42ème séance avec débat
JUST CHARLIE
Film anglais de Rebekah Fortune avec Harry Gilby, Karen Bryson. (2019 - vost - 1h37)
Charlie vit à Tamworth, une petite ville anglaise où tout le monde se connaît. C’est un adolescent destiné à un bel avenir dans le football et son père voit en lui le professionnel qu'il n'a jamais pu être. Mais Charlie se retrouve tiraillé entre le désir de répondre aux attentes de son père et le fait qu’il se sent emprisonné dans le corps d'un garçon. En proie à une crise identitaire, la relation précieuse qu’il avait alors avec son père se dégrade et c’est tout son univers qui est sur le point de basculer, y compris sa future carrière de footballeur. Sa volonté de découvrir sa véritable identité, va bouleverser tout l’équilibre de sa famille et celui de ses amis. JUST CHARLIE est un film sur l'acceptation de soi et l'acceptation des différences.
« JUST CHARLIE »
Juste un film aussi dont le titre nous fait penser à « Still Alice », laconique, court mais lourd de signification. Juste un film mais de ceux que j'aime. Un genre de cinéma qui ne veut pas asséner des vérités incontestables à des mécréants voir des blasphématoires à coups de matraque, mais qui veut au contraire tisser délicatement un chemin de questionnement sur un sujet mal connu. Celui des transgenres, car dans le film on assiste à la torture psychologique et hormonale imposée à Charlie, déclaré garçon à la naissance mais qui veut à tout prix éclore dans un corps de fille. Difficile pour un jeune mâle alpha qui excelle dans le sport de prédilection des classes populaires britanniques, le football. Dans le rêve de son père Charlie doit monter vers l'élite du football professionnel, un mâle fortement dosé en testostérone, guerrier au combat, béni des dieux, héros des stades, demi-dieu des foules. Talentueux, le jeune Charlie se voit ouvrir la porte de l'Académie du club de Manchester City, pépinière de jeunes talents. Pourtant il refuse d'y aller car lui seul connaît son aspiration profonde de devenir la fille qui est cachée en lui au plus profond de son être.
C'est dans le traitement de cette métamorphose que le film s'impose comme un document de grande subtilité. Sans manichéisme on nous permet de considérer l'identité sexuelle de façon non binaire, avec un large spectre allant du féminin au masculin où tout un chacun est invité à placer son curseur. Le parcours lève tous les problèmes liés à l'acceptation de de la différence et évoque aussi les réactions stéréotypées de l'entourage faisant les amalgames iniques. Charlie doit être homosexuel ou travesti, « queer » « freak » caprice de la nature, phénomène de foire, montré du doigt, frappé du poing, tabassé à coups de pied, écrasé comme un cloporte.
Le film éclaire beaucoup d'ambiguïtés, contribue à effacer des confusions et m'aide à m'interroger sur des questions de société qui auparavant ne me préoccupaient guère. Un petit pas vers une salle de cinéma un grand pas vers davantage d'humanité C'est pour cela que j'ai aimé ce film.
John
Ce que je retiens tout d'abord, c'est que la réalisatrice, Rebekah Fortune, tire résolument le roman de son compagnon écrivain Peter Machen d'où est tiré le scénario du côté de l'éloge du mundus muliebris baudelairien, ce monde féminin fait de raffinement, de souci de l'esthétique et du délicat, du goût du beau et de la civilisation, à l'opposé de la grossièreté du tout venant masculin, dont l'extrême se trouve représenté dans la scène du crachat "dégueulasse" de l'un des garçons prompts à la violence.
Si on remarque d'après sa photo que c'est un véritable sosie de l'actrice qui joue le rôle de la soeur, Eve, l'éternel féminin, ce n'est pas le fait du hasard, c'est simplement que c'est sa fille, Elinor Machen Fortune.
Le film, qui est si juste psychologiquement qu'il a pu nous paraître inspiré d'une histoire vécue, est inspiré en fait d'une série télévisée. On trouvera, à condition de lire l'anglais, de nombreux autres détails intéressants en suivant ces liens:
https://www.moviemaker.com/archives/moviemaking/directing/just-charlie/
https://thoselondonchicks.com/chicks-chats-rebekah-fortune/
Je n’ai rien à ajouter sur le fond à ce que John a si bien exprimé dans son billet, et qui une fois de plus insiste sur l’équilibre délicat entre les vertus de la tolérance et notre propre conception de l’intérêt général dans la société où nous vivons. J’insisterai juste au passage sur la qualité de la mise en scène et de la direction d’acteurs d’un film qui m’a immédiatement paru tout à fait digne de la meilleure tradition du cinéma britannique.
Avant ce film, je me suis demandé si on ne pouvait pas – si on ne devait pas - pour une fois en profiter pour ameuter le ban et l’arrière ban des clubs sportifs de la ville, d’abord ceux qui se consacrent au football bien entendu.
Une fraction de seconde plus tard je me suis dit que le thème ne serait guère porteur, et c’est un euphémisme.
Mais le même laps de temps ensuite, je me suis dit exactement le contraire. Car voilà bien un sujet d’actualité qui taraude en ce moment même les milieux du football, et par extension les milieux sportifs dans leur ensemble.
J’en atteste par exemple cette polémique qui a suscité l’ire de la ministre elle-même, et cela même si la polémique est en l’occurrence considérée comme plutôt injuste par plusieurs connaisseurs. Mais c’est au moins révélateur du climat actuel.
Voici des éléments pour une réflexion, où ceux qui ont vu le films seront sensibles à de nombreux échos possibles, par exemple avec la stigmatisation paradoxale de l'homophobie par une famille noire, elle-même victime d'une forme évidente de stigmatisation (second article de Thuram).
https://www.europe1.fr/sport/les-chants-homophobes-le-folklore-du-foot-selon-nathalie-boy-de-la-tour-presidente-de-la-ligue-professionnelle-3880688
La présidente de la Ligue professionnelle de football, Nathalie Boy de la Tour, a relégué les chants homophobes contre lesquels s'est indignée la ministre des Sports au rang de "folklore" des stades. Elle a déclaré privilégier les actions de prévention plutôt que les sanctions.
La ministre des Sports, Roxana Maracineanu s'est dite choquée par les insultes proférées par certains supporters dans les stades de football, au micro d'Europe 1 dimanche. "On ne peut pas se dire qu'on va emmener nos enfants au stade et entendre de telles choses, c'est inadmissible".
Mais la présidente de la Ligue professionnelle de football, Nathalie Boy de la Tour, évoque avant tout du "folklore", dans une interview du Parisien. Avant de parler de sanctions, elle insiste sur les actions de prévention et de pédagogie à mettre en place auprès des supporters.
Les chants homophobes, "le folklore du foot", selon Nathalie Boy de la Tour
Quand Roxana Maracineanu dénonce des "insanités", la présidente de la Ligue professionnelle évoque, plusieurs fois, "le folklore, le folklore du foot…", auprès du Parisien. "Ce sont des propos qu’on entend régulièrement. Ça ne veut pas dire qu’ils sont acceptables, mais ils font partie de l’expression d’une ferveur populaire qu'il faut prendre comme telle."
Des propos qui n'ont pas de portée pour les supporters
Pour Nathalie Boy de la Tour, ces propos sont circonscrits aux limites des stades. "Le propos pris hors contexte n'est pas acceptable. Maintenant, dans le stade, il n’est pas acceptable en tant que tel, mais il fait partie du folklore." Selon elle, "la majorité des supporters n’ont pas l’impression de blesser."
C'est pourquoi, plutôt que des sanctions - comme l'a réclamé la ministre des Sports en marge des Trophées de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) au Sénat - elle souhaite privilégier la pédagogie pour "montrer que derrière les mots, on peut faire souffrir quelqu'un qui se sent attaqué."
"Mais l'homophobie ne relève pas du folklore des stades", s'insurge le chroniqueur d'Europe 1 David Abiker dans sa revue de presse mardi matin. "C'est une sale habitude, comme les insultes racistes. L'homophobie n'est pas plus un folklore que le harcèlement scolaire n'appartient au folklore éducatif ou dégazer en plein mer au folklore maritime. Madame la présidente, on sait que vous faites ce que vous pouvez mais ne laissez pas l'insulte homophobie, qui n'a rien de folklorique, polluer le sport."
Des actions de sensibilisation plutôt que des sanctions
Pour Nathalie Boy de la Tour, il faut y aller "par étapes. Ce qui est important pour nous avant tout, c’est l’éducation et la prévention", assure la présidente de la Ligue. Bien que des sanctions soient déjà appliquées dans les stades pour l'utilisation de fumigènes, Nathalie Boy de la Tour assure que l'effet de groupe rend l'identification des auteurs difficile. "On ne supprimera pas du jour au lendemain les chants qui ne nous plaisent pas dans les stades. Ce n’est pas possible", assure-t-elle.
Néanmoins, la Ligue professionnelle a signé un pacte avec la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) pour établir un état des lieux. "C’est tout un 'process' qui va être mis en place, par des photos, des captages vidéos ou audios", prévoit-elle. Des actions et des ateliers de sensibilisation vont également être menés avec des groupes de supporters volontaires. Quant au soutien des membres du conseil d'administration de la Ligue pour des sanctions, Nathalie Boy de la Tour ne se prononce [pas].
http://www.leparisien.fr/sports/lilian-thuram-lorsque-j-etais-enfant-j-etais-homophobe-03-08-2018-7842459.php
Extrait :
Dans le sport, l’homosexualité est-elle toujours un tabou ?
Ça dépend avec qui vous discutez. Le sport est juste à l’image de la société.
Que doit faire un adolescent victime d’insultes homophobes ?
Quand je vais dans les écoles, je dis quelque chose de très simple : « N’oubliez jamais que ce ne sont pas les personnes homosexuelles qui ont un problème ; ce sont ceux qui pensent qu’ils peuvent décider de ce que les personnes homosexuelles ont le droit ou pas de faire ».
Ces insultes peuvent aller jusqu’au drame…
Quand on parle d’homophobie, on parle de violences qui peuvent aller jusqu’au suicide, oui. C’est à cause de nous, à cause de la société.
Une compétition comme les Gays Games, qui se veut aussi festive et culturelle, peut-elle faire avancer les mentalités ?
Il est important d’avoir des moments pour réfléchir : est-il juste de discriminer quelqu’un pour sa couleur ? Non. Pour sa religion ? Non. Sa sexualité ? Non. Plus on va en discuter, plus on va y réfléchir et plus on va changer notre façon de penser.
Extrait :
«J'étais persuadé qu'il n'y avait pas d'homosexuels noirs»
Le Guadeloupéen apparaît comme déterminé à faire évoluer les mentalités par rapport à l'homosexualité: «Dans ma famille, personne ne va avoir d'avis négatif sur les gens de ma couleur de peau. Alors que si vous êtes homosexuel, vous pouvez malgré tout entendre des gens de votre famille tenir des discours super-homophobes. C'est d'une violence totale, voilà pourquoi il faut questionner la société et aider les gens à comprendre pourquoi ils deviennent homophobes.» Lilian Thuram qui sera l'ambassadeur des Gay Games 2018 en août prochain à Paris a d'ailleurs confié avoir été persuadé dans sa jeunesse «qu'il n'y avait pas d'homosexuels noirs, qu'il n'y avait que des blancs homosexuels», du fait d'avoir «grandi dans une société très religieuse» aux Antilles.
L'homosexualité, un sujet encore tabou dans le football
L'homosexualité dans le football reste un sujet largement tabou. Dans l'histoire de ce sport, très peu de joueurs ont franchi le cap d'assumer ouvertement leur homosexualité. Seuls quelques noms reviennent parmi lesquels l'ancien professionnel Olivier Rouyer (France), le milieu des Los Angeles Galaxy Robbie Rogers (Etats-Unis) ou encore le retraité Thomas Hitzlsperger (Allemagne). L'histoire a également été marquée par le suicide de Justin Fashanu en 1998. Un acte perpétré après le coming out du joueur anglais en 1990, le premier à avoir reconnu son homosexualité en tant que professionnel. En effet, beaucoup de joueurs assument ouvertement leur homosexualité à la fin de leur carrière.
Des coming outs dans Football Manager 2018
Mais les mentalités évoluent. En janvier 2017, la Fédération anglaise de football avait appelé les joueurs homosexuels évoluant dans les championnats locaux à faire un coming out collectif. Thierry Henry, aujourd'hui consultant sur la chaîne Sky Sports, avait encouragé en 2015 les joueurs à ne plus cacher cette orientation sexuelle, estimant que le milieu avait aujourd'hui assez de recul pour l'accepter. Les progrès viendront peut-être des jeux vidéo puisque récemment, la franchise de management sportif Football Manager 2018 a ajouté la possibilité pour ses joueurs fictifs de faire leur coming out.
Un autre témoignage:
Finalement j’insisterai aussi en deux temps sur ce qui est peut-être un point de détail du film (même pas sûr…), pas de notre époque en tout cas, à savoir l’importance du foot dans la société.
Premier temps : c’est cette importance qui a placé notre commune voisine au centre du monde footballistique. Commune encore plus proche de Saint-Laurent, d’ailleurs, où réside un autre Jean-Marie qui n’a pourtant pas été convaincu par cette rédemption miraculeuse par le foot. C’est vrai qu’il a fallu un faisceau de nombreuses circonstances favorables autour du jeune garçon, depuis sa famille jusqu’à la société proche et ses ressources, pour qu’il ait sa chance: j'ai dit au début que le scénario n'avait pas été bâti à partir d'une histoire vécue, mais à partir d'une fiction télévisée, ce qui laisse place au effet au soupçon d'invraisemblance.
https://vignoux.fr/index.php/vignoux/commune-menu/personnalites-menu/169-charlotte-bilbault
Deuxième temps, et John ne va pas me contredire, ce n'est pas rien pour une famille britannique d'avoir une chance de rallier le club mancunien (ce gentilé d'apparence rare ne semble devoir être connu, en France, que des géographes et des amateurs de foot). L'Angleterre est quand même un pays capable d'anoblir un footballeur, et de l'honorer du titre de Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique et délever des statues minumentales aux joueurs comme aux entraîneurs.
Transféré ensuite à Manchester United, l'un des clubs les plus prestigieux du monde, il s'affirme comme la coqueluche d'Old Trafford, le stade mancunien, baptisé avec une certaine candeur Theater of Dreams.
(Ivan Roussin, Fils à papa, éditions Toucan, 2010)
Le Manchester United Football Club est un club de football anglais basé dans le district de Trafford, à proximité de la ville de Manchester, dans son stade d'Old Trafford dans le Grand Manchester. Il est fondé en 1878 sous le nom de Newton Heath.
Manchester United est l'un des clubs les plus riches et comptant le plus de supporters au monde. Avec des revenus les plus élevés de tout club de football d'une valeur estimée à 1,4 milliard d'euros, sa valeur, en mai 2015, est estimée à 2,7 milliards de dollars. Le club est aussi un des fondateurs de l'Association européenne des clubs.
Manchester United possède le palmarès le plus fourni du football anglais, ayant remporté le championnat d'Angleterre à vingt reprises. Le club a également remporté douze Coupes d'Angleterre, cinq Coupes de la Ligue anglaise, vingt-et-un Community Shield, trois Ligues des Champions, une Coupe des Coupes, une Ligue Europa, une Supercoupe de l'UEFA, une Coupe intercontinentale et une Coupe du monde des clubs.
Avec de telles illustrations, je suis persuadé que je ne suis pas le seul, parmi les les gens de ma génération qui, sans être nécessairement des fans inconditionnels du football, ont vibré devant les images d'une télévision encore en noir et blanc, voient ainsi se raviver de puissants souvenirs. Et je ne dissocie pas Bobby Charlton de Jacky Charlton, dont le véritable prénom, ce que j'ignorais à l'époque, était John.
Jean-Marie
Canard enchaîné 12 juin 2019 |
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