séance avec débat
est également présenté sur RADIO TINTOUIN
cinématographiques vierzonnaises :
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Bonne écoute.
Jean-Luc
On ne peut pas dire que le film ait fait l’unanimité, tant en ce qui concerne l’affluence, plutôt maigrelette, que les jugements portés sur lui, plutôt mitigés.
Personne n’avait envie non plus de s’acharner. Le constat, globalement, était le suivant : tous les ingrédients étaient là, mais, on ne sait trop pourquoi, la mayonnaise n’a pas pris.
"Plastiquement somptueux", s’extasie la critique du Monde. Le moins qu’on puisse dire est que nos critiques à nous n’ont pas été franchement convaincus. J’avais annoncé, sur la foi du pitch prometteur, « sûrement » de belles vues de nature, de beaux sentiments nostalgiques, etc. Le constat là encore fut sans appel: ma publicité s’est révélée mensongère. On a regretté le lac à peine vu, la forêt filmée de façon quelconque, l’environnement sonore banal.
Seule la partie documentaire a émergé : le côté grisaille du régime d’avant la chute a été approuvé, jusqu’à penser volontaire l’ennui provoqué chez le spectateur pour lui faire partager au mieux l’ambiance de ce temps. Il s’en est même trouvé un dans la salle pour déclarer qu’il n’avait ressenti aucune longueur contrairement à ce qui venait de se dire, avant que son voisin ne le dénonce : Forcément, tu as dormi la moitié du film, si bien que pour toi il n’a duré que 40 minutes et je n’ai pas osé te réveiller, pas même pour la seule scène un peu sensuelle du film que tu as donc ratée.
L’ombre du texte mythique de Thoreau – ni vraiment roman, ni autobiographie, ni essai philosophique, ni manifeste écologie, mais quand même un peu de tout cela à la fois – plane sur le scénario. Le lac, ici, ne s’appelle pas ainsi, et on prend soin de nous le faire savoir: c’est l’oncle de Paulius, propriétaire des lieux, qui l’avait baptisé ainsi. Du coup, c’est cet oncle qui devient susceptible d’être intéressant. On aimerait suivre cette piste, connaître ses motivations profondes… Mais cette piste tourne court, comme tant d’autres. Le film est placé sous le signe de la frustration permanente.
Le temps surtout est déceptif: pour ceux qui placent leur espoir dans l’inaction en comptant que cela changera vite autour d’eux, c’est le cas de Jana, et pour ceux qui comptent que le changement sera d’abord le fruit de leur action, c’est le cas de Paulius, même s’il prône une fois devant Jana l’audace de ne vivre que du moment présent : mais comment croire sérieusement en la possibilité d’un carpe diem d’avant la chute du rideau de fer ?
Quelques phrases témoignent cependant d’une recherche de profondeur dans la réflexion. Par exemple quand on nous dit que le drame, c’est de chercher l’espoir dans l’avenir, et, quand l’avenir est là, de devoir le chercher dans le passé. On tourne en rond, d’une manière cette fois motivée, comme longtemps dans la forêt, comme dans ce qui devient une succession de flashbacks et de flashforwards jusqu’à l’union finale d’un présent enfin accepté sur fond de lecture du Pan Tadeusz de Mickiewicz. C’est là sans doute le vrai secret du film, secret que les parents connaissent, eux qui n’ont plus d’espoir en quoi que ce soit, et que les jeunes découvrent dans le cadre d’une façon de Bildungsfilm (comme on parle de Bildungsroman, roman d’apprentissage, d’éducation, de formation). C’est l’éveil amoureux dans un univers plombé et plombant.
Quant à l’autre secret présenté comme tel, avec un peu trop de lourdeur, qui consiste à savoir précisément pourquoi l’héroïne n’est pas retournée pour retrouver son héros, et ce qu’il est advenu de ce dernier, il se dégonfle vite comme baudruche. Ainsi en est-il également du thème de la culpabilité, peu ou mal approfondi. Bref, de bonnes intentions, certes, mais pas vraiment abouties. Un Thoreau minimaliste, finalement.
On peut se raccrocher, parfois et trop peu de temps, à quelques branches, comme celles qui pourraient constituer une critique sociale. Comme quand Paulius déclare refuser d’avoir honte de la petitesse de l’appartement où il vit avec sa mère : Avoir un grand appartement, c’est être un fonctionnaire complice du régime.
Jusqu’après la séance, on a envisagé des rapprochements avec notre époque, comme la société du flicage généralisé, simplement esquissés dans le film par quelques policiers épisodiques. La crise actuelle, la guerre en Europe, les mouvements sociaux brutalement réprimés, ont éveillé bien des remarques. Les témoignages dans les Pays Baltes en particulier, dans les pays de l’Est en général, disent la crainte que le rideau de fer, qu’on croyait disparu à jamais, serait de nouveau en train de s’ériger. On a cité la société de la surveillance généralisée, "à la chinoise", mais pas seulement. Ainsi on a pu évoquer les compteurs «intelligents» Linky, susceptibles de réguler l’énergie jusque dans chaque foyer, les plaisanteries sur le pass énergie après le cauchemar du pass sanitaire qui autorisait les seuls vaccinés à aller contaminer librement les salles de cinéma, nos Walden à nous, survolés par les drones policiers pendant le confinement, les promenades solitaires interdites dans les forêts et sur les plages balayées par les vents… Que dans le passé, vraiment ? Peut-on croire en un meilleur futur ? Le film nous dirait que non, c’est peut-être là son seul message.
Jean-Marie
COMPLEMENTS :
Walden ou la Vie dans les bois (titre original Walden; or, Life in the Woods) est un récit publié en 1854 par l'écrivain américain Henry David Thoreau (1817-1862).
Le livre relate son séjour dans la forêt de son ami et mentor Ralph Waldo Emerson, où il habita une cabane durant deux ans, deux mois et deux jours aux abords de l'étang de Walden (Walden Pond), près de sa famille et ses amis qui résidaient à Concord au Massachusetts.
Walden est écrit de telle façon que le séjour semble durer un an seulement. La narration suit les changements de saisons et Thoreau présente ses pensées, observations et spéculations. Il dévoile également comment, au contact de l'élément naturel, l'individu peut se renouveler et se métamorphoser, prendre conscience enfin de la nécessité de fondre toute action et toute éthique sur le rythme des éléments.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Walden_ou_la_Vie_dans_les_bois
L’actrice qui interprète Jana, Ina Marija Bartaitė, parlait français et a étudié la comédie à Paris où elle revenait plusieurs fois. Elle est décédée l’an passé, une voiture l’ayant percutée à Vilnius alors qu’elle roulait à bicyclette.
Son père Šarūnas Bartas est un réalisateur lituanien dont Wikipedia dit (et on peut penser à une influence sur notre réalisatrice) :
Parmi les grands cinéastes contemporains, il est sans doute un de ceux qui travaille le plus la frontière du documentaire et de la fiction. L'imbrication étroite entre documentaire et fiction s'estompe dans The House, « à moins de considérer que ce film relève d'une forme de documentaire qui ne s'en tiendrait pas au réel, mais au possible ».Son cinéma fascine par la longueur de ses plans fixes, souvent liée à la contemplation des déserts. Elle s'offre comme une méditation sur la vacuité des rapports humains, souvent représentés entre des personnages silencieux et sans nom. « Il y a de l'acharnement chez Bartas, dans son utilisation du plan fixe, qui ne lui sert pas à violer l'intimité des gens qu'il filme, mais qu'il conçoit au contraire comme un espace de vie et de liberté pour ceux-ci » (Jérôme Lauté)
La référence avouée est plutôt celle du réalisateur lituanien et américain Jonas Mekas. On lui doit en 1969 un Walden (pas cité à ma connaissance dans les critiques de notre film, et pourtant le titre attire l’attention), alors qu’on mentionne toujours son film de 1972, Reminiscences of a Journey to Lithuania (Souvenir d’un voyage en Lituanie).
Messire Thadée ou Messire Thaddée est un célèbre poème polonais d'Adam Mickiewicz, publié à Paris, en 1834.
Pan Tadeusz czyli ostatni zajazd na Litwie (Pan Tadeusz ou la dernière excursion en Lituanie) est considérée comme son œuvre la plus importante et la plus connue. Messire Thaddée a été écrit et publié à Paris en 1833-34, lors de l'exil d'Adam Mickiewicz en France. Ce long poème est écrit en vers impairs de 13 syllabes. L'œuvre se compose de 12 grands chapitres. Elle est inspirée des traditions du roman historique, de l’épopée et du poème descriptif.
Elle retrace le quotidien d'une famille noble après l’arrivée de l’armée de Napoléon, durant cinq jours en 1811, et deux jours en 1812. Le poème monte un portrait de la société de la République des Deux Nations, c’est-à-dire l’union formée par le royaume de Pologne et le grand-duché de Lituanie pendant plusieurs siècles.
Messire Thaddée est une œuvre cardinale pour la culture et littérature polonaise. En Pologne, tous les enfants apprennent par cœur un extrait de "Pan Tadeusz" appelé « l’Invocation ».
Dès le XIXe siècle, le poème a fait l’objet de traductions en de nombreuses langues, dont deux en français. La traduction du polonais vers le lituanien date de 1964, on a réussi à y conserver l’alexandrin polonais originel de 13 syllabes.
Pan Tadeusz : Quand Napoléon traversait le Niémen (Pan Tadeusz) est un film franco-polonais d'Andrzej Wajda sorti en 1999. C'est l'adaptation du poème Messire Thadée (Pan Tadeusz) d'Adam Mickiewicz.
Synopsis
La scène se déroule en Lituanie en 1812, alors que la Pologne est rayée de la carte. Deux familles s'affrontent, l'une alliée aux Russes, l'autre indépendantiste. En juin 1812, Napoléon marche sur Moscou et franchit le Niémen.
Adam Mickiewicz (1798 -1855) est un poète et écrivain polonais, considéré comme l'un des plus grands poètes romantiques. Mickiewicz est aux Polonais ce que Dante est aux Italiens et Gœthe aux Allemands : un poète inspiré qui a cristallisé l’identité culturelle de son peuple, grâce à qui la littérature a « remplacé » en quelque sorte la patrie disparue. Il a passé une grande partie de sa vie en France et a été professeur au Collège de France en même temps que Jules Michelet et Edgar Quinet.
http://www.weimarer-dreieck.eu/fileadmin/templates/multiflex3/PDF/Pan_Tadeusz-_FR.pdf
PAN TADEUSZ
Inwokacja (Invocation)
Lithuanie, ô ma patrie! Il en est de toi comme de la santé;
On ne t'apprécie à ta juste valeur qu'après t'avoir perdue!
Si je vois et décris aujourd'hui ta beauté dans tout son éclat,
C'est que je te pleure, ô mon pays!
Vierge Marie! Toi qui défends la sainte montagne de Czestochowa et règnes à Vilno sur la porte Osrta! Toi qui
protèges le château de Nowogrodek et son peuple fidèle!
Jadis au berceau, lorsque ma mère éplorée m'eut voué, mourant, à tes autels, tu me rendis la santé par un miracle;
je soulevai aussitôt ma paupière appesantie, et je pus le
même jour aller sans appui, dans ta sainte chapelle, remercier Dieu de la vie que tu m'avais rendue: par un miracle
non moins grand, daigne ramener les Pèlerins au sein de
leur patrie absente. Cependant laisse fuir mon âme désolée
vers ces collines boisées, vers ces verdoyantes savanes qui
s'étendent au loin sur les deux rives du bleu Niémen; vers
ces champs diaprés des froment aux gerbes d'or; de seigle aux
épis argentés, avec le colza couleur d'ambre, le sarrasin neigeux, la sarriette aux teintes virginales: le tout liséré çà et là
d'une verte ceinture de poiriers au feuillages muet!
C'était dans le site pareil, au bord d'un ruisseau sans
nom, sur une colline couronnée de bouleaux, que s'élevait
jadis une maison de seigneur, la cage en bois, les soubassement de briques rouges. Les blanches parois tranchaient
de loin sur la sombre verdure des peupliers qui la garantissaient des vents de l'automne. L'habitation était peu
spacieuse, mais commode et bien tenue; à côté d'elle, une
vaste grange et trois meules de blé, qui n'avaient pu trouver
place sous les hangars, et qui témoignaient de la fécondité
du sol. Au grand nombre de gerbes de blé entassées de
long ou en travers des sillons, et aussi pressées que les
étoiles du ciel, à la quantité de charrues ouvrant dès le
matin de sein de cette terre noire et fertile, qui sans doutes
appartenait à la maison blanche, et donc les immenses
carrés étaient cultivés avec autant de lux que les plates-bandes d'un jardin, on devinait une ferme où régnaient
l'ordre et l'abondance. Les portes de l'enclos, toutes larges,
ouvertes, annonçaient l'hospitalité des habitants et semblaient inviter le voyageur à venir s'y reposer des fatigues
de la route.
Attention: Plus de film le jeudi pendant 3 jeudis de suite. Alors les séances sont reportées à vendredi.
Nous aurons LIBRE GARANCE le mardi 18 octobre avec la réalisatrice.
Le 30 : Walden
En encore à Vierzon,
- La biennale de l'architecture avec plein d'animations et plusieurs projections de films.. (voir en PJ, le programme) - dès cet après-midi 21 sept., le film "Elise ou la vraie vie".
- La semaine européenne du développement durable, jusqu'au 7 octobre. Projection le 7 octobre à 18h de deux documentaires : "Le Cher, équilibre fragile d'une rivière de plaine" et "Nouveaux castors".
festival films répertoire PLAY IT AGAIN du 14 au 27 septembre.
4 films
semaine du 14 au 20 septembre : Fric Frac de Maurice Lehman (1939) (horaires à confirmer) + La Vie de Château de Jean-Paul Rappeneau (1966) (horaires à confirmer)
semaine du 21 au 27 septembre : Le Jouet de Francis Veber (1976) (horaires à confirmer) + La Chance d'être Femme de Alessandro Blasetti (vo- 1955) (horaires à confirmer)
+ FILMS DEMANDES
(Jean-Marie)
Les filles du soleil
« Bonjour, du 22 au 30/10 j'ai appris qu'il y avait le festival de la Palette du Monde à Vierzon (je connais un peu le président !) , on pourrait cumuler expo d'un artiste kurde et ciné débat ???? Laurent Ziegelmeyer »
(pour après les vacances)
(Edwige)
Un film soutenu par France Culture
MIZRAHIM, LES OUBLIÉS DE LA TERRE PROMISE
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=294914.html
et un film dont j'ai lu un petit article sur l'humanité.
LE PRINCE, de Lisa Bierwirth, un film allemand.
(John)
Suite à THE DUKE le 23 juin je rajoute quelques possibilités. On a le choix. Je vais passer une bonne partie des mois de juillet et août à Vierzon et je veux bien continuer les séances du jeudi soir si possible.
L’ECOLE DU BOUT DU MONDE
LES PASSAGERS DE LA NUIT. ( s’il n‘est pas encore passé à Vierzon)
FUIS MOI JE TE SUIS
LIMBO
SAIS-TU POURQUOI JE SAUTE ?
L’HYPOTHESE DEMOCRATIQUE
De nouvelles propositions.
23 septembre. REVOIR PARIS
30 septembre. WALDEN
6 octobre ou 13 octobre. LIBRE GARANCE. Voir mail précédent ce matin
13 octobre. SIMONE LE VOYAGE DU SIECLE
15 octobre. Le film de Gilles Perret. (c’est calé)
20 octobre. QUI A PART NOUS ?
27 octobre. L’HYPOTHESE DEMOCRATIQUE
Pour la suite. Dans le cadre du FESTIVAL SOLIDARITES on me demande le film « LETTRE A G »
Trois dates possibles. LE 17 ou 24 novembre ou le 1er décembre
J’aurai le soutien du SECOURS POPULAIRE DE VIERZON et d’un collectif d’associations de Bourges
Pour la suite je note. ARMAGEDDON TIME. Et NOSTALGIA. Sorties en novembre
Vidéoclip Terry Russel
1)
Salut Loucif !
Je t'écris depuis le Sahara puisque je suis actuellement en tournage en Algérie !! A Timimoun précisément avec Naël et Aniss (compositeur de la musique de La terre étrangère). J'ai très hâte de venir à Vierzon pour te montrer tout ça !
Le clip de Terry Russel tourné en début d'année à Vierzon vient de sortir sur youtube ! À partager le plus largement possible :)
https://www.youtube.com/watch?v=55zwyNTNUwY
Pensée à toi, à très vite !
Martin
Bonjour à tous (et à toutes ! je dirai même plus "à toutes et à tous" -galanterie oblige !!!)
Je ne peux résister au plaisir de vous faire partager ce très beau clip de notre ami Martin Schrepel,adhérent par mes soin à Ciné Rencontres ( si ! si !..)
tourné en notre chère bonne ville de Vierzon et dans sa forêt avec des figurants du cru !!!
Je suis sûr que vous apprécierez la musique aussi ( à moins d'être réfractaire à tout ce qui n'est pas accordéon ou Métal tatoo !...suivez mon regard !...c'est de l'humour !)
4mn de réel plaisir
cordialement
cinerencontres vierzon
3)
Lyrics:
I never want to see you again, or to take your hand,
And to say that I want you, that I need you, and then I flew again.
I flew again in the darkness of love and then I met this dove,
Into the consciousness above all of this love.
I never want to think of you again, or to see you in the sand,
Or to say that I want you, that I need you, and then I flew again.
I flew again in the darkness of love and then I met this dove,
Into the consciousness above all of this love.
Everybody is glad to be in the blue sky after the rain,
Where you close your eyes and when you forget the pain.
-
Written by Terry Russell
Composed by Terry Russell & Thomas Ceccato
Produced by Terry Russell at Studio Cryogène Prod, Bordeaux
Mixed by Thomas Ceccato
Mastered by Alexis Bardinet at Globe Audio Mastering, Bordeaux
℗&© Terry Russell
Cliquez sur le lien ou sur l'image.
http://cinelumiere-vierzon.info/
CINE RENCONTRES.
Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu.
Auberge de jeunesse
1 place F. Mitterrand
18100 Vierzon
02.48.75.30.62
www.radiotintouin.org
Nous y sommes régulièrement invités pour présenter le jour-même de sa projection le film du vendredi soir.
Le film de la semaine est chroniqué (annoncé) par John et/ou Edwige et/ou moi (selon disponibilités) cinq fois dans la journée du vendredi où le film passe.
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