17e séance avec débat
LA DANSE DE SHIVA
Film documentaire français de Lionel Tardif. (1h20)
Tous ceux qui affectionnent la culture et l'art indien ne peuvent pas manquer le film de Lionel Tardif. Car la Danse de Shiva est sans doute l'un des films sur l'Inde les mieux primés de ces dernières années et le dernier témoignage vivant de celle qui fut la plus grande danseuse de l'état du Tamil Nadu, la seule à avoir dépassé le sommet de son art au prix de terribles souffrances physiques : Swarnamukhi (Visage d'Or).
Ciné débat VENDREDI 13 DECEMBRE à 20h30
en présence de Lionel Tardif, réalisateur du film
LA DANSE DE SHIVA
(1986) 75' (France Inde)
un film de Lionel TARDIF
scénario : Lionel Tardif Manochhaya
images
: Jacques Audrain
son :
Jean Pierre Houël
interprétation/danses
: SWARNAMUKHI, MANOCHHAYA, AMY SWANSON
production : Boldnorth – Cyril Spitzer
réalisation
: Lionel Tardif
L'histoire
:
Une
danseuse américaine se rend sur les hauts lieux de la Danse en Inde du Sud en
quête des origines
du théâtre dansé de l'Inde, le BarathaNatyam.
Elle
rencontre et suit dans les temples les plus sacrés, coeur du Shivaïsme :
Chidambaram sanctuaire de Shiva, Tanjore et Ranganata Swami sur l'îlot de la
Cauvery à Trichy la grande danseuse de temple du pays du Tamil et danseuse
d'Etat Swarnamukhi et son élève Manochhaya dansant pour les dieux. Petit à
petit au rythme de la danse, l'artiste venue d'Occident découvre les canons de
cette gestuelle ancestrale écrits dans les postures du corps, le langage des
mains, les expressions du visage, le rythme des frappements de pieds, mais
aussi inscrits dans la pierre des temples.
Elle
observe dans les cérémonies les arcanes de ce langage universel. Mais
lorsqu'elle repart a-t-elle tout compris ? Car le message délivré par le dieu
Shiva, le danseur de Chidambaram qui met par sa danse en mouvement l'Univers,
et baratte les atomes ne s'apprend pas, il se capte dans le détachement et la
grâce de l'être près à l'Eveil.
LIONEL TARDIF
AUTEUR RÉALISATEUR:
2011: MASCATE, L'ÉLAN ET LA GRÂCE (46')
beta num documentaire de création
co
production: Sultanat d'Oman/ Cinema One
distribution:
Oman TV
Ministère des Affaires étrangères français
en cours de vente: France Télévisions
2004: 7, VOYAGES EN OMAN (93') et (52')
beta cam documentaire de création
co production: Sultanat d'Oman/ Grenade
Production
distribution:
Oman TV (93')
distibution : Odyssée, France 5, Arte sous le
titre "OMAN UN SULTANAT DE CONTRASTE" 52'
2003: SYRIE TERRE BÉNIE DE DIEU (50')
DV documentaire
production indépendante
non distribué
1999: CHEMINS DE GLOIRE EN INDE (45')
DV documentaire
production indépendante
non distribué
1986: LA DANSE DE SHIVA (75')
16m/m
fiction
production:
Bolnorth ltd
avec SWARNAMUKHI,MANOCHHAYA,AMY
SWANSON
distribution:
France 3 (extraits)
Inde (
circuits indépendants)
France
lieux institutionnels
PRIX DU CIDALC SOFIA 1991
1972: LA MAISON DU DÉPART (27')
16m/m fiction
production: les films hermès
avec GÉRARD PIERRON et ANDRÉ CELLIER
distribué dans les salles en 1973
PRIX ET LABEL DE QUALITÉ AU CNC
1969: LE MATIN D'ELVIRE (23') 35m/m fiction
production les films Armorial
avec NADIA GATO et PATRICK COLLET
distribué dans les salles avec le film d'André
Cayatte "Mourir d'Aimer" en 1970
1967: LA FOUINE (25') 16m/m fiction
production indépendante et ORTF
distribution TV française
THÉÂTRE AUTEUR ET MISE EN SCÈNE
2008-2012:
VOIX SOUFIES A TRAVERS LE TEMPS
( trois volets de une heure chacun)
sur trois grands poètes et visionnaires de
l'Islam: Halladj (9éme siècle) Rûmi (13éme siècle) Majrouh (20éme siècle)
3éme volet Saïd Bahodine Majrouh d'après son
oeuvre ÉGO MONSTRE,
joué au Centre Éthique International de
Montpellier ,sélectionnée au 14éme Rendez vous de l'histoire de Blois octobre
2011 et
au Théâtre d'Aubervilliers/Espace Renaudie
mars 2012
monté avec la troupe de "la Cie. du Sens
" et jouée également dans différents théâtre de la région centre
2éme volet Rûmi joué au festival des Musiques
Sacrées de Fès en 2008
2004: LA LOIRE LE FLEUVE QUI S'ENVOLE VERS LE
CIEL
joué à l'hotel de ville de Tours d'après son
scénario de film avec la troupe théâtrale de Musiques et images du monde.
2004 : DERRIERE LE VOILE
joué au festival des Musiques Sacrées de Fès
et dans differents lieux institutionnels en france
1986:
LA LUMIÈRE DU MONDE
d'après des poêmes de Rabindranah Tagore
monté avec le " Théâtre de
l'Ephémère"
joué au théâtre de Tours et au Théâtre d'Orly
ÉVÉNEMENTIEL
1996: LA JEANNE D'ARC DE DREYER avec le choeur et orchestre de FRANÇOISE
LEGRAND et le ténor JOSÉ VAN DAMME accompagnant le film sur des écrans géants
sur la base aérienne de Tours a l'occasion de la venue du pape JEAN PAUL II
ÉCRIVAIN
2007 : RECHERCHES ET EXPÉRIENCES SOVIÉTIQUES
DU THÉÂTRE AU CINÉMA
édition: Cahiers de poètique de l'université
de Paris VIII
2007: NAISSANCE D'UN LANGAGE: LE CINÉMA
édition: Académie des sciences,arts
belleslettres de touraine
2006: TAJ MAHAL ROSE DU MONDE
édition: le Cercle des auteurs
1997: LES GRANDS AVENTURIERS DU CINÉMA
édition: Trois Mondes
1988 : VERS UNE NOUVELLE CONSCIENCE
édition: Jean Boully
1970: LA MONTÉE DE LA SÈVE
édition : Cahiers du Beffroi
1970: CHRONIQUES D'UN HOMME DU COSMOS
édition: Cahiers du Beffroi
1970-2005
dirige la revue des Cahiers de la Cinémathèque
de l'Antenne de la Cinémathèque française de Tours fondée par Henri Langlois et
Lionel Tardif
écrit de très nombreux articles sur le cinéma
et son langage.
Pour des renseignements encore
plus complets sur mon parcours
merci
de consulter mon blog : http://lioneltardif.blogspot.com
L'analyse
:
C'est un document unique sur la dernière danseuse de temple
du pays Tamoul :Swarnamukhi qui a pu être tourné grâce à elle et avec les
autorisations des prêtres dans les temples les plus sacrés pour les hindous. Ce
qui a été autorisé à un occidental avait été jusque là refusé aux indiens. Car
Swarnamukhi ne voulait pas que ces danses soient traitées dans le style
«Bollywood » qui sévissait depuis bien longtemps en Inde.
Pour le film, un Hall de Danse fermé depuis fort longtemps à
Chidambaram a été ouvert afin que les danseurs y exécutent la danse
d'ouverture. En le voyant le grand indianiste Arnaud Desjardins devait écrire «
quant au final c'est au delà de ce qu'on peut dire devant tant de beauté ».
Ici le réalisateur s'efface devant la création en train de
se faire. Son rôle a été de prendre la distance nécessaire pour restituer la
danse en optant pour le « plan moyen » qui laisse tout l'ensemble du corps
évoluer dans l'espace et nous livrer ses expressions. Mais la construction du
film obéit à une loi rigoureuse du temps quant à son rythme lent et méditatif
afin de pouvoir entrer dans le coeur du public. En Inde on appelle cela « le
Rasa » qui peut être traduit par l'émotion esthétique, mais c'est bien plus que
cela encore. C'est la saveur, la contemplation, ce qui rend la poésie possible.
Les poèmes qui accompagnent le film et qui sont dits par le
comédien irakien Saadi Younis Bahri émanent de recherches faites par Manochhaya
sur des textes sanscrits très anciens avec l'aide de l'indianiste Amala Devi.
Quant au réalisateur il a été touché très jeune par l'Inde,
la danse et les grands textes de l'Inde dont ceux d'Ananda Coomaraswamy qui
écrit à propos de la danse de Shiva :
« notre seigneur est le danseur qui telle la chaleur latente
dans le bois à brûler, diffuse Sa puissance dans l'esprit et dans la matière et
les fait danser chacun à son tour ».
Comme on l'a si bien dit, le Shiva danseur à pour théâtre le
Cosmos.
La création de Lionel Tardif a été de nous emmener vers un
rythme fondamental afin de concilier le Temps avec l'Eternité.
La
presse :
Ce film a obtenu en 1991 à Sofia, en Bulgarie Le Grand Prix
du C.I.D.A.L.C. : le Comité International pour la Diffusion des Arts et des
Lettres par le Cinéma.
En 1988, des extraits ont été présentés sur France 3 dans
une émition consacrée à l'astrophysicien Hubert Reeves.
Le film a été présenté plusieurs fois à L'Unesco et
notamment dans la cadre de « l'Année de l'Inde en France ».
Projections dans des lieux prestigieux : L'ONU, l'Université
de Floride (USA) à leur demande, l'Université d'Evora (Portugal), l'Université
de la Sorbonne, le Musée Guimet, au Festival International des musiques sacrées
du monde à Fès (Maroc).
Des présentations dans différents centres culturels, en
Belgique, Suisse, Ile de la Réunion et en France. Il a été présenté au festival
Film et Spiritualité de Paris et à la Cinémathèque française.
Quelques extraits de presse :
Le Courrier de Genève :
« Un film exceptionnel : La Danse de Shiva, tourné dans les
temples eux-mêmes. On y voit notamment, filmée pour la première fois la « Danse
du Serpent », évocation de la montée de la Kundalini, dans le corps humain ».
Le Réunionnais (Ile de la Réunion) :
« Tous ceux qui affectionnent la culture et l'art indien ne
peuvent pas manquer le dernier long métrage de Lionel Tardif. Car la Danse de
Shiva est sans doute l'un des films sur l'Inde les mieux primés de ces
dernières années et le dernier témoignage vivant de celle qui fut la plus
grande danseuse de l'état du Tamil Nadu, la seule à avoir dépassé le sommet de
son art au prix de terribles souffrances physiques : Swarnamukhi (Visage d'Or)
».
La Nouvelle République du Centre Ouest :
« Lionel Tardif est le premier cinéaste au monde à avoir pu
filmer certaines cérémonies des sanctuaires du shivaïsme... Il faut voir en
entier le déroulement de cette danse qui évoque la montée de Kundalini, c'est à
dire de l'énergie la plus secrète conduisant Swarnamukhi à un étonnant
détachement du corps et de l'esprit, alors qu'elle est en train de réaliser une
performance à couper le souffle ».
Journal des Rencontres Internationales Henri Langlois
:
« Les danses sont exécutées par Swarnamuki, l'unique
danseuse d'état nommée à vie. Elle est la seule à exécuter les karanas, les
poses les plus compliquées inscrites dans la pierre des temples dravidiens. A
ses côtés, sa disciple Manochhaya assure un lien possible entre l'Orient et
l'Occident puisque française. Son talent vient d'être confirmé par l'Unesco. »
Revue de la Cinémathèque française – le
cinquantenaire – l'Année de l'Inde (1986) :
« La Danse de Shiva de Lionel Tardif a été présenté avec «
Le fleuve », de Jean Renoir, « Le tombeau hindou », de Fritz Lang, « l'Inde
fantôme » de Louis Malle, et « Tusk » d'Alejandro Jodorowsky, dans le cadre
d'une sélection établie par la Cinémathèque de la Danse à la Cinémathèque
française. »
Le Tigre du
Bengale (Der
Tiger von Eschnapur) est un film allemand
réalisé par Fritz Lang,
sorti en 1959.
C'est le premier volet d'un diptyque qui se poursuit avec Le Tombeau hindou (Das indische
Grabmal), sorti en 1959 également.
Ce "serial de luxe" ou "devoir de
vacances", comme il fut souvent taxé, contient absolument tous les clichés
du film d’aventure dit "exotique" : personnages unidimensionnels avec
prêtres fourbes, princes ambitieux, politiciens véreux, domestiques bafoués,
danseuse charmante, héros au cœur pur ; péripéties vraisemblables ou non à
foison ; happy-end...
Mais derrière la naïveté voulue de ce somptueux livre d’images se cache une richesse symbolique étonnante (d’innombrables signes parsèment les deux films, symboles que je vous laisse le loisir et le plaisir de découvrir par vous même), un certain sadisme et un fort potentiel érotique, témoin la seconde danse de Seetha devant le cobra, la danseuse se déhanchant lascivement pendant cinq bonnes minutes quasiment nue devant les prêtres et le spectateur. Même les péplums italiens des années 60, qui iront assez loin dans cette veine, n’arriveront jamais à un tel degré de volupté et de sensualité.
Mais qu’en est-il des thèmes "langiens" dans ce film rocambolesque, à première vue très loin de ses préoccupations habituelles ? Et bien ils font bien acte de présence ! Sa vision du monde ne se pare plus d’aucune ambiguïté : c’est un climat de tragédie et de fatalité qui s’abat sur les protagonistes dès le début de l’histoire. Tous les personnages sont animés par leurs passions aux mobiles à peu près uniques qui leur servent à se mouvoir et à vivre : passions amoureuses pour les protagonistes principaux, soif de pouvoir, désir de vengeance ou fanatisme religieux pour les autres. Chandra éprouve des désirs tellement puissants vis-à-vis de Seetha qu’ils en deviennent contradictoires et monstrueux, l’amour engendrant alors des idées de morts et d’assassinats. Cet amour fou va se transformer en fascination pour la mort représentée par ce Mausolée (ou plutôt "gibet" comme le nomme l’architecte refusant le travail de construction) destiné à la femme qui ne veut pas de lui.
Mais derrière la naïveté voulue de ce somptueux livre d’images se cache une richesse symbolique étonnante (d’innombrables signes parsèment les deux films, symboles que je vous laisse le loisir et le plaisir de découvrir par vous même), un certain sadisme et un fort potentiel érotique, témoin la seconde danse de Seetha devant le cobra, la danseuse se déhanchant lascivement pendant cinq bonnes minutes quasiment nue devant les prêtres et le spectateur. Même les péplums italiens des années 60, qui iront assez loin dans cette veine, n’arriveront jamais à un tel degré de volupté et de sensualité.
Mais qu’en est-il des thèmes "langiens" dans ce film rocambolesque, à première vue très loin de ses préoccupations habituelles ? Et bien ils font bien acte de présence ! Sa vision du monde ne se pare plus d’aucune ambiguïté : c’est un climat de tragédie et de fatalité qui s’abat sur les protagonistes dès le début de l’histoire. Tous les personnages sont animés par leurs passions aux mobiles à peu près uniques qui leur servent à se mouvoir et à vivre : passions amoureuses pour les protagonistes principaux, soif de pouvoir, désir de vengeance ou fanatisme religieux pour les autres. Chandra éprouve des désirs tellement puissants vis-à-vis de Seetha qu’ils en deviennent contradictoires et monstrueux, l’amour engendrant alors des idées de morts et d’assassinats. Cet amour fou va se transformer en fascination pour la mort représentée par ce Mausolée (ou plutôt "gibet" comme le nomme l’architecte refusant le travail de construction) destiné à la femme qui ne veut pas de lui.
Le diptyque nous montre également
l’affrontement qui se fait jour entre l’Orient et l’Occident à travers
l’opposition entre l’architecte allemand et le prince indien mais aussi par l’intermédiaire
du seul personnage de Seetha, née d’une mère hindoue et d’un père irlandais.
Mais pour Lang, comme pour Renoir, Lean et la plupart des grands réalisateurs
ayant trouvé une fois au moins leur inspiration en Inde, c’est la sagesse
spirituelle hindoue qui aura le dernier mot pour que la paix puisse enfin
revenir dans les cœurs et que la violence cesse : c’est lorsque les passions
les plus fortes et les plus folles, celles de Chandra, seront abolies dans le
renoncement à tous biens matériels et charnels que la sérénité pourra refaire
son apparition et qu’enfin nos deux amants pourront se retrouver dans les bras
l’un de l’autre sans plus craindre aucun danger.
Il est évident que pour apprécier ce film, il
faut se laisser prendre par la main par le conteur hors-pair qu’est Fritz Lang
qui nous déroule sa "BD" épurée, philosophique, sociale, exotique et
rocambolesque sans aucun second degré. Il faut accepter les invraisemblances et
la naïveté voulues, la fadeur d’ensemble de l’interprétation (même Debra Paget,
sublime danseuse, se révèle assez décevante en tant qu’actrice), une partition
plutôt ratée de Gerhard Becker pour Le Tombeau hindou (alors que Michel Michelet nous
délivre par exemple dans Le Tigre du Bengale une marche triomphale d’une puissance
assez phénoménale) et certains effets spéciaux totalement loupés comme la
"marionnette" du cobra qui aurait très bien pu être créée par Topor
pour son émission Téléchat. Mais la
beauté plastique irréprochable du film, sa trame agitée de serial (dont Spielberg
s’est certainement souvenu lors de la préparation d'Indiana Jones et le Temple
maudit), la rigueur absolue de sa mise en scène, la magie de
cette intrigue intemporelle, le rythme de ces péripéties incessantes, devraient
au final mettre un terme à vos réticences et vous faire tomber sous le charme
de ces 195 minutes assez uniques.
L'INDE DE LOUIS MALLE
Caméra à l'épaule, Louis Malle parcourt l'Inde en 1968, multipliant les rencontres afin de faire partager sa fascination, mêlée d'incompréhension, pour cet incroyable pays. De ses six mois de périple, il tire deux films : Calcutta, dédié à la capitale indienne et L'Inde Fantôme, 7 fois 52 minutes montées pour la télévision. Le film fait le tour du monde, entre scandale et éblouissement et assoit la réputation d'un cinéaste curieux et touche-à-tout.
L'INDE DE JEAN RENOIR
Le Fleuve (Titre original : The River) est un film américain réalisé par Jean Renoir sorti en 1951 et adapté du roman semi-autobiographique
écrit par Rumer Godden.
Harriet, une
jeune anglaise expatriée, vit avec son petit frère, Bogey, et ses trois sœurs
cadettes dans une grande maison de la région de Calcutta en Inde. Son père dirige une
manufacture de toile de jute tandis que sa mère s’occupe de la famille et
attend un sixième enfant. Un jour d’automne, le capitaine John rentre de la
guerre et vient habiter une maison voisine. Invité à une fête, il y rencontre
Harriet, ainsi que Mélanie une belle métisse indienne et Valérie. Les trois
jeunes filles vont toutes trois tomber sous le charme du bel étranger…
L'INDE DE JODOROWSKI
Tusk est un film d'Alejandro Jodorowsky réalisé en 1980.
Il s'agit d'une adaptation du roman Poo
Lorn l'éléphant de Reginald Campbell; c'est l'histoire du lien qui
unit une petite fille anglaise et un éléphant d'Inde.
au Ciné Lumière de Vierzon
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