27ème séance avec débat
LE CINEMA EST BIEN OUVERT CE SOIR
Documentaire français de Roland Nurier. (1h41)
L'histoire de la Palestine, de son origine à aujourd'hui, loin de ce que les médias appellent le conflit israélo-palestinien. Experts internationaux, historiens, diplomates, juristes en Droit mais aussi, témoignages de simples citoyens… Un éclairage primordial basé sur des éléments factuels incontestables, pour se débarrasser des clichés et idées reçues !
Un documentaire dense, qui tente de rendre justice à une terre sacrifiée, la Palestine, sur l’autel des conflits géopolitiques et culturels, et de faire le procès à un sionisme aveugle. Intéressant, documenté et courageux...
Un documentaire dense, qui tente de rendre justice à une terre sacrifiée, la Palestine, sur l’autel des conflits géopolitiques et culturels, et de faire le procès à un sionisme aveugle. Intéressant, documenté et courageux...
Le film (quand notre programme est connu)
est également présenté sur RADIO TINTOUIN
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Horaires des annonces Ciné Rencontres le vendredi:
9h15 12h15 14h15 16h15 17h25
9h15 12h15 14h15 16h15 17h25
Un adhérent qui a bien raison d'être imapatient (preuve que ce blog est utile!):
Mon cher Autre,
Déjà une semaine écoulée depuis notre dernier Ciné Rencontres , période Libre.
Une semaine auparavant De Gaulle avait lancé la Résistance , en nous recommandant de lutter et non de nous confiner.
Autres temps...
Ce qui m'inquiète , c'est que depuis une semaine , aucun commentaire de ta part concernant le dernier film vu , sur le sujet palestinien . Cela ne te ressemble pas.
Double hypothèse:
-Le film ne t'a pas inspiré .
Pour ma part , je l'ai considéré comme un tract militant mis en images. Il m'a paru terriblement daté dans sa forme, l'idée directrice de l'Etat voyou prenant le dessus. Tout en étant entièrement d'accord avec la démonstration politique implacable , j'ai trouvé la séance plutôt Rencontres que Ciné. Mais mes voisins n'étaient pas d'accord avec moi, alors...
- seconde hypothèse , mais je n'ose y croire , serais tu alité ?
Cinégraphement tien
Jean-Marie B.
Confucius :" Entre le confiné et le confini , il n'y a que l'espace d'une voyelle".
Ma réponse rapide, avec toute ma gratitude:
La situation actuelle ne ressemble pas aux précédentes, où j’ai l’aiguillon de la séance suivante, ce qui n’est plus le cas. J’ai donc d’autres priorités pour mes loisirs (le match des candidats dans les échecs, entre autres !), et mon militantisme est actif pour la Commune, davantage d’actualité (vaillantitude), et où je suis sollicité très souvent par les adhérents (le bicentenaire de Gambon au 19 mars…). Aussi, faisant flèche de tout bois, je me propose, si tu en es d’accord bien sûr, de mettre en avant ton mail que je trouve bien pertinent. JM F
J'allais oublier... Selon son (agréable habitude), JMB accompagne ses messages de dessins humoristiques. De Gaulle et la Résistance ont des échos dans notre actualité.
Sous l'effet de cet aiguillon salutaire, voici donc ensuite ma contribution:
En introduction de la séance, nous avons eu une pensée pour John, notre président, qui aurait été le premier concerné par ce film, et qui malheureusement n’était pas disponible à cette date.
Je relaie, pour commencer ce compte rendu du débat post film, la parole du réalisateur, quand j’ai eu mentionné l’idée d'un point de vue militant, remarque qui a dû lui être faite bien des fois. Et pour moi, les deux - la question comme la réponse - sont légitimes.
Il fait remarquer dans un premier temps que l’objectivité n’existe pas, ce qui est vrai, et il va plus loin en assumant le point de vue orienté en un seul sens.
En substance : « Je ne vois pas pourquoi je perdrais du temps de film pour justifier le point de vue adverse, alors que cela est fait de façon permanente depuis de nombreuses années, pour ne pas dire depuis toujours, dans les médias dominants. »
J’ai alors pensé à Jean Ferrat, qui, dans une interview, s’en prenait aux chaînes de télévision, « PAF obscène » fier de son objectivité au motif qu’il accorde une minute au SS et le même temps au déporté. On garde cette référence dans sa chanson A la une (Album Dans la jungle ou dans le zoo, 1991) :
Très vite, le maire de Vierzon (confirmé dans sa fonction depuis) a pris la parole pour rappeler les liens forts qui unissent historiquement cette région du Proche-Orient et la ville, ainsi que nos les partenariats avec les camps de réfugiés.
Nous avons même reçu à Ciné Rencontres de jeunes Palestiniennes qui ont chez nous fréquenté une vraie salle de cinéma pour la première fois. C’était avant la création de notre blog, et nous avons déjà rappelé cette rencontre à propos du film 3000 nuits (film palestinien, libanais de Mai Masri avec Maisa Abd Elhadi, sur une institutrice palestinienne en survie avec son enfant dans une prison israélienne):
https://cinegraphe.blogspot.com/2017/02/18eme-seance-avec-debat-3000-nuits-film.html
Je pense que c'était à l'occasion du film suivant:
Pour l’actualité récente, le maire a aussi mentionné le témoignage d’un médecin de l’hôpital de Vierzon qui vient de la région de Tripoli au Liban.
Des représentants de Palestine 18 étaient dans la salle, et les témoignages de personnes qui se sont rendues sur place, corroborant globalement les séquences du film, ont été particulièrement appréciés.
De forme classique, le documentaire a le mérite de l’efficacité didactique. C’est en effet, du moins à ma connaissance, la première fois qu’on expose aussi complètement l’histoire de la Palestine, avec des moments de vraie originalité, notamment quand il réfute des idées reçues, reçues parce que constamment affirmées dans les médias dominants.
Certes, il faudrait vérifier cela aussi, mais l’objectivité impossible et non recherchée - le point de vue militant est résolument assumé - est au moins quelque part dans le sérieux de l’enquête, étayée en outre par une impressionnante documentation livresque (la vue de dessus sur les livres étalés sur le sol) et par le témoignage de spécialistes reconnus.
Le contexte français, qui est en réalité un contexte mondial, nous amenés à nous interroger sur la notion de démocratie idéale et de dictature totalitaire.
Entre les deux extrêmes, toute une gamme se présente, et tout le problème consiste à savoir où placer le curseur. Non seulement les moyens de contrôle et de coercition doivent être interrogés, mais aussi, et peut-être surtout, les finalités et les effets réellement produits : servir le plus grand nombre, ou l’asservir pour le bénéfice d’une infime minorité. Sans se laisser piéger par le sophisme classique qui consiste à vouloir à toute force faire le bonheur des peuples contre eux-mêmes… Vaste programme !
Avec les films précédents, on se posait, en l’adaptant, la question de Montesquieu : « Comment peut-on être Palestinien ? »
Avec celui-ci, on se demande tout simplement : « Comment peut-on vivre à Gaza ? »
En tout cas, après avoir vu ce film, on ne pourrait plus dire, parodiant la fameuse phrase du roman Hiroshima mon amour de Marguerite Duras (et du film d'Alain Resnais) : « Je n'ai rien vu, à Gaza ».
Enfin, et comme si chacun sentait le prix de cette soirée en suspens sur l'avenir et comme en sursis, les applaudissements nourris du public qui voulait faire part de sa sympathie ont remercié le réalisateur pour son talent et sa sincérité.
C’était notre dernière séance (avant le confinement).
Nous espérons bien sûr vous retrouver tous le plus rapidement possible et en parfaite santé. Tous nos vœux de début d’année se trouvent dramatiquement réactualisés à cette occasion. Je n'ai pas de remède miracle à conseiller, mais je sais ce qui ne peut pas faire de mal en attendant: voir des films!
Mon cher Autre,
Déjà une semaine écoulée depuis notre dernier Ciné Rencontres , période Libre.
Une semaine auparavant De Gaulle avait lancé la Résistance , en nous recommandant de lutter et non de nous confiner.
Autres temps...
Ce qui m'inquiète , c'est que depuis une semaine , aucun commentaire de ta part concernant le dernier film vu , sur le sujet palestinien . Cela ne te ressemble pas.
Double hypothèse:
-Le film ne t'a pas inspiré .
Pour ma part , je l'ai considéré comme un tract militant mis en images. Il m'a paru terriblement daté dans sa forme, l'idée directrice de l'Etat voyou prenant le dessus. Tout en étant entièrement d'accord avec la démonstration politique implacable , j'ai trouvé la séance plutôt Rencontres que Ciné. Mais mes voisins n'étaient pas d'accord avec moi, alors...
- seconde hypothèse , mais je n'ose y croire , serais tu alité ?
Cinégraphement tien
Jean-Marie B.
Confucius :" Entre le confiné et le confini , il n'y a que l'espace d'une voyelle".
Ma réponse rapide, avec toute ma gratitude:
La situation actuelle ne ressemble pas aux précédentes, où j’ai l’aiguillon de la séance suivante, ce qui n’est plus le cas. J’ai donc d’autres priorités pour mes loisirs (le match des candidats dans les échecs, entre autres !), et mon militantisme est actif pour la Commune, davantage d’actualité (vaillantitude), et où je suis sollicité très souvent par les adhérents (le bicentenaire de Gambon au 19 mars…). Aussi, faisant flèche de tout bois, je me propose, si tu en es d’accord bien sûr, de mettre en avant ton mail que je trouve bien pertinent. JM F
J'allais oublier... Selon son (agréable habitude), JMB accompagne ses messages de dessins humoristiques. De Gaulle et la Résistance ont des échos dans notre actualité.
Sous l'effet de cet aiguillon salutaire, voici donc ensuite ma contribution:
En introduction de la séance, nous avons eu une pensée pour John, notre président, qui aurait été le premier concerné par ce film, et qui malheureusement n’était pas disponible à cette date.
Je relaie, pour commencer ce compte rendu du débat post film, la parole du réalisateur, quand j’ai eu mentionné l’idée d'un point de vue militant, remarque qui a dû lui être faite bien des fois. Et pour moi, les deux - la question comme la réponse - sont légitimes.
Il fait remarquer dans un premier temps que l’objectivité n’existe pas, ce qui est vrai, et il va plus loin en assumant le point de vue orienté en un seul sens.
En substance : « Je ne vois pas pourquoi je perdrais du temps de film pour justifier le point de vue adverse, alors que cela est fait de façon permanente depuis de nombreuses années, pour ne pas dire depuis toujours, dans les médias dominants. »
J’ai alors pensé à Jean Ferrat, qui, dans une interview, s’en prenait aux chaînes de télévision, « PAF obscène » fier de son objectivité au motif qu’il accorde une minute au SS et le même temps au déporté. On garde cette référence dans sa chanson A la une (Album Dans la jungle ou dans le zoo, 1991) :
Ce soir, ce soir, après « La Roue De La Fortune »
Les assassins, les assassins sont à la une
C’est une série faramineuse de grands débats télévisés
De controverses fabuleuses, de face-à-face sans pitié
Entre qui saigne et qui charcute, entre bourreaux et torturés
Entre un ripou et une pute, un délateur, un dénoncé
Entre un para et un fellouze, entre un violeur et des violées
Et puis comme une apothéose, entre SS et déportés
Ce soir, ce soir, après « La Roue De La Fortune »
Un PAF obscène, un PAF obscène est à la une.
Très vite, le maire de Vierzon (confirmé dans sa fonction depuis) a pris la parole pour rappeler les liens forts qui unissent historiquement cette région du Proche-Orient et la ville, ainsi que nos les partenariats avec les camps de réfugiés.
Nous avons même reçu à Ciné Rencontres de jeunes Palestiniennes qui ont chez nous fréquenté une vraie salle de cinéma pour la première fois. C’était avant la création de notre blog, et nous avons déjà rappelé cette rencontre à propos du film 3000 nuits (film palestinien, libanais de Mai Masri avec Maisa Abd Elhadi, sur une institutrice palestinienne en survie avec son enfant dans une prison israélienne):
https://cinegraphe.blogspot.com/2017/02/18eme-seance-avec-debat-3000-nuits-film.html
Je pense que c'était à l'occasion du film suivant:
ZARAFA
Film d'animation français de Rémi Bezançon. (1h18)
L'histoire d'une amitié indéfectible entre Maki, un enfant de dix ans,
et Zarafa, une girafe orpheline. Au cours d’un long périple qui les
mènera du Soudan à Paris, en passant par Alexandrie, Marseille et les
Alpes enneigées, ils vont vivre mille péripéties...
Ciné-débat Vendredi 14 Juin (2013) à 20h
séance organisée par le Conseil Municipal des Enfants
Pour l’actualité récente, le maire a aussi mentionné le témoignage d’un médecin de l’hôpital de Vierzon qui vient de la région de Tripoli au Liban.
Des représentants de Palestine 18 étaient dans la salle, et les témoignages de personnes qui se sont rendues sur place, corroborant globalement les séquences du film, ont été particulièrement appréciés.
De forme classique, le documentaire a le mérite de l’efficacité didactique. C’est en effet, du moins à ma connaissance, la première fois qu’on expose aussi complètement l’histoire de la Palestine, avec des moments de vraie originalité, notamment quand il réfute des idées reçues, reçues parce que constamment affirmées dans les médias dominants.
Certes, il faudrait vérifier cela aussi, mais l’objectivité impossible et non recherchée - le point de vue militant est résolument assumé - est au moins quelque part dans le sérieux de l’enquête, étayée en outre par une impressionnante documentation livresque (la vue de dessus sur les livres étalés sur le sol) et par le témoignage de spécialistes reconnus.
Le contexte français, qui est en réalité un contexte mondial, nous amenés à nous interroger sur la notion de démocratie idéale et de dictature totalitaire.
Entre les deux extrêmes, toute une gamme se présente, et tout le problème consiste à savoir où placer le curseur. Non seulement les moyens de contrôle et de coercition doivent être interrogés, mais aussi, et peut-être surtout, les finalités et les effets réellement produits : servir le plus grand nombre, ou l’asservir pour le bénéfice d’une infime minorité. Sans se laisser piéger par le sophisme classique qui consiste à vouloir à toute force faire le bonheur des peuples contre eux-mêmes… Vaste programme !
Avec les films précédents, on se posait, en l’adaptant, la question de Montesquieu : « Comment peut-on être Palestinien ? »
Avec celui-ci, on se demande tout simplement : « Comment peut-on vivre à Gaza ? »
En tout cas, après avoir vu ce film, on ne pourrait plus dire, parodiant la fameuse phrase du roman Hiroshima mon amour de Marguerite Duras (et du film d'Alain Resnais) : « Je n'ai rien vu, à Gaza ».
Enfin, et comme si chacun sentait le prix de cette soirée en suspens sur l'avenir et comme en sursis, les applaudissements nourris du public qui voulait faire part de sa sympathie ont remercié le réalisateur pour son talent et sa sincérité.
C’était notre dernière séance (avant le confinement).
Nous espérons bien sûr vous retrouver tous le plus rapidement possible et en parfaite santé. Tous nos vœux de début d’année se trouvent dramatiquement réactualisés à cette occasion. Je n'ai pas de remède miracle à conseiller, mais je sais ce qui ne peut pas faire de mal en attendant: voir des films!
Jean-Marie (F.)
N’hésitez pas à visiter la page de l’actualité du mois,
qui concerne :
Université populaire du Pays de Vierzon
Café repaire
Médiathèque Vierzon
Office de tourisme
Salon du polar et du vin
Puzzle Centre "Une femme de papier"
Avant première "Une chanson dans le corps"
Conférence sur l'eau à l'Antidote
Pinglaut sur Gambon à Bourges
Ciné débat Ecopôle Vierzon
Musée de Vierzon
Double coeur
Antre-Peaux
Contre les pesticides
Café repaire
Médiathèque Vierzon
Office de tourisme
Salon du polar et du vin
Puzzle Centre "Une femme de papier"
Avant première "Une chanson dans le corps"
Conférence sur l'eau à l'Antidote
Pinglaut sur Gambon à Bourges
Ciné débat Ecopôle Vierzon
Musée de Vierzon
Double coeur
Antre-Peaux
Contre les pesticides
Nouveaux tarifs Ciné Lumière
Cours de cinéma en ligne ciclic
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COMPLEMENTS, PROGRAMMES, PHOTOS, BANDES ANNONCES,...
Cliquez sur le lien ou sur l'image.
http://cinelumiere-vierzon.info/
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Vous n'avez pas manqué de remarquer la rubrique ART ET ESSAI... et le lien
CINE RENCONTRES.
CINE RENCONTRES.
Tarif de 5 euros sur présentation de la carte d'adhérent de Ciné-rencontres à la caisse. (Ce tarif est appliqué uniquement sur les films sélectionnés dans le programme de Ciné-rencontres.)
N'hésitez pas à nous la demander.
Rappel du tarif d'adhésion: 10 euros pour un an (de date à date) avec possibilité d'affilier 2 personnes si on le souhaite pour ce montant (chacune aura sa carte, ce qui revient à 5 euros l'adhésion avec cette option couple" au sens très large: amis, relations,...). 5 euros pour étudiant ou chômeur (possibilité également d'adhésion "couple", ce qui revient alors à 2,50 euros).
Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu.
Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu.
Vous pouvez remplir cette fiche chez vous, après l'avoir copiée et collée (par exemple) dans un traitement de texte (Word,...).
Merci pour votre soutien.
Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.
Facile de nous trouver. Il suffit de taper "cinégraphe" sur Google par exemple...
(capture d'écran du 27 septembre 2017).
Tiens... tiens... "abondante et variée"... Et si Ciné Rencontres y était un peu pour quelque chose en fin de compte?...
Autres tarifs au Ciné Lumière:
Berry républicain 2 décembre 2017
COURS DE CINEMA CICLIC
Upopi vous présente son cours de cinéma en ligne !
Apprenez et jouez avec les plus grands cinéastes.
Upopi, l’Université populaire des images, propose un cours de cinéma en ligne. Initié par Ciclic, ce cours accompagne les internautes souhaitant pratiquer l’analyse filmique. Cinéphiles, médiateurs, enseignants ou élèves, apprenez le vocabulaire cinématographique en vous amusant grâce à :
• 11 séances
• 53 notions
• 158 exercices
• 209 vidéos
Composées de Définitions, Études de cas et Exercices, les onze séances en accès libre permettent d’avancer à son rythme dans la compréhension du vocabulaire de l’analyse filmique, ici réparti en quatre thématiques :Image, Plan, Montage, Son.
Accessible sur ordinateur, tablette, et smartphone, ce cours de cinéma convoque Alfred Hitchcock, Stanley Kubrick, François Truffaut, Steven Spielberg, Orson Welles… mais aussi Jason Bourne et Terminator. À partir d’extraits de grands films de l’histoire du cinéma, les principales notions du vocabulaire cinématographique n’auront plus de secret pour vous.
Pour vous rendre sur le site,
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Pour un accès direct au vocabulaire,
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