samedi 31 mars 2018

PAUSE CRITIQUE MARS 18

avec Francis de Laveleye
(producteur et maître de conférences à l’Université Libre de Bruxelles)


















Photo : il est venu à Vierzon, avec sa femme France Brel :

(Un grand merci pour nous avoir donné l'autorisation de diffuser ses critiques sur notre blog.)



FILMS MARS


471

Black Panther de Ryan Coogler


Black Out ou Le SUPER ZÉRO. Je ne devrais pas aller voir ce genre de film, mais il n'y avait rien d'autre à me mettre sous la paupière ce jour là, et, par ailleurs, c'est un immense succès du Box Office. Donc j'ai surmonté mon aversion pour les jeux vidéo, les bandes dessinées infantiles, et les récits crétins qui s'apparentent à des uchronies dans lesquelles tout est, si j'ose dire, blanc ou noir, arbitraire, et sans surprise.

Et le film commence en marchant sur les plates-bandes du Créateur lui-même, rien de moins...

Ce qui amuse, c'est évidemment que le super héros est noir. Cela frise parfois le racisme à rebours, mais c'est la loi du genre. Remarquez autour de vous les maquillages/tatouages adoptés déjà par certaines (très jolies) femmes qui se peignent des ronds blancs en archipel sur la peau noire de leurs pommettes. Le récit propose une alternance d'explications tarabiscotées, de dialogues qui donnent aux tweets le statut de discours sur l'état de l'Union. Les échanges entre ces personnages de Guignole sont structurés toujours sujet/verbe/complément. Tout qualificatif serait ressenti comme un écart de langage et une subordonnée comme une longueur.

Alors pour rompre l'ennui, on se tape sur la tronche, et joyeusement. Plusieurs grandes batailles font l'objet d'un spectacle d'une violence et d'une brutalité que le spectateur doit évidemment prendre au second degré, lui qui peine déjà à se maintenir au premier. Bref la banalisation de la sauvagerie. Le tout pour la prétendue défense d’idéaux à côté desquels Daesh passe pour une synthèse de Kant et de Foucaud.

Avec une incompréhensible tentative de relier cette fantasmagorie au réel, aux faubourgs dans lesquels quelques gosses jouent au basket.
Ce qui force l'admiration de ce spectacle c'est l'extraordinaire maîtrise des effets en 3d. Pour ce qui est de la musique, n'oubliez pas vos boules Quies.


472

Après la Guerre de Annarita Zambrano


Film important qui se mérite et qu'il faut soutenir car il est d'une brûlante actualité.

Trois regards de femmes convergent sur un moment clé : un assassinat qui se veut politique et qui, des années plus tard, ramène à l'avant plan les années de plomb qui ont endeuillées l'Italie.

La fille d'un militant d'alors est maintenant adolescente et découvre sans en comprendre la complexité, cet univers dans lequel son père, antipathique et mal léché, essaye de survivre avec ses schémas en ruines, indéfendables. La sœur de ce planqué de la lutte armée vit encore en Italie, proche de leur mère. Et ces 3 générations portent sur cette aventure épouvantable dans laquelle la vie humaine, aux yeux de certains, n'avait plus d'autre valeur que d'être arbitrairement supprimée pour des motifs apparemment idéalistes mais qui se sont avérés de sinistres crapuleries baignées dans un jargon de fumigène. Une interview dans le film est sans doute l'un des moments les plus intéressants qui nourrit la réflexion sur ces trajectoires pathétiques qui ont abouti à restaurer une droite dure, au lieu de concourir à une amélioration de la vie des plus démunis. Marilyne Canto est la journaliste, une actrice d'exception. L'image éclairée avec les moyens du bord concours pour beaucoup au réalisme et à la pesanteur des ambiances. La structure du film est très subtilement construite, les enfants donnent à ce récit quelque peu étouffant une respiration, un espoir d'avenir et un charme humain dont nous avons bien besoin, aujourd'hui où se perpétuent le même genre de gestes de mort motivés par une pensée en bouillie. Car après la guerre, c'est encore la guerre.



473

Lean on Pete de Andrew Haigh


C'est le nom d'un cheval. Le film est " lourd " émotionnellement, repose sur un seul personnage, adolescent, issu d'un milieu très 1/4 monde de l'Amérique profonde.

L'acteur est saisissant de justesse et à travers les épreuves (et les soutiens rustauds) par lesquels il passe, une empathie se crée et le spectateur est de plus en plus mal à l'aise " que de telles choses existent ".

Aucune concession aux ficelles scénaristiques ; tout est " brut de décoffrage " comme par exemple le traitement photographique. Les personnages croisés le long de ce chemin de croix sont tous victimes d'un système qui permet le luxe le plus ostentatoire et la misère la plus noire.

Je vais proposer un concept de catégorisation des films à côté de feel good, comédie sentimentale, uchronie, gore, biopic, polard, cinéma du réel, blockbuster, épopée authentique, rood movie, etc.

Que penseriez-vous d'un Cinéma de l'effarement ? Ce film en est me semble-t-il, un bon exemple. Un précédent film de ce réalisateur 45 Years (200), montrait déjà l'acuité de son regard sur les groupes humains. Ici, c'est une nouvelle fois un anglais qui dépeint certains aspects  de l'Amérique, sans concession, mais avec talent.
Pour mémoire, ces films qui ont réussi, me semble-t-il, ce même tour de force par un regard anthropologique : Hell or High Water - Commancheria de David Mackenzie (289) American Honey de Andrea Arnold (340)



474

Oh Lucy ! de Atsuko Hirayanagi


Étrange et intéressant film qui confronte deux sœurs, la fille de l'une d'elle, et un amant, à la vie japonaise et américaine. Filmé avec tact mais sans aucun didactisme, ce voyage déroute d'abord par la singularité de ce qui est proposé. Petit à petit émerge le fond de l'affaire : une histoire d'amour complexe, pudique mais très impérieuse. Il est imaginable que la " lecture, la compréhension " d'un tel film soit pour partie dépendante de la connaissance de la vie japonaise d'aujourd'hui. Il y a quelques moments filmés dans l'entreprise administrative où travaille l'une des sœurs qui sont d'un exotisme surprenant ! Il y a des moments de face à face d'une intensité, d'une violence contenue, qui font ressentir profondément ce qui peut animer un être humain, envieux, jaloux, passionné, ...

Et l'on quitte le film surpris de s'être attaché à l'une des sœurs au moins, dont le destin touche à l'universel : la recherche de l'amour.
C'est une femme qui a réalisé et co-écrit le film. Cette sensibilité si singulière en est peut-être l'indice.

C'est un " premier " film qui a été tourné en 4 semaines. Cela ne se sent pas mais la ferveur du projet rejaillit sur le spectateur.

475

Hostiles de Scott Cooper


Un Western pur jus. Tout y est, depuis un prologue façon Sergio Leone, jusqu'à la confrontation à la vie, à la mort.

Les personnages sont caricaturaux, sans excès, mais tous très savoureux. Ils font une surenchère à celui qui parlera de la façon la plus incompréhensible, en mâchant les mots prononcés avec un accent qui sent le cuire et le mauvais alcool. La langue cheyenne est utilisée ce qui donne au film une petite touche d'anthropologie de terrain que le soin mis aux costumes, à de nombreux détails, accentue encore. Les images sont belles, les effets techniques et les cascades spectaculaires. L'histoire est verrouillée dès le début par une confrontation, une mise au point, une mise au pas qui définissent la mission. Et celle-ci ne se déroulera pas comme une cérémonie de première communion ! Alors tous les poncifs sont appelés à la rescousse : le bon noir, les Comanches redoutés, les Cheyennes qui deviennent alliés, les bons sentiments politiquement correctes dégoulinent comme le sang des blessures parfois mortelles. Les chapitres du film sont ponctués par des images grandioses de la caravane livrée à elle-même dans des paysages impressionnants, les bivouacs se succèdent, apportant chaque fois leurs lots d'événements dramatiques. Le film avance un peu lentement, chapitre après chapitre. Les rebondissements de l'histoire semblent parfois un peu mécaniques, caricaturaux. Cela contribue sans doute à la rugosité des personnages, à la brutalité ambiante.

Le savoir faire de tous les intervenants, réalisateur, acteurs, chef opérateur, costumière, cascadeurs, compositeur d'une musique à contre pied de la grandiloquence habituelle, etc. font de ce film un spectacle excellent pour qui aime ce genre de cinéma et d'histoire.


476

Hannah de Andrea Pallaoro


Au secours, Chantal Ackerman est de retour, dans ce style vaniteux, prétentieux, d'une vacuité abyssale et d'une arrogance himalayenne qui font de ce genre de film un exercice difficile, celui qui consiste à choisir entre la fuite et la sidération. Que se passe-t-il durant 95 minutes ? Rien. Un vague prétexte dont le spectateur est considéré comme indigne d'être informé de façon précise fait de Hannah une femme livrée à elle-même, seule sauf lorsqu'elle fréquente un groupe de thérapie aussi caricatural que ridicule, lorsqu'elle fait son travail de femme de ménage, lorsqu'elle vaque à ses petites affaires. Et l'on s'ennuie désespéramment a admirer l'actrice absolument fascinante d'intériorité, assumant son âge, son apparence marquée par le temps, sa peau qui s'avachit et qui donne à son visage, à son regard, une force exceptionnelle, une densité qui laisse espérer jusqu'à la fin, que quelque chose d'intéressant va avoir lieu. Le cadre d'un format " grand écran ", est utilisé de façon paradoxale essentiellement en plan poitrine, avec des artifices d'avant plans pour en équilibrer de façon esthétisante la composition. Généralement immobile, la caméra propose une mise en scène verrouillée, statique, dogmatique et un peu provocante : Charlotte Rampling est filmée souvent en " profil perdu ", son visage sort du cadre. Tout cela est enregistré sur pellicule 35 m/m, les miroirs sont surabondamment utilisés, pour leurs effets d'optiques, mais aussi pour leur symbolique un peu pataude.  Le spectateur n'arrive pas à voir ce qui constitue l'environnement tant physique que mental de cet exercice pour cinéaste radicalisé dans un formalisme délétère.





465

Breathe de Andy Serkis (Salle 4 du Palace, magnifique !)

Un film délicieusement réalisé même si le sujet est très pesant. L'élégance en toute chose (notamment l'anglais parlé de façon exquise) fait du spectacle un enchantement, en trois parties. La découverte de la passion, l'amour mis à l'épreuve, puis la mort. Il y a un mélange d'humour et de tendresse, et une immense souffrance qui s'entremêlent de façon particulièrement bien contée. Les acteurs sont absolument éblouissants, les décors, les costumes, les reconstitutions au fil du temps, chaque accessoire, chaque détail, sont très soigneusement maîtrisés. Claire Foy incarne le personnage central, magnifiquement. Il y a un côté  Out of Africa au début, qui est agréable, d'autres moments très forts, un peu de " tire larmes " mais pas trop, et un style narratif, un rythme, qui rendent la vision dynamique, accrochante, et digne du sujet traité.

Respirez à fond et allez voir ce film, il contribuera aussi à prendre de la distance avec nos petits bobos. Et il ne vous échappera pas que le producteur du film est le fils du couple dont nous découvrons l'histoire.

466

Red Sparrow de Francis Lawrence

Moineau rouge, c'est le sobriquet des hommes et des femmes formés par les se(r)vices secrets russes pour des missions plus tordues les unes que les autres. Et leur arme principale, c'est leur corps, en cela compris ce qui fait la différence entre une femme et un homme. Chaud !

L'ambiance est en effet au réchauffement de la Guerre Froide, dans un imbroglio embrouillé de méandres politico-militaires et d'espions. Les agents doubles, c'est comme les crêpes : il faut les retourner plusieurs fois pour en apprécier toute la saveur. Ici, les retournements donnent le tournis. On n'y comprend plus rien mais il ne faut pas le dire sauf à passer pour un crétin.

Tout cela est superbement filmé, dans des décors staliniens impressionnants, avec un soin esthétique majestueux qui nous valent des plans larges très généreux, un spectacle supposé se dérouler au Bolchoï, des images très " léchées "

avec même à la fin l'échange d'espion sur un aéroport la nuit dans la meilleur tradition de Checkpoint Charlie.
Les acteurs sont aussi convaincants que possible lorsqu'il faut incarner des stéréotypes. Le déroulement de l'histoire est conforme à ce que l'on attend de ce genre de cinéma, une alternance de tension, de torture psychologique, d'action, de violence et de sexe. Du sang aussi, histoire que les âmes sensibles puissent fermer les yeux d'un air effrayé. Bref, du cinéma de (grand) genre très bien maîtrisé mais dont le propos est un peu bas de plafond.

Chacun verra que Matthias Schoenaerts ressemble comme un fils à Poutine ; amusant. Plus plaisant, le charme de Jennifer Lawrence, irrésistible et froide comme un brise-glace. Charlotte Rampling assume magistralement un rôle ingrat. Elle porte des bottes de cuire, le genre de détail qui aide à camper un personnage. Des bottes militaires, pas de call girl. Inutile d'espérer un come-back façon Les Damnés. Tout ce beau monde est russe, mais parle anglais.

Et c'est un choix bien compréhensible puisque c'est un film/produit pour grands enfants qui s'encanaillent sans risque en dévorant du corn-flake. Bon appétit.

467

Maria by Callas de Tom Volf

Film important mais décevant. Il s'agit de raconter l'histoire de La Callas, sujet déjà bien labouré dans Callas for Ever avec Fanny Ardant (qui revient ici mais par la voix seulement) et par le documentaire remarquable de Philippe Kolhy, Maria Callas Assoluta. La pari, à mon estime raté, de ce film est de n'utiliser que des documents d'archive. Beau défi.

Mais l'intérêt du film vient de l'analyse de tout ce qui ne fonctionne pas.

D'abord l'absence de point de vue du réalisateur ; il patauge dans ses séquences qui, grosso modo, sont montées chronologiquement, mais tout de même avec quelques écarts. La restauration des images soulève un grave problème, celui du respect de l'original d'époque dont on impose la vision médiocre, alors qu'à l'évidence, un travail aurait pu être fait qui ne l'a pas été.

Autre grave problème mal résolu, celui des durées de la Diva lorsqu'elle chante. C'est magnifique, certes, mais devient trop long car l'on est embarqué dans un biopic sans fiction. Et sans rythme. Quant au personnage, l'image qui en est donnée est sans finesse, sans nuance, elle est engoncée dans ses breloques aux pesants carats, et ses coiffures qui ont certainement  contribué au réchauffement de la planète. Pas d'émotion, et le passage de Jacqueline Kennedy, surnommée alors LA DALLAS par Pascal Thomas, semble traité avec une espèce de gêne qu'une pudeur soudaine ne justifie pas.

Et comme l'histoire est connue et le scénario peu réfléchi, le film enchaîne les fins nombreuses et successives, jusqu'à user la patience des mélomanes qui sont piégés par un film de presse people assez banal.


468

Une Part d'Ombre de Samuel Tilman (Salle 2 du Palace, magnifique !)
N'allumez pas la lumière, sauf si vous avez envie d'analyser tout ce qui fait la différence entre un bon film à suspens et un téléfilm très moyen.

Les acteurs sont tous très bons, mais sans éclat. Et cela se comprend car le " naturalisme " appuyé du style, rend chacun " ordinaire ", quelconque, sans relief. De petites empoignades entre amis, histoire de montrer que l'on sait faire l'acteur, pas seulement le figurant.

Le cadre est à l'affut, il bouge pour donner l'impression d'une certaine tension. Et l'idée n'est pas mauvaise, car il n'y en a guère dans le scénario. Tout passe par les dialogues, qui sont " ordinaires " eux aussi. Le montage dépasse rarement le niveau du dégrossissage dans l'enchaînement maladroit des séquences, avec plusieurs fois un manque d'explications qui crée un suspens, les seuls du film.

L'idée du scénario est amusante : être " à moitié coupable " et observer s'instiller dans le groupe de ses proches le venin du doute. Doute abondamment nourri par une information banale et peu, quasi pas illustrée. Commentée, simplement... Bref, cette part d'ombre est loin de passer en pleine lumière.


469

Eva de Benoît Jacquot

Évanescent. Un film " pour rien " qui nous raconte lourdement la vie d'un giton sans scrupule qui se partage entre deux femmes, la blonde, légitime genre BCBG et la brune, la tentation incarnée, plus cynique encore que lui. Alors ceux qui apprécient les relations malsaines, les tentions artificiellement créées, e.a. par une musique convenue et par des scènes cent fois vues et filmées de façon classique, trouveront peut-être un certain piquant à cette descente aux enfers très bobo. Gaspard Ulliel est très bon dans le personnage mais hiératique dans sa façon d'être dans le film, sans nuances, sans évolution. Isabelle Huppert est excellente à son habitude. Mais ce n'est pas un grand rôle pour elle, mâchoires serrées, regard d'acier, répliques cinglantes. Du déjà vu.

Et une nouvelle fois un Tax Shelter exemplaire de l'abus du processus. Certes 2 acteurs qui font des panouilles, quelques prestations techniques. Mais rien, strictement rien qui aide à donner à la production belge une identité propre.


470

Hikari (Vers la Lumière) de Naomi Kawase

Film en clair-obscure, d'une grande sensibilité, d'une complexité que l'on attribue volontiers au japonais et qui sort totalement des chemins battus : les malvoyants en sont le sujet central, et en particulier l'audiodescription, cette technique qui consiste à évoquer pour les aveugles, les images d'un film.

Inutile de dire que tout cela est très ténu, très subtile, difficile de ... voir vers quoi la réalisatrice va nous amener ; vers la lumière ? Paradoxe bien entendu, mais bien vu aussi. La fragilité des personnages trouve son reflet dans la fragilité du scénario qui avance on ne sait trop comment vers une passion entre la voyante et le non voyant comme si leur rapprochement, un peu artificiel m'a-t-il semblé, était la rencontre entre les forces obscures, les ténèbres, et l'incarnation d'une forme de beauté, de pureté tant formelle qu'intérieure. Ayame Misaki est la comédienne sur laquelle repose tout le film ; elle est d'une grâce, d'une intériorité admirable et contribue pour beaucoup à l'éclat du film qui se manifeste par de multiples rayons lumineux qui irradient de son regard, de ses expressions d'une très subtile finesse, d'une belle variété.

Bref, à voir lorsque l'on est prêt à éclairer les chemins sinueux des pensées les plus occultes. Les Délices de Tokyo (194) m'avaient fascinés déjà par les mêmes traits qui caractérisent ce film-ci : cadrage au plus prêt des personnes filmées, longs temps de méditation, intrusion de la nature dans toute sa beauté de carte postale, une absence de structure cartésienne qui fait du spectateur un découvreur de codes nouveaux d'échanges interpersonnels. Vers la lumière mérite d'être vu.





































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Berry républicain 2 décembre 2017



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