mercredi 15 juin 2022

CLARA SOLA

                                                       séance avec débat







  




CLARA SOLA

1 juin 2022 en salle / 1h 46min / Drame
De Nathalie Álvarez Mesén
Par Nathalie Álvarez Mesén, Maria Camila Arias
Avec Wendy Chinchilla Araya, Ana Julia Porras Espinoza, Daniel Castañeda Rincón




JEUDI 16  JUIN 2022

20h30 







+ FILMS DEMANDES







Bonjour à toutes et tous,
Notre prochain ciné-rencontres : jeudi 16 juin à 20h30
le film CLARA SOLA de Nathalie Álvarez Mesén.
Bien cordialement - Edwige

Pour toute information, voir le blog 






SYNOPSIS

Dans un village reculé du Costa-Rica, une femme de 40 ans renfermée sur elle-même, entreprend de se libérer des conventions religieuses et sociales répressives qui ont dominé sa vie, la menant à un éveil sexuel et spirituel.













Le film (quand notre programme est connu) 
est également présenté sur RADIO TINTOUIN 
avec notre adhérent Jean-Luc aux commandes. 



Horaires des annonces Ciné Rencontres le vendredi:

9h15  12h15  14h15  16h15  17h25













 Le cinéphile qui aime le surnaturel, la magie et un cinéma qui permet l’évasion totale a passé un excellent moment devant ce premier film ambitieux  de Nathalie Alvarez Mesén présenté à Cannes en 2021. Film dans lequel un mélange de christianisme omniprésent et l’animisme habitent et écrasent Clara. Clara née infirme, don de Dieu, venue au monde comme elle le quittera en portant son fardeau tout comme sa mère, chacune sa croix. L’héroïne qui sera rejetée par sa communauté et restera seule « sola » communiquant davantage avec la nature luxuriante qui l’entoure, qui l’enveloppe, qu’avec les hommes. Développant un sixième sens qui lui permet de « parler » à sa magnifique jument blanche, de s’incruster littéralement dans la terre, d’entendre le bruissement des insectes et les grondements telluriques de sa terre natale.

   Clara est avant tout une femme et c’est la découverte des plaisirs sexuels de sa nièce, Maria, observés par Clara, qui viendra exacerber son propre besoin de vie charnelle. Adepte de masturbation, fortement fustigée par sa mère qui menace de la priver de télé, elle est attirée par Santiago, le copain de Maria. Santiago, pour une fois un homme gentil dans un film ouvertement féministe. 

     On assistera aux baptêmes multiples de Clara. Baptême dans l’eau et la naissance du rire , baptême du feu et sa renaissance dans une vie nouvelle qui conduira inéluctablement vers la mort. On assiste dans le dernière scène du film à sa descente vers la rivière et sa noyade probable et pourtant on entend le bruit des vagues de la mer. Toute rivière mène à l’océan, toute vie mène à la mort, mais l’apparition du cheval blanc qui avait disparu supposé mort laisse l’espoir de résurrection chère aux chrétiens. Résurrection, mortification de la chair, sublimation du corps et contes pour enfants, d’intéressants ingrédients pour un film poétique que j’ai aimé.

 John







bonsoir à tous (même à ceux qui ont raté quelque chose ce soir : les absents !)

Ce qui suit est mon humble avis et n'engage que moi, vous l'avez bien sûr compris.Merci pour votre indulgence.

C'est un film magnifique et remarquable en celà qu'il rassemble les deux caractéristiques majeures d'un bon film :

un scénario original

une réalisation dont la qualité première est de permettre au spectateur de "lire" aisément l'histoire;;;

Pour cela le plan rapproché fut un bon choix, car il permet de comprendre parfaitement les sentiments exprimés

sans paroles par les expressions corporelles des personnages( surtout l'actrice principale)...

Une expression du visage ,un geste des mains,des doigts pour caresser une bestiole,ou petrire une motte de terre,

un brin d'herbe !...tout est d'une justesse chirurgicale (cliché, je sais !)

Après cet intermède ô combien ennuyeux (je lis dans vos pensées) mais nécessaire, il faut dire que le film

traite d'un sujet vieux comme l'histoire de la société humaine et qui se retrouve dans toutes les civilisations :

Le marginal (l'a -normal ), celui qui" n'est pas comme les autres " 

Il n'existe pas de sociètés sans "marginaux" , c'est à dire qui vivent hors "normes". Sous cette étiquette, il y'a

ceux qui comme Clara ,à cause certainement de son handicape est perçue comme différente par sa communauté.

Suivant les civilisations, les cultures, on traite différemment les "a-normaux"...On les isole et ils meurent, on les enferme ou

on les tue...Mais dans d'autres, on leur donne un statut et à la charge de leur famille car l'idéologie religieuse l'exige...

Ce qui est certainement le cas de Clara dont la mère exploite cet handicape car ,de tout temps on a considéré qu'un individu 

"hors-norme" ( le fou, l'insensé......le poête, l'enfant...) dois posséder des pouvoirs que le commun mortel n'a pas...

Hors Clara n'a jamais prétendu avoir ces pouvoirs.Elle est le sujet objet que la mère manipule à guise.Clara ne fait que répéter

ce que sa mère lui dit et joue le rôle qu'on lui donne dans une mise en scène toujours identique....

Hors Clara n'est pas dénuée de raison.Elle est intelligente et son extrême sensibilité qui lui fait aimer la nature ,toute faune et flore.

Cet amour c'est sa raison de vivre...

Elle a un don d'observation si fort qu'elle perçoit l'évènement avant qu'il se produise :

"Pourquoi as tu mis te bottes?

-Il va pleuvoir !...

Mais elle est humaine.C'est une femme.Elle a des envies des besoins .Une sexualité qu'on lui refuse de vivre.

Même le besoin naturel de la masturbation lui est refusé .

Et le paradoxe de cette communauté vient de ce que tous ses membres ont , vis à vis d'elle,un comportement

humain, chaleureux...Jamais aucune violence physique à son encontre....On s'adresse à elle sur le ton qu'on

prend quand on s'adresse à un enfant .

Mais on lui refuse d'être comme les autres : la robe qu'elle voudrait (pour être comme ses soeurs) le maquillage

dont se moque gentillement,danser...Et être embrassée !...Le "gentil" Santiago, dans sa stupide normalité lui a refusé

l'aumône d'un baiser après son premier coup de folie : voler la robe à sa soeur, parcourir des kilomètres pour espérer

être serrée par les bras de cet homme...Il a semblé être sensible à cet amour en vain...

Le deuxième coup de folie fut l'annonce de la mort de la jument...

Il y'eut cette fête dont la vanité frise le ridicule (mais qui permet au spectateur attentif de remarquer les ravages de la

télévision et des series américaines chez les sociétés les plus isolées).Le plan rapproché nous permet de vivre,a travers

les expressions du visage,ses regards ,tous ses sentiments :ennui, désespoir de ne pas être physiquement comme les autres,

et révolte après l'annonce ( volontaire ?) de la mort de la jument !...Tout casser : n'importe quel individu "normal" dans cette

situation aurait commis le même acte : on dit communément avec indulgence :"il a pété un plomb !...

Mais pour Clara, " elle est folle !..." dit un personnage...

La rivière est tout naturellement sa destination :elle se purifia, réussi le miracle qu'on lui refusa "pour vivre normalement"

à redresser son dos et revit une dernière fois sa jument sur l'autre berge....Le plan final de  ses vêtements restés sur la

berge me rassura : elle est bien mieux dans cette eau limpide.

That's all folks !!!!

Loucif


Possiblement écartelé entre ma rationalité des Lumières et ma rêverie volontiers embarquée vers le fantastique et le surréalisme d'un Bunuel, je m'inquiétais a priori de cette proposition orientée vers la bondieuserie superstitieuse du film, même agrémentée des merveilleux paysages de la Côte Riche (Costa Rica). 

Puis le film rassure, et même enchante, quand on constate que ce n'est pas la soumission qui est célébrée, mais au contraire la liberté. Je me suis même surpris à défendre la mère cupide, aliénante, et je dirais même castratrice s'il ne s'agissait de brimer sa fille, cette Clara sola vouée à la spécificité d'être seule, la malédiction du Moïse de Vigny ("puissant et solitaire") étant difficilement compensée par la pratique obsessionnelle des plaisirs solitaires. L'excuse (qui n'est évidemment en rien une approbation): cette aliénante est elle-même une aliénée, cette nuisible est persuadée de bien faire, de faire le bien de tous en faisant le sien comme celui de sa fille. Il faut croire en la sincérité de cette malfaisante religieuse. 

Je vais tout de suite aux deux séquences qui m'auraient à coup sûr sorti de ma torpeur si d'aventure je m'étais laissé aller à somnoler devant les passages à la lenteur la plus appuyée, sous prétexte de nous inviter à meubler, par notre imagination, le vide du regard de l'héroïne. D'abord le tremblement de terre salvateur, qui secoue très bien en effet, et surtout le feu purificateur, qui fait fondre littéralement la statue de Vierge: la tension entre les regards qui se manifeste à ce moment-là (un défi digne du Don Juan de Molière!) est probablement ce que je retiendrai de ce film dans dix ans. Pas seulement: la jument blanche est une des actrices les plus fascinantes du film. Elle m'a fait voyager dans une correspondance qui n'est pas sans motivation du Costa Rica à la Polynésie. J'étais littéralement avec Gauguin, et subséquemment aussi avec Brel.

[Je mets ci-dessous en complément un extrait de ma thèse sur Brel]. 

J'avais terminé ma note sur le film précédent (Frère et soeur) en le qualifiant de pathétique au sens péjoratif. Ici, on est passé du pathétique des bobo au pathétique des pauvres, et bien sûr ça change tout. 


Le cheval, on l’a dit, fait la fierté du militaire; il mène tout droit au far west; il est de tous les voyages vers la liberté; il n’est pas étonnant qu’on le retrouve, plus pur et plus idéal que jamais, dans le tableau impressionniste des Marquises (9, 1977):

 

La pluie est traversière elle bat de grain en grain

Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin

 

              On aura la curiosité de se reporter aux toiles du deuxième séjour tahitien du peintre, celui du Cheval blanc, justement, et aussi de D’où venons-nous?..., de Nevermore.

 



              La majesté de ce nu, l’ampleur de ses grandes compositions, la splendeur étouffante des paysages peints à cette époque, comme Le Cheval blanc, répondent en peinture à ce qu’il exprimait en même temps dans ses lettres avec un véritable talent littéraire marqué par ses contemporains symbolistes: “ Ici, près de ma case, en plein silence, je rêve à des harmonies violentes dont les parfums naturels me grisent. Délice relevé de je ne sais quelle horreur sacrée que je devine dans le présent. Figures animales d’une rigidité statuaire: je ne sais quoi d’ancien, d’auguste, de religieux dans le rythme de leur geste, dans leur immobilité rare. ” Et encore: “ J’ai la sensation de la marche dolente de mes espérances... ” (à Fontainas, mars 1899).[1]

 

              Est-ce la verdeur cadavérique de ce prétendu “ cheval blanc ” qui a fait reculer d’horreur le commanditaire du tableau, et l’a poussé, méprisant, à le refuser? Cet acte de bêtise est le fait, parfaitement attesté, d’un pharmacien de Papeete; nous n’inventons nullement ce détail pour faire “ plus brélien ”, Brel lui-même s’alignant sans doute, en utilisant cette profession dans Rosa (5, 1962), sur le type littéraire flaubertien d’Homais. Quoi qu’il en soit, indifférents à ces médiocrités humaines, vieux sages métaphysiciens, entre vie et mort, entre nature solaire d’ici-bas et paysage ombreux de l’au-delà, ces chevaux mystérieux qui arpentent les rivages marins pouvaient fasciner le chanteur cancéreux, comme ils ont hanté le peintre cardiaque et syphilitique. On les retrouve, blancs ou noirs, dans  Les cavaliers sur la plage, ou dans  Les cavaliers (Le Gué), qui reprend sans doute un thème emprunté à une gravure de Dürer, le Chevalier, la Mort et le Diable, dont Gauguin avait collé une reproduction au dos de son manuscrit  Avant et Après.[2]

 


              Le cheval emblématique, qui participe à la fois de l’esprit - de l’ange - et de l’animalité - de la bête -, dont l’image évoque, avec une facilité égale, l’orgueil ou l’humilité, est véritablement un frère en condition de l’être humain. Il est le Pégase d’où naît toute poésie:

 

C’était le grand cheval de gloire,

Né de la mer comme Astarté,

A qui l’aurore donne à boire

Dans les urnes de la clarté;

     [...]

Tout génie, élevant sa coupe,

Dressant sa torche, au fond des cieux,

Superbe, a passé sur la croupe

De ce monstre mystérieux.

 

Les poètes et les prophètes,

Ô terre, tu les reconnais

Aux brûlures que leur ont faites

Les étoiles de son harnais.[3]



[1]. Françoise Cachin, Gauguin “ Ce malgré moi de sauvage ”, Découvertes Gallimard,1993, p. 116.

[2]. Ibid., p. 121. Le commentaire se poursuit ainsi: “ Faut-il identifier le premier cavalier encapuchonné de rose comme un tupapau? En tout cas, la scène est mystérieuse et superbe, avec le sombre paysage de gué devant un rideau de branches qui laisse apparaître une mer et une plage éclatantes. ”

[3]. Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois, “ Le cheval ”, op. cit., p. 3.


http://tahitienfrance.free.fr/tradition/tupapau.htm

Tupapa’u – Revenant

Les tupapa’u, (fantômes,) sont des personnages haut en couleur de la mythologie polynésienne. De nombreuses histoires d’apparitions de tupapa’u, d’esprits de personnes décédées se rencontrent dans toutes les îles :

 A Huahine, il y a des hommes oiseaux, à Hao un bateau fantôme qui annonce la mort d’un habitant de l’île… A Arue il se raconte qu'un demi-dieu protecteur, Tuatahi, se manifeste aux yeux des mortels sous la forme d'un animal ou d'une lueur bleutée. 





Jean-Marie











+ FILMS DEMANDES



(Jean-Marie)

Les filles du soleil 

 « Bonjour, du 22 au 30/10 j'ai appris qu'il y avait le festival de la Palette du Monde à Vierzon (je connais un peu le président !) , on pourrait cumuler expo d'un artiste kurde et ciné débat ???? Laurent Ziegelmeyer »             

(pour après les vacances)


(Edwige)

Un film soutenu par France Culture

MIZRAHIM, LES OUBLIÉS DE LA TERRE PROMISE

https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=294914.html

et un film dont j'ai lu un petit article sur l'humanité. 

LE PRINCE, de Lisa Bierwirth, un film allemand.


(John)

      Suite à THE DUKE le 23 juin je rajoute quelques possibilités.   On a le choix.   Je vais passer une bonne partie des mois de juillet et août à Vierzon et je veux bien continuer les séances du jeudi soir si possible. 


          L’ECOLE DU BOUT DU MONDE

          LES PASSAGERS DE LA NUIT.     ( s’il n‘est pas encore passé à Vierzon) 

          FUIS MOI JE TE SUIS

          LIMBO

          SAIS-TU POURQUOI JE SAUTE ?

          L’HYPOTHESE DEMOCRATIQUE









N’hésitez pas à visiter la page de l’actualité du mois,
 qui concerne :

Festival du Film de Demain
Université populaire du pays de Vierzon
Café repaire
Médiathèque Vierzon
Micro-Folie (Espace Maurice Rollinat)
Vierzon Cinéma
Musée de Vierzon 
Le Café Ô Berry
Festival Guyane
Musique à la Décale
L'Antidote Bourges
M. Pinglaut parle d'Arthur Rimbaud
Radio Tintouin
Nouveaux tarifs Ciné Lumière
Cours de cinéma en ligne ciclic

ACTU DU MOIS :




(Depuis le début du blog:)


En 2021, le blog a franchi le cap des 300 000 vues:



















LE SAVEZ-VOUS?
(La réponse s'obtient en cliquant sur les images)

"Parler pour tout dire."

               
 Ça concerne quoi?



         






COMPLEMENTS, PROGRAMMES, PHOTOS, BANDES ANNONCES,...
    Cliquez sur le lien ou sur l'image.

http://cinelumiere-vierzon.info/



Vous n'avez pas manqué de remarquer la rubrique ART ET ESSAI... et le lien
CINE RENCONTRES.







Carte d'adhérent
 Tarif de 5,50 euros sur présentation de la carte d'adhérent de Ciné-rencontres à la caisse.  (Ce tarif est appliqué uniquement sur les films sélectionnés dans le programme de Ciné-rencontres.)
N'hésitez pas à nous la demander.
Rappel du tarif d'adhésion: 10 euros pour un an (de date à date) avec possibilité d'affilier 2 personnes si on le souhaite pour ce montant (chacune aura sa carte, ce qui revient à 5 euros l'adhésion avec cette option couple" au sens très large: amis, relations,...). 5 euros pour étudiant ou chômeur (possibilité également d'adhésion "couple", ce qui revient alors à 2,50 euros).
Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu. 












Vous pouvez remplir cette fiche chez vous, après l'avoir copiée et collée (par exemple) dans un traitement de texte (Word,...). 


Merci pour votre soutien. 

















Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.







Facile de nous trouver. Il suffit de taper "cinégraphe" sur Google par exemple...
(capture d'écran du 27 septembre 2017).










Tiens... tiens... "abondante et variée"... Et si Ciné Rencontres y était un peu pour quelque chose en fin de compte?...




LES TARIFS AU CINE LUMIERE


(depuis juin 2022)

Berry républicain 10 juin 2022

séances
6 euros avec la carte fidélité.
5,50 euros pour les films Ciné Rencontres sur présentation d'une carte valide.



COURS DE CINEMA CICLIC



Upopi vous présente son cours de cinéma en ligne !
Apprenez et jouez avec les plus grands cinéastes.

Upopi, l’Université populaire des images, propose un cours de cinéma en ligne. Initié par Ciclic, ce cours accompagne les internautes souhaitant pratiquer l’analyse filmique. Cinéphiles, médiateurs, enseignants ou élèves, apprenez le vocabulaire cinématographique en vous amusant grâce à :

•          11 séances
•          53 notions
•          158 exercices
•          209 vidéos

Composées de Définitions, Études de cas et Exercices, les onze séances en accès libre

Accessible sur ordinateur, tablette, et smartphone, ce cours de cinéma convoque Alfred Hitchcock, Stanley Kubrick, François Truffaut, Steven Spielberg, Orson Welles… mais aussi Jason Bourne et Terminator. À partir d’extraits de grands films de l’histoire du cinéma, les principales notions du vocabulaire cinématographique n’auront plus de secret pour vous.


Pour vous rendre sur le site, 
cliquez sur l'image ci-dessous:




Pour un accès direct au vocabulaire,
cliquez sur l'image ci-dessous:



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire