contrecoup de l’assassinat de JFK sur Jacqueline Kennedy… et au-delà,… 
Pablo Larrain bis, biopic partiel, la légende Kennedy juste après l’attentat, la douleur d’une veuve.

22 Novembre 1963 : John F. Kennedy, vient d’être assassiné à Dallas. Confrontée à la violence de son deuil, sa veuve, Jacqueline Bouvier Kennedy, admirée pour son élégance et sa culture, décide à mettre en lumière l’héritage politique du président et à célébrer l’homme qu’il fut.


Jackie

      Définition     Plante héliotrope supportent bien des changements de température. Préfère un sol riche et établi de longue date.



     En effet comme l'a souligné hier un spectateur le film semble constituer un vibrant hommage à la femme du Président des Etats-Unis, voire les femmes en général.  Loin d'être une potiche le réalisateur la traite comme une femme sensible et intelligente, visiblement initiée au pouvoir et aux pièges des média. Jackie Kennedy comme toute la dynastie Kennedy est dépitée par le gâchis provoqué par l'assassinat de son mari. Quelle page d'histoire n'a pas été écrite, quel destin quasi royal pas accompli ? Sans insister on suggère une réflexion sur l'écriture de l'histoire en général et la place relative des hommes et des actes.

  Au delà des faits concernant l'assassinat de JFK traités avec un mélange de scènes filmées et de documents tirés des archives de l'époque , on évoque tour à tour la place de la « first lady », son pouvoir serait-il sexuel ou politique ? Simple gestionnaire de la  Maison Blanche où tout doit être parfait pour honorer le peuple américain en respectant surtout le passé et ses locataires anciens ?Visiblement son pouvoir dépasse ses murs.

  Comme la semaine dernière et son film « Neruda » le réalisateur ne livre pas un biopic classique mais un condensé d'une partie éminemment  marquante dans la vie d'une femme dans sa solitude, la solitude de tout un chacun . C'est le prêtre et philosophe irlandais du film qui est là pour nous le rappeler.
JOHN








On ne minimisera pas le tailleur rose bonbon, mais c'est dans les jeux baroques du voile noir que l'esthétique de Pablo Larrain se déploie avec le plus de jubilation. 



Avec Neruda il y avait imbrication des énonciations, avec Jackie il y a intrication des moments : celui de l’interview, celui de l’assassinat, celui des cérémonies liées aux funérailles, celui de chacun des trois jours privilégiés par le réalisateur une semaine après le drame. 
Avec une virtuosité qui n’a rien d’artificiel, la tension maintenue dans chaque plan retient l’attention du spectateur de bout en bout. 

Humain ou extra-humain ?
La légende du roi Arthur : Camelot fait rêver, la camelote est à fuir. Jack (John), cet amateur de citations grecques et latines aimait s’endormir au son de cette rengaine de comédie musicale joyeusement burlesque. Jackie (Jacqueline) est montrée au milieu de préparatifs qui l’apparenterait à  n’importe quelle veuve tragique, mais elle se rebiffe : nous ne sommes pas des gens du commun, personne n’a de responsabilités semblables.

Le sens de l’histoire. 
D’où on vient. Les présidents assassinés. Le célèbre, Abraham Lincoln, et ceux qui ont disparu de la mémoire collective (le chauffeur) : Garfield et McKinley. 
Bobby sceptique : nous aurions pu réussir la conquête spatiale, ne pas laisser à Lyndon le soin de mettre fin à la guerre du Viêt-Nam, ne pas nous enliser dans la guerre froide avec Castro et Cuba. 

Le rôle de JFK dans la protection de l’Allemagne pas évoqué. Pourtant le passage par Paris a laissé un souvenir précis chez l’un de nos adhérents : il était là avec ses camarades et ses deux petits drapeaux, le français et l’américain. 


Le prestige est provisoire, la gloire est chose éphémère. 
La first lady dans l’histoire, SDF de luxe provisoire. Je n’ai pas de maison à moi. 
Le remplacement par les suivants. Le combat pour laisser une trace. Lincoln, naturellement. Mais aussi le salon Monroe (la doctrine Monroe, 1823). Le champion du protectionnisme américain. Discrètes allusions à un passage d’un bon à un méchant (d’Obama à Trump ?) 


Lyndon Johnson pendant son investiture à bord de Air Force One par le juge Sarah T. Hughes, après l’assassinat de John F. Kennedy.

De nombreux livres et documentaires ont apporté des éléments soutenant l'hypothèse selon laquelle Johnson aurait fait partie des commanditaires du meurtre de John F. Kennedy. C'est également l'opinion de l'épouse de ce dernier, Jacqueline Kennedy. Peu avant son assassinat, le président Kennedy avait fait part à des confidents, parmi lesquels sa secrétaire particulière à la Maison-Blanche, Evelyn Lincoln, de sa volonté de choisir un autre colistier que Lyndon Johnson lors de l'élection présidentielle de 1964. Johnson était en effet impliqué dans pas moins de quatre enquêtes criminelles. Celles-ci furent classées après l'accession de Johnson à la présidence.


Notre monde de « com » est en germe
Après le passage de la cathédrale au livre, on assiste au passage du livre à la télévision. « Ceci tuera cela », disait Victor Hugo à propos du premier.

Sortir Neruda et Jackie la même année, c’est une belle prouesse (promesse ?) cinématographique. Et même si on ne renouvelle pas la surprise de Forrest Gum, il faut reconnaître que fonctionne particulièrement bien l’utilisation du 16mm à gros grain pour faire accepter sans brutalité la qualité imparfaite des images d’archives. Mais est tout de même assez fort l’insertion de Natalie Portman dans ces mêmes archives. Même l’introduction du contre-champ en couleurs, qui aurait pu dissoner, passe plutôt bien.
Rappelons pour Forrest Gum :

Effets visuels
Ken Ralston et son équipe d'Industrial Light & Magic s'occupent des effets spéciaux du film. En utilisant des images de synthèse. Tom Hanks a d'abord été filmé devant un écran bleu avec des marques de références pour coller aux archives vidéo. Les mouvements des lèvres des personnalités sur les images d'archives ont même été modifiés numériquement pour coller aux nouveaux dialogues. Grâce notamment au morphing et à la rotoscopie, l'acteur a été intégré à ces images d'archives.



Voici des fleurs...
L’allusion de John a une plante stimule ma curiosité et m’incite à y regarder de plus près. Voici ce qu’en dit la botanique :

Verbascum Hybride Jackie
Autres noms communs : Molène, Bouillon-blanc

Magnifique vivace à  tiges portant de nombreuses fleurs munies de pétales rose saumon à coeur prune intense.

 Vivace
 Floraison rose saumon
 Exposition Soleil
 Fleurit en Juin à Sept.
 Hauteur à maturité: 35 cm



Du rose de la plante au rose du tailleur ensanglanté.
Histoire de fleurs. Les roses rouges sont maudites (Jusque-là, on m’avait offert des roses jaunes, couleurs du Texas).


Le tailleur Chanel rose de Jacqueline Bouvier Kennedy est un tailleur Chanel à double boutonnage, en lainage bouclette, de couleur rose bonbon et au col bleu marine, porté, à plusieurs reprises entre 1961 et 1963, par la Première dame des États-Unis Jacqueline Bouvier Kennedy. Un chapeau de même couleur était assorti à l'ensemble vestimentaire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tailleur_Chanel_rose_de_Jacqueline_Bouvier_Kennedy



Pas potiches.
On a parlé de réhabilitation des femmes ou compagnes d’hommes de pouvoirs, les first ladies ou les maîtresses royales.

Les femmes sont dans l’ombre,  mais elles ont souvent le pouvoir.
Diderot, « La pantomime des gueux » (Le Neveu de Rameau)



MOI. ― Mais à votre compte, dis-je à mon homme, il y a bien des gueux dans ce monde-ci ; et je ne connais personne qui ne sache quelques pas de votre danse.
LUI. ― Vous avez raison. Il n’y a dans tout un royaume qu’un homme qui marche. C’est le souverain. Tout le reste prend des positions.
MOI. ― Le souverain ? encore y a-t-il quelque chose à dire ? Et croyez-vous qu’il ne se trouve pas, de temps en temps, à côté de lui, un petit pied, un petit chignon, un petit nez qui lui fasse faire un peu de la pantomime ? Quiconque a besoin d’un autre, est indigent et prend une position. Le roi prend une position devant sa maîtresse et devant Dieu ; il fait son pas de pantomime. Le ministre fait le pas de courtisan, de flatteur, de valet ou de gueux devant son roi. La foule des ambitieux danse vos positions, en cent manières plus viles les unes que les autres, devant le ministre. L’abbé de condition en rabat, et en manteau long, au moins une fois la semaine, devant le dépositaire de la feuille des bénéfices. Ma foi, ce que vous appelez la pantomime des gueux, est le grand branle de la terre. Chacun a sa petite Hus et son Bertin.


Les précédents (présidents) : les obscurs. 



James Garfield
20e président des Etats-Unis



Lucretia Garfield dans les années 1870.

À la mi-mai 1881, Lucretia Garfield contracta la malaria et possiblement une méningite. Sa température atteignit 40 °C et elle semblait sur le point de mourir. À la fin du mois sa température baissa et les médecins lui recommandèrent de récupérer dans un air salin. Garfield resta auprès d'elle durant sa maladie et le 18 juin, ils quittèrent Washington pour Elberon dans le New Jersey qui était une station balnéaire réputée.
Après avoir été éconduit à plusieurs reprises, Charles J. Guiteau un avocat perturbé partisan des stalwarts et à la recherche d'un poste de fonctionnaire, décida d'assassiner le président. Après avoir acheté un revolver, Guiteau guetta Garfield au Lafayette Square Park et à son église des disciples du Christ à Washington. Apprenant que Garfield allait se rendre à Elberon le 18 juin, Guiteau décida de l'assassiner à la gare de Washington. Il décida cependant de ne pas tirer, en raison de la santé fragile de son épouse qu'il ne souhaitait pas accabler.


Le président Garfield avec James G. Blaine après les coups de feu de Charles J. Guiteau.

Le matin du 2 juillet 1881, le président Garfield se rendit au Williams College, où il avait étudié, pour donner un discours. Il était accompagné de James G. Blaine, Robert Todd Lincoln et de ses deux fils, James et Harry195. Alors que le président traversait la rue, pour se rendre à la gare de la Baltimore and Potomac Railroad à Washington à 9 h 30, Charles J. Guiteau s'approcha de Garfield et lui tira deux balles dans le dos, à bout portant. Ce dernier était contrarié d'avoir vu sa candidature de consul à Paris être refusée à plusieurs reprises car il n'avait aucune qualification. Il souffrait de troubles mentaux et était convaincu d'avoir donné un discours décisif pour l'élection de Garfield. Quand sa nomination fut rejetée, Guiteau se mit à croire que le parti républicain et le pays avaient été trahis et que Dieu lui avait affirmé qu'il pourrait sauver la nation et le parti si Garfield était « éliminé ».

Garfield s'écria immédiatement après avoir été touché : « Mon Dieu, qu'est-ce donc? ». La première balle érafla Garfield au bras et la seconde se logea près de son foie, mais les médecins ne parvinrent pas à la localiser avec précision ; l'autopsie révéla qu'elle se trouvait derrière le pancréas.
Alexander Graham Bell mit au point un détecteur de métaux afin de trouver la fameuse balle dans le corps du président, mais les interférences provoquées par le lit à armatures en fer empêchèrent l'appareil de fonctionner. L'état de Garfield se détériora fortement dans les semaines qui suivirent, en raison de l'infection, qui affaiblit son cœur.

Le lundi 19 septembre 1881, à 22 h 20, Garfield décéda d'un infarctus du myocarde ou d'une rupture d'anévrisme de l'artère splénique, consécutive à une septicémie et une pneumonie. La mort de Garfield fut prononcée à 22 h 35 à Elberon. Lucretia resta auprès de son époux pendant une heure jusqu'à ce qu'elle soit raccompagnée à l'extérieur de la chambre. Il décéda exactement deux mois avant son cinquantième anniversaire et est donc le second plus jeune président à mourir après John F. Kennedy, qui fut également assassiné. Pendant les 80 jours, entre l'attentat et sa mort, son seul acte officiel fut la signature d'un acte d'extradition. Ses derniers mots furent « Mon travail est accompli.»

Guiteau fut formellement inculpé pour le meurtre de Garfield le 14 octobre 1881. Malgré sa défense basée sur la folie, le jury le condamna à mort le 5 janvier 1882 et il fut pendu le 30 juin.







William McKinley
25e président des Etats-Unis

De même que sa carrière professionnelle progressait, sa vie sociale s'épanouit lorsqu'il fit la cour à Ida Saxton, la fille d'une importante famille de Canton. Ils se marièrent le 25 janvier 1871 dans l'église presbytérienne récemment construite de Canton même si Ida rejoignit la foi méthodiste de son époux. Leur premier enfant, Katherine, naquit le jour de Noël 1871. Ils eurent une seconde fille, Ida, en 1873 mais elle mourut la même année. L'épouse de McKinley sombra dans une profonde dépression après la mort de leur fille et sa santé, déjà fragile, se dégrada. Deux ans plus tard, en 1875, Katherine mourut d'une fièvre typhoïde. Le couple n'eut pas d'autres enfants, mais Ida ne se remit jamais de la mort de ses filles, souffrant d'épilepsie et regrettant l'absence régulière de son époux, qui resta cependant un mari dévoué et s'occupa de sa femme jusqu'à sa mort.



Ida Saxton McKinley, 
née le 8 juin 1847 à Canton (Ohio) et morte le 26 mai 1907 
dans sa ville natale, en sa qualité d'épouse 
du 25e président des États-Unis, William McKinley, 
fut la « première dame » des États-Unis
 du 4 mars 1897 au 14 septembre 1901.


Le 5 septembre 1901, le président donna un discours devant 50 000 personnes à l'exposition pan-américaine se déroulant à Buffalo. Dans la foule, l'anarchiste Leon Czolgosz voulait assassiner McKinley mais renonça car il n'était pas certain de toucher sa cible. Il revint le lendemain dans le Temple of Music de l'exposition, où il tira deux balles dans l'abdomen du président.
McKinley, mal soigné sur place, sembla d'abord se remettre de ses blessures mais son état se dégrada dans les jours qui suivirent. Il mourut le 14 septembre 1901 à 2 h 15. Theodore Roosevelt était rapidement rentré à Buffalo à cheval et en train et il prêta serment dans l'après-midi dans la maison de son ami, Ansley Wilcox (en), auquel il avait emprunté des vêtements plus formels. Il jura de poursuivre l'agenda politique de McKinley. Czolgosz fut condamné à mort le 26 septembre et électrocuté le 29 octobre 1901.


Les précédents (présidents) : le lumineux.





L'assassinat de Lincoln par Booth, 
gravure de Henrique Fleiuss, 1865 (Semana Illustrada, Brésil).


14 avril 1865 : Abraham Lincoln rencontre souvent le général Grant, qui commande les troupes de l'Union, pour aborder les problèmes de la reconstruction des États sudistes. C’est au cours d’une sortie au théâtre Ford à Washington (la pièce s'appelait Our American cousin) qu’il est assassiné par un sympathisant sudiste. Ce dernier, John Wilkes Booth, s'introduit derrière Lincoln et lui tire une balle à bout portant derrière la tête, au niveau de la nuque. Les médecins accourent et voient tout de suite que la balle a atteint le cerveau. Ils le transportent dans une maison en face du théâtre où il passe la nuit sans reprendre connaissance. Lincoln meurt le lendemain matin, à 7 h 22. Booth cria en s'enfuyant « Sic semper tyrannis! » (latin : « Ainsi en est-il toujours des tyrans ! »). Cette citation se trouve dans l'hymne du Maryland, où Booth avait rencontré un certain succès en tant qu'acteur, et sur le Grand Sceau de l'État de Virginie dont elle est la devise officielle. La nouvelle arrive en Europe dix jours plus tard, par le paquebot Australasian, puis télégraphiée par Reuters assez tôt pour le bouclage de l'édition du 27 avril 1865 du quotidien Le Temps.



Mais sa femme mourut dans la misère. L’angoisse de Jackie, qui deviendra Madame Onassis.



Mary Ann Todd Lincoln (13 décembre 1818 – 16 juillet 1882) 
était l'épouse du seizième président américain Abraham Lincoln, 
et fut première dame des États-Unis de 1861 à 1865.

Mary Todd Lincoln ne se remet jamais de cette tragédie. Elle retourne vivre en Illinois, et on lui accorde une pension de 3 000 $ par an en tant que veuve du président. La mort de son fils cadet, Tad, en 1871, la plonge dans une dépression encore plus profonde.
Sa conduite devient de plus en plus incohérente, elle dépense follement tout en se plaignant d'être ruinée et se met à parler de complot pour l'assassiner. Son fils ainé, Robert, inquiet et embarrassé de la situation, la fait hospitaliser dans une maison de repos contre son gré en 1875. Elle obtient d'en sortir trois mois plus tard, et retourne vivre chez sa sœur, Elizabeth Edwards, mais ne pardonne jamais le geste de son fils qu'elle considère comme une trahison.
Mary Lincoln part alors deux fois en Europe. Elle s´installe entre autres pendant quelques mois à Francfort et plus tard un temps à Pau, en France.
De retour en Amérique, désormais presque aveugle, elle se blesse grièvement à la colonne vertébrale, lors d'une chute en 1879. Elle passe ses dernières années alitée, et s'éteint à l'âge de 63 ans. Elle est inhumée auprès de son mari et de ses trois fils à Springfield (dans l'Illinois).
Mary Todd Lincoln demeure une figure controversée de l'histoire américaine ; plusieurs hypothèses ont été émises sur les causes de son comportement, bien qu'il soit impossible de le confirmer, elle souffrait probablement de trouble bipolaire.

(Source: Wikipedia)






Et pour ne pas oublier...

N’hésitez pas à visiter la page de l’actualité de décembre,
 qui concerne :

L'Université populaire du Pays de Vierzon
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Café repaire
Cinéma et psychanalyse à Châteauroux
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https://cinegraphe.blogspot.fr/2017/02/actu-fevrier-2017.html





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