samedi 20 octobre 2018

FIRST MAN

8ème séance avec débat






FIRST MAN
LE PREMIER HOMME SUR LA LUNE
  
Film américain de Damien Chazelle avec Ryan Gosling, Claire Foy... (2018 - vo- 2h15)



VENDREDI 19 OCTOBRE 2018  (CINE DEBAT)
20H00




La mission Apollon XI avec Neil  Armstrong.
Mission hors norme, conquête de l'espace, enjeux planétaires et  privés,…


Une communication de John: 

Quelques réponses aux questions posées par les spectateurs hier soir.


«First Man»: la fiction à l’épreuve des faits    Extrait d'un article dans « Slate »
Du 19 octobre 2018



Armstrong était un des douze pilotes à avoir testé le X-15. Dans l’air dense de l’atmosphère terrestre, l’avion utilisait des contrôles conventionnels, mais dans l’air raréfié au-dessus de l’atmosphère, le pilote devait –en gros– voler dans le vide et s’appuyer sur des moteurs de fusée à peroxyde d’hydrogène pour contrôler l’aéronef hybride. Armstrong a pris la décision de maintenir le nez de son avion vers le haut tout en redescendant de son altitude maximale, de façon à tester le limiteur de g, ce qui était l’objectif de sa mission. Mais le limiteur n’a pas fonctionné comme il le pensait, et il s’est trouvé incapable de faire repiquer l’avion et redescendre


Le film suggère que le moment émotionnel charnière de la vie d’Armstrong est le décès, d’un cancer du cerveau, de sa fille en bas âge, Karen, connue dans la famille sous le surnom de Muffie. Il a tenté de faire face à ses peurs en prenant des notes détaillées sur son traitement pendant sa maladie et de retourner immédiatement au travail après sa mort, tout en ne montrant aucune émotion en public et ne la pleurant que lorsqu’il se trouvait seul.
On a effectivement diagnostiqué à Karen Armstrong une tumeur au cerveau agressive. Un traitement par radiations s’étant avéré plus agressif que ce que Karen pouvait supporter, les Armstrong l’ont ramenée chez eux, où elle est décédée d’une pneumonie quelques mois après le diagnostic, à l’âge de deux ans et demi. Selon Hansen, le film n’exagère pas l’ampleur du flegme d’Armstrong. «Les gens qui connaissaient bien Armstrong, écrit-il, ont révélé qu’il n’a jamais évoqué alors le sujet de la maladie et de la mort de sa fille. Plusieurs de ses collègues les plus proches ont même déclaré n’avoir jamais su que Neil avait une fille.»
Le vol de Gemini VIII
Sélectionné pour être le pilote principal de la mission Gemini VIII, Armstrong est en charge du processus expérimental d’amarrage de la capsule spatiale Gemini à la fusée Atlas-Agena, lancée séparément. La mission semble bien se passer et l’amarrage complexe de Gemini est effectué lorsque l’Agena part soudain en vrille en frappant la capsule. C’est alors que le contact radio entre l’équipage et le centre de contrôle se rompt. Armstrong prend la décision de découpler les deux éléments, mais la capsule Gemini détachée se met à tourner encore plus rapidement sur elle-même en chutant, les membres de l’équipage commencent à voir flou, et la perspective d’un désastre semble imminente. Mais comme lors du vol d’essai du X-15, Armstrong reste calme, effectue rapidement quelques calculs et enclenche les propulseurs du nez de la capsule pour stabiliser l’engin. Retrouvant le contact radio, le centre de contrôle demande aux astronautes d’effectuer une nouvelle orbite et de revenir sur Terre.
C’est à peu près ce qu’il s’est passé. Selon le compte-rendu de la mission de la Nasa, il a plus tard été confirmé qu’un propulseur du «système de manœuvres et attitudes orbitales» (OAMS) de Gemini s’était mis à se déclencher de façon imprévisible, probablement à cause d’un court-circuit. La capacité de discernement d’Armstrong l’a conduit à éteindre le système OAMS et à utiliser à la place les propulseurs du système de contrôle du retour dans l’atmosphère de la capsule pour reprendre le contrôle sur celle-ci. À la suite de cet incident, la Nasa a ajouté, en vue de futures missions, un bouton d’activation des commandes manuelles à Gemini pour permettre aux astronautes d’éteindre individuellement des éléments d’un système qui ne fonctionneraient pas correctement.

Le vol de Gemini VIII
Sélectionné pour être le pilote principal de la mission Gemini VIII, Armstrong est en charge du processus expérimental d’amarrage de la capsule spatiale Gemini à la fusée Atlas-Agena, lancée séparément. La mission semble bien se passer et l’amarrage complexe de Gemini est effectué lorsque l’Agena part soudain en vrille en frappant la capsule. C’est alors que le contact radio entre l’équipage et le centre de contrôle se rompt. Armstrong prend la décision de découpler les deux éléments, mais la capsule Gemini détachée se met à tourner encore plus rapidement sur elle-même en chutant, les membres de l’équipage commencent à voir flou, et la perspective d’un désastre semble imminente. Mais comme lors du vol d’essai du X-15, Armstrong reste calme, effectue rapidement quelques calculs et enclenche les propulseurs du nez de la capsule pour stabiliser l’engin. Retrouvant le contact radio, le centre de contrôle demande aux astronautes d’effectuer une nouvelle orbite et de revenir sur Terre.
C’est à peu près ce qu’il s’est passé. Selon le compte-rendu de la mission de la Nasa, il a plus tard été confirmé qu’un propulseur du «système de manœuvres et attitudes orbitales» (OAMS) de Gemini s’était mis à se déclencher de façon imprévisible, probablement à cause d’un court-circuit. La capacité de discernement d’Armstrong l’a conduit à éteindre le système OAMS et à utiliser à la place les propulseurs du système de contrôle du retour dans l’atmosphère de la capsule pour reprendre le contrôle sur celle-ci. À la suite de cet incident, la Nasa a ajouté, en vue de futures missions, un bouton d’activation des commandes manuelles à Gemini pour permettre aux astronautes d’éteindre individuellement des éléments d’un système qui ne fonctionneraient pas correctement.
L’alunissage de la mission Apollo 1
Il y a deux passages dramatiques dans ce qui est –à part cela– une représentation largement silencieuse, comme irréelle, de la mission finale.
Le premier intervient lorsqu’une alarme indiquant une insuffisance en carburant sonne en même temps que retentit un compte à rebours d’abandon de la tentative. Mais il n’y a alors nulle part où se poser, d’abord parce qu’il y a de gros blocs sur la surface de la Lune, et ensuite parce qu’un immense cratère se profile sous l’engin. Mais alors qu’il ne reste plus que deux secondes, Apollo 11 parvient à sortir de la zone du canyon et à se poser sur une surface plane.
Cet épisode est représenté dans une large mesure comme il a eu lieu, bien qu’il eut alors resté en réalité vingt secondes plutôt que deux. Armstrong et son copilote Aldrin sont passés au-dessus de la zone où ils avaient prévu de se poser et, volant manuellement avec de faibles réserves de carburant, se sont trouvés face à un champ de gros blocs de la taille de camions –alors que les cartes y annonçaient une plaine régulière.
L’autre épisode dramatique majeur dans le film est émotionnel, lorsqu’Armstrong, qui a emporté avec lui le petit bracelet de bébé de Karen, le libère dans l’espace, comme un symbole du fait que la fille qu’il a perdue a toujours été avec lui. Malheureusement, cela n’est que pure invention. Hansen écrit que parmi les souvenirs emportés par Armstrong sur la Lune, il y avait des médaillons commémorant la mission lunaire Apollo 11, des pin's appartenant à sa femme, un bout de l’avion des frères Wright, et un pin's de la fraternité dont il faisait partie à l’université, mais c’est tout. Hansen précise qu’«Armstrong n’a rien pris d’autre des membres de sa famille, ni de ses deux fils, ni de sa fille Karen».
Dans sa biographie d’Armstrong, le journaliste Jay Barbree suggère en revanche que Karen était bien dans les pensées de l’astronaute à ce moment-là. Dans le récit que Barbree fait des premiers pas sur la Lune, Armstrong remarque à un moment un «bébé cratère» qu’il aurait alors nommé «Muffie’s Crater». Comme le décrit le livre, «il se tenait là, pensant à quel point Muffie aurait aimé glisser sur cette pente. Il était comme dépassé par le désir de la dévaler pour elle. Mais il est revenu à un jugement plus sage, décidant alors de filmer et décrire ce qu’il voyait avant que ne vienne le moment de repartir».



 BUZZ ALDRIN



Retour à la vie civile


L'équipage d'Apollo 11 
(Michael Collins à gauche, Neil Armstrong, et Buzz Aldrin à droite) 
reçu à la Maison Blanche en 2004.


Il quitte la NASA et l'Armée de l'Air en 1972 et entame une difficile reconversion à la vie civile marquée par l'alcoolisme et la dépression. Il publie par la suite cinq ouvrages rédigés en collaboration et tous centrés sur l'aventure spatiale : des récits autobiographiques Return to Earth (1973), Men From Earth (1989) et Magnificent Desolation (2009) ainsi que des romans de science-fiction avec John BarnesEncounter with Tiber (1996) et The Return (2000). 
En 2010, il participe à la  saison de la populaire émission Dancing with the Stars. Il est en compétition au côté notamment de la comédienne Shannen Doherty, Pamela Anderson, le footballeur Chad Ochocinco, le champion olympique Evan Lysacek, l’acteur Aiden Turner, et la gagnante, la chanteuse Nicole Scherzinger. Au bout de la troisième semaine, il est éliminé. 
En 2011, il apparaît brièvement dans le film Transformers 3 dans son propre rôle face au personnage fictif Optimus Prime.
Il est membre de la National Space Society. Très actif sur les réseaux sociaux, il publie notamment sur ses comptes en juillet et août 2015 la note de frais établie par la NASA après son épopée lunaire. La compagnie spatiale lui a ainsi remboursé 33,31  pour son déplacement en voiture entre son domicile et la base de Houston7. Il déclare également que le président Kennedy avait manifesté à l'origine son désir d'envoyer une expédition vers la planète Mars8.


MICHAEL COLLINS


Apollo 11 : en juillet 1969, lors de la mission qui vit le premier homme marcher sur la Lune, Collins vola en tant que pilote du module de commande. Tandis que ses coéquipiers Neil Armstrong et Buzz Aldrin atterrirent pour la première fois et marchèrent sur la surface lunaire, Collins resta en orbite lunaire dans le module de commande. À l'époque, il fut décrit comme « la personne la plus solitaire sur et en dehors de la planète » — quand le module de commande volait au-dessus de la face cachée de la Lune, il était à au moins 3 200 kilomètres de ses collègues astronautes, et à plus de 350 000 kilomètres du reste de la population terrestre sans possibilité de communiquer par radio avec la Terre. Dans son journal de bord, il écrira à ce sujet qu'il « représentait la vie à lui tout seul » et que « ce sentiment lui plaisait ».



LA SURFACE DE LA LUNE


Les poussières et roches lunaires

On trouve à la surface de la Lune deux composants différents : roches et poussières. Une analyse très précise des roches lunaires a été rendue possible par le retour sur Terre de près de 400 kilogrammes d’échantillons.
Les roches sont de tailles très diverses et se classent en deux catégories principales. Les mers sont ainsi formées de basalte, une roche sombre similaire à la lave terrestre, alors que les autres régions contiennent de l’anorthose, une roche claire formée de silicates et contenant beaucoup de calcium et d’aluminium.
A la surface, on trouve une couche de poussière épaisse de plusieurs centimètres. Cette poussière, principalement constituée de débris de roches, apparaît grisâtre ou brunâtre selon l’éclairage. Elle se forme sous l’effet de l’incessant bombardement de micrométéorites ou de particules du vent solaire, ainsi que des fortes variations de température qui font éclater les roches.
Directement sous la couche de poussière, on trouve une strate de roches brisées, avec une épaisseur d’une dizaine de mètres. Pour éviter d’appeler ce matériau de la terre, on l’appelle le régolite.


LA MISSION


La mission est lancée depuis le centre spatial Kennedy le  par la fusée géante Saturn V développée pour ce programme. Elle emporte un équipage composé de Neil Armstrong, commandant de la mission et pilote du module lunaire, de Buzz Aldrin, qui accompagne Armstrong sur le sol lunaire, et de Michael Collins, pilote du module de commande et de servicequi restera en orbite lunaire. Armstrong et Aldrin, après un alunissage comportant quelques péripéties, séjournent 21 heures et 36 minutes à la surface de la Lune et effectuent une sortie extravéhiculaire unique d'une durée de 2 heures et 31 minutes. Après avoir redécollé et réalisé un rendez-vous en orbite lunaire avec le module de commande et de service, le vaisseau Apollo reprend le chemin de la Terre et amerrit sans incident dans l'océan Pacifique à l'issue d'un vol qui aura duré 8 jours, 3 heures et 18 minutes.


Au cours de cette mission 21,7 kilogrammes de roche et de sol lunaires sont collectés et plusieurs instruments scientifiques sont installés sur la surface de notre satellite. Bien que l'objectif scientifique d'Apollo 11 ait été limité par la durée du séjour sur la Lune et la capacité d'emport réduite des vaisseaux spatiaux utilisés, la mission fournit des résultats substantiels. Son déroulement, en particulier les premiers pas sur la Lune filmés par une caméra vidéo et retransmis en direct, constituent un évènement suivi sur toute la planète par des centaines de millions de personnes.

Au final cette mission a fait l'objet de nombreuses premières :
Première mission où un vaisseau piloté par l'homme s'est posé sur la Lune.
Première mission où un homme a marché sur la Lune.
Première mission où un vaisseau (automatique ou piloté par l'homme) a redécollé de la Lune.
Première mission à rapporter des échantillons de sol lunaire.


COUTEAU SUISSE


Problème avant le décollage : alors que Buzz Aldrin réintègre l'habitacle étroit du module lunaire, avec l'encombrant PLSS dépassant de son dos, il casse par inadvertance le disjoncteur d'armement de la mise à feu du moteur de l'étage de remontée du LEM. Aldrin raconte que CAPCOM peinait à trouver une solution et, n'ayant pas moyen de démonter le panneau de commande pour fermer manuellement de circuit, ils risquaient de ne pouvoir décoller. Aldrin pu finalement enclencher l'armement de la mise à feu à l'aide de la pointe de stylo, qu'il raconte avoir été autorisé à conserver en souvenir[30].






Extrait du PAUSE CRITIQUE d'octobre:

532 
First Man de Damien Chazelle


Le 25 juillet 1909 Blériot traverse la Manche. Le 21 juillet 1969, le Premier Homme pose le pied sur la Lune. 
Ce film nous raconte donc la fin de ces 60 années d'extraordinaire évolution technologique sans précédent dans l'histoire de l'humanité sur une période n'excédant pas celle de la vie d'une personne.
Le réalisateur a délibérément pris pour fil conducteur la vie de l'un des astronautes, et pas n'importe lequel, le premier homme qui mettra le pied sur la lune. Le film nous montre que ce ne fut pas une simple promenade. Deux lignes de force s'entremêlent : celle de la vie privée, celle de la conquête spatiale.
La vie privée est évoquée avec tact mais m'a laissé une impression de grand classicisme, pour ne pas dire une certaine lourdeur, appuyée. La conquête spatiale est montrée " de l'intérieur "; claustrophobes, s'abstenir !
Et ces aspects là du film m'ont semblé très fascinants : être dans ces engins, plongés dans l'univers sonore terrible, est une expérience à partager sur (très grand) écran, dans une bonne salle.
Le film se déroule sans réel suspens puisque l'on en connaît l'aboutissement ; mais il n'est pas mauvais de découvrir les mille questions qu'il fallait résoudre, de façon parfois improvisée, pour que ce rêve américain puisse s'accomplir. 
J'espère qu'il fera encore rêver les générations nées depuis qui, peut-être, n'ont pas perçu l'incroyable aventure de cette conquête spatiale. 
Le film est produit avec d'immenses moyens, mais je n'ai pas adhéré aux choix esthétiques de l'image, inspirés des couleurs très NTSC des débuts de la télévision qui a accompagné et fait connaître cette Odyssée dans le monde entier.
Ne soyez pas le dernier à vous y replonger.
Francis de Laveleye









Les enjeux géopolitiques de la guerre froide, mais aussi d'ordre privé...




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Berry républicain 2 décembre 2017



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