6ème séance avec débat
Film documentaire français de Adrien Bellay (1h22).
VENDREDI 29 SEPTEMBRE 2017 (CINE DEBAT)
20H30
Avec l'association ARTISANS DU MONDE
dans le cadre de la FETE DES POSSIBLES
dans le cadre de la FETE DES POSSIBLES
Ecologie appliquée, individu et environnement, facilité de mise en œuvre, utopie ou réalité,…
Une fois n'est pas coutume, mais comme il sera dimanche dans une minutes (au moment où je publie cette page), priorité est donnée à l'urgence de l'actualité.
Juste un mot en style télégraphique: salle archi-pleine, débat approfondi et passionnant.
Juste un mot en style télégraphique: salle archi-pleine, débat approfondi et passionnant.
Berry républicain 28 septembre 2017 |
On en parle aussi dans la page ACTU suivante.
https://cinegraphe.blogspot.fr/2017/09/actu-octobre-2017.html
John attire mon attention sur l'article suivant du jour précédent (Berry républicain 27 septembre 2017). Preuve qu'il y a une réelle actualité du thème.
« Sous les pavés la plage, sous la plage la terre »
Cela sentait bien l'esprit de mai 68 et si cette génération était encore présente dans le film c'était souvent ses enfants qui étaient sur le devant de la scène. Réfléchissant aux enjeux d 'une agriculture raisonnée respectant la terre et ses cultivateurs les permaculteurs cherchent à trouver leur place dans une démarche harmonieuse basée sur l'observation de l'environnement. A l'opposé de la verticalité d'une société de plus en plus dématérialisée qui renforce l'individualisation, l'horizontalité favorisera le partage des connaissances, des savoirs liés à la terre ainsi que les fruits de cette même terre. Les mains dans la terre, la tête dans les étoiles le jardinier jouit d'un sentiment de plénitude ayant trouvé sa place et une forme de pouvoir dans la mesure où il est capable de produire sa propre nourriture. Nous sommes ici dans une relation complexe avec le vivant et la recherche spirituelle se devine en coulisses. Cependant toute dérive vers un éventuel mysticisme et ses excès était évitée.
Je donne comme exemple la glorification du « composte des Templiers » dans sa définition originale.
Le Composte des Templiers.
En 1974 Mr.Armand Ell retrouva la formule du composte des templiers dans le manuscrit de Gualdim Pais Grand Maître templier portugais (1160).
C'est "L'or organique " nous dit Armand Ell, qui explique la fabrication alchimique du composte à qui veut bien l'entendre.
De la matière verte...
Cet Humus Vivant lui permet d'obtenir un TRES GRAND vin: Château Josaphat qui n'est : ni à vendre, ni à déguster de surcroît.
Ce vin de « ville » issu de vignes au centre de Bruxelles (Belgique), au dire de son maître, a battu en dégustation à l'aveugle, quelques-uns des PLUS GRANDS crûs français du bordelais, il m'a semblé entendre "Smith Haut-Laffite" etc..!
Militant pour un retour en France à une viticulture utilisant ces principes, il vous expliquera volontiers sa formule.
Ce n'est pas les personnes que vous imaginez qui me rendent service, bien au contraire me dit-il !
Alors, j'imagine le milliardaire Belge Albert Frère déboursant 1 milliard de francs lourds pour le domaine de Château Cheval Blanc, et voir un vin de bas quartier, arriver dans ses cimes !
Car, des bâtons dans les roues, il en a eu M.Armand.
Armand Ell, grand spécialiste en Vins et Vins Biologiques, n'a pas besoin d'engrais, encore moins de pesticides pour accomplir son oeuvre. Tout est dans cet humus de surface (8cm), qui nécessite 111 jours de préparation (111 = carré du Soleil).
La formule est simple, en voici un résumé:
Un gros tas de matière verte préparé en plusieurs jours, après trempage (24h), subit un pré compostage étant mis en un seul tas bien tassé (4m3) pendant 21 jours au moins; passé ce laps de temps, on ouvre le tas et on commence alors le compostage par un nouveau tas longitudinal et pyramidal à l'abri du vent de 2,2 mètres sur 1,6 mètres ("C'est la clé de voûte du système.") et cela pendant 90 jours complémentaires et le voilà près à l'emploi.
Impossible de commercialiser ce composte, il perd ses propriétés en fonction du temps qui passe...
DC
pour Mr.Armand Ell, 155 Grande rue au bois 1030 Bruxelles.
On ne réinvente pas l'eau chaude
La permaculture sans gourous, sans mandalas et avec son bon sens a séduit un public nombreux et nous avons dû rajouter des sièges. Ensemble nous avons pu conjuguer le verbe PERMACULTIVER dans un paradigme sociétal du citoyen responsable.
Je permacultive
Tu dégustes bio
Il vélibe
Elle bla bla car
Nous décroissons
Vous développez durablement
Ils GLYPHOSATENT
JOHN
Réaction de JMB:
Je n'ai pas assisté au documentaire militant . Je viens juste de découvrir la prose fougueuse et lyrique du président de cinérencontres. On se laisse emporter ...jusqu'au "tilt" de l'envoi final et ses méga oxymores:
1 développement durable
2 développement durable et décroissance
Mais c'est là des sujets de fond et pas faciles à mettre en application . Nonobstant, que la cohérence est ardue, pour moi comme pour tous!!! Mais elle ne doit pas être mise sous le tapis. Is'nt it?
Je n'ai pas assisté au documentaire militant . Je viens juste de découvrir la prose fougueuse et lyrique du président de cinérencontres. On se laisse emporter ...jusqu'au "tilt" de l'envoi final et ses méga oxymores:
1 développement durable
2 développement durable et décroissance
Mais c'est là des sujets de fond et pas faciles à mettre en application . Nonobstant, que la cohérence est ardue, pour moi comme pour tous!!! Mais elle ne doit pas être mise sous le tapis. Is'nt it?
SUR WIKIPEDIA
La permaculture
est
une méthode systémique et globale qui vise à concevoir des systèmes (par
exemple des habitats humains et des systèmes agricoles, mais cela peut être
appliqué à n'importe quel système) en s'inspirant de l'écologie naturelle
(biomimétisme ou écomimétisme) et de la tradition1[réf. insuffisante]. Elle
n'est pas une méthode figée mais un « mode d'action » qui prend en
considération la biodiversité de chaque écosystème. Elle ambitionne une
production agricole durable, très économe en énergie (autant en ce qui concerne
le carburant que le travail manuel et mécanique) et respectueuse des êtres
vivants et de leurs relations réciproques, tout en laissant à la nature «
sauvage » le plus de place possible2,3.
Cette
méthode a été théorisée dans les années 1970 par les Australiens Bill Mollison
(biologiste) et David Holmgren (essayiste). Le terme permaculture signifiait
initialement « agriculture permanente » (Permanent Agriculture4), mais il a été
rapidement étendu pour signifier «culture de la permanence» car les aspects
sociaux faisaient partie intégrante d'un système véritablement durable5. Cette
dernière signification est encore aujourd'hui sujette à polémique[réf.
nécessaire].
Avec
ce sens étendu, la permaculture forme des individus à une éthique ainsi qu'à un
ensemble de principes (design permaculturel). L'objectif étant de permettre à
ces individus de concevoir leur propre environnement, et ainsi de créer des
habitats humains plus autonomes, durables et résilients, et donc une société
moins dépendante des systèmes industriels de production et de distribution
(identifiés par Mollison comme le fondement de la destruction systématique des
écosystèmes).
Elle
utilise entre autres des notions d'écologie6, de paysagisme, d'agriculture
biologique6, de biomimétisme, d'éthique, de philosophie et de pédologie4. La
permaculture invite à mettre ces aspects théoriques en relation avec les
observations réalisées sur le terrain de façon harmonieuse7.
Origine du mot
Le
terme « permaculture » est un mot-valise. Il est issu de l'expression
américaine « permanent agriculture » qu'utilisa l'agronome Américain Cyril G
Hopkins dans son livre de 1910 Soil Fertility and Permanent Agriculture4.
Franklin Hiram King (en) la reprit dans son livre de référence de 1911 Farmers
of Forty centuries: Or Permanent Agriculture in China, Korea and Japan.
L'expression « permanent agriculture » sous-entend des méthodes culturales qui
permettent aux terres de maintenir leur fertilité naturelle8. En 1929, Joseph
Russell Smith a résumé sa longue expérience de cultures pour l'alimentation
humaine et animale avec des fruits et des noix dans le livre Tree Crops : A
Permanent Agriculture9.
Le
terme « permaculture » lui-même a été utilisé pour la première fois par Bill
Mollison et David Holmgren dans leur livre Permaculture One paru en 197810.
Les
influences[modifier | modifier le code]
L’Australien
Percival Alfred Yeomans introduisit dans les années 1950 la méthode des
contours (« Keyline Design ») (en) comme méthode d’approvisionnement et de
distribution en eau d’un site11. Cette approche de l'aménagement influença
fortement les fondateurs de la permaculture.
Jusqu'à
ce qu'il lise le livre de Masanobu Fukuoka, La révolution d'un seul brin de
paille (1975, traduit en anglais en 1978), Bill Mollison se demandait comment
intégrer de manière satisfaisante les céréales et les légumineuses dans la
permaculture12. Les travaux du Japonais en agriculture naturelle le mirent sur
la voie. Ce dernier avait réussi notamment la culture du riz et de l'orge sans
travail du sol (sous une couverture permanente de trèfle blanc), sans
désherbage mécanique, sans engrais préparé et sans pesticide, tout cela avec
des rendements égaux et parfois supérieurs à ceux de l'agriculture chimique.
Bill Mollison, dans son second livre Perma-Culture 2, fait doublement référence
à Fukuoka : il s'appuie sur ses travaux agricoles, mais le cite aussi en
introduction comme celui ayant le mieux énoncé la philosophie de la
permaculture.
Le
travail de Howard T. Odum fut aussi une influence importante, surtout pour
David Holmgren13. Le travail d’Odum s’est surtout axé sur l’écologie des
systèmes, en particulier le principe du maximum de puissance (en), principe
duquel découle l'idée cardinale que les écosystèmes tendent à optimiser
l'utilisation de l'énergie.
Une
autre influence précoce fut le travail d’Esther Deans, qui fut le pionnier des
méthodes de non travail du sol14. D’autres influences récentes incluent le
système VAC au Viêt Nam.
Mais
l'idée est beaucoup plus ancienne comme Christophe Gatineau le décrit dans son
ouvrage Aux sources de l'agriculture, la permaculture : illusion et réalité :
déjà aux xviie et xviiie siècles, on trouve des précurseurs de la permaculture
dans des ouvrages tels que L'agronome. Le dictionnaire portatif du cultivateur
de Pons Augustin Alletz15 qui écrit en 1760 :
«
C’est une chimère que de prétendre donner une méthode d'Agriculture générale :
il en faudrait une différente pour chaque province ou chaque canton ; car
chaque province ne doit travailler à perfectionner que ce qu'elle possède, et
ne faire d'essais que sur les productions analogues à son terroir. »
Ou :
« … C'est donc une nécessité pour le progrès de l'Agriculture de ne suivre que
des exemples tirés d'un terrain, qu'on sait être semblable à celui qu'on veut
fertiliser. »
Chaque
province ne doit travailler à perfectionner que ce qu'elle possède… Ce concept
de diversité s'oppose à l'uniformité et à la mondialisation des pratiques et
des savoir-faire agricoles ajoute l'auteur de cet essai. Ce nouvel éclairage
est à prendre en considération d'autant qu'à cette époque l'agriculture n'était
pas un ensemble de techniques mais un « art » à part entière (une méthode
globale cohérente), ce que tous les écrits de l'époque confirment, à commencer
par l’article « agriculture » du Dictionnaire de l’Académie française16.
Mollison
et Holmgren : cofondateurs de la permaculture[modifier | modifier le code]
Au
milieu des années 1970, les australiens Bill Mollison et David Holmgren
commencèrent à développer des idées pouvant être utilisées pour créer des
systèmes agricoles stables. Ce travail résultait de leur perception d’une
utilisation toujours plus importante de méthodes agro-industrielles
destructrices qui empoisonnaient l’eau et la terre, réduisant la biodiversité
et érodaient des millions de tonnes de terres auparavant fertiles. Une approche
appelée « permaculture » fut leur réponse et fut rendue publique pour la
première fois avec la publication en 1978 du livre Perma-Culture 1, une
agriculture pérenne pour l'autosuffisance et les exploitations de toutes
tailles.
Le
terme permaculture signifiait initialement « agriculture permanente » mais fut
rapidement étendu à « culture permanente », tant les aspects sociaux faisaient
partie intégrante d’un véritable système durable.
Après
la publication de Permaculture One, Mollison et Holmgren affinèrent et
développèrent leurs idées en effectuant la conception de centaines de sites
selon la méthode permaculture.[pas clair] et en organisant cette information
dans des livres plus détaillés. Mollison enseigna dans plus de 80 pays et son
cours certifié de 72 heures fut suivi par des centaines d’étudiants[réf.
nécessaire]. La permaculture vise à ce que le plus grand nombre d'individus se
l’approprie, c’est pour cela que les principes de conception en permaculture
sont le prolongement de la position qui veut que « la seule décision éthique
est de prendre la responsabilité de notre propre existence et de celle de nos
enfants »17. L’intention étant qu'en formant rapidement les individus à un
ensemble fondamental de principes de design[Quoi ?], ces individus pourraient
aménager leur propre environnement et construire des territoires toujours plus
autonomes, interconnectés, résilients et durables.
À
partir du début des années 1980, le concept avait évolué et était passé d’un
système de conception de systèmes agricoles à un processus de conception plus
holistique de création de sociétés humaines jugées durables.
À
partir du milieu des années 1980, un grand nombre d’étudiants s’étaient
transformés en pratiquants chevronnés et avaient commencé à enseigner les
techniques qu’ils avaient apprises. Très rapidement des groupes, projets,
associations et instituts de permaculture s’établirent dans plus d’une centaine
de pays[réf. nécessaire].
En
1991, un documentaire en quatre parties d’ABC production appelé ‘the global
gardener’ montrait la permaculture appliquée à différentes situations à travers
toute la planète, portant le concept à l’attention d’un public plus large.
Le
formateur anglais en permaculture Patrick Whitefield, suggère qu’il y a deux
mouvements de permaculture : la permaculture originelle et la permaculture de
design18.
La
permaculture originelle (agriculture permanente) est la conception consciencieuse
et la gestion de systèmes agricoles productifs qui possèdent les
caractéristiques de diversité, de stabilité et de résilience des écosystèmes
naturels. C'est l'intégration harmonieuse de l'homme dans son environnement
pour qu'il puisse en retirer ce qui lui est nécessaire, la nourriture,
l'énergie, le logement, ou plus généralement tout ce dont il a besoin de
matériel ou non pour vivre de manière soutenable.
La
permaculture de design considère les connexions dans un écosystème ainsi que
son fonctionnement, et en dérive des principes d’efficacité énergétique
applicables à tous les types de systèmes humains (transport, société,
agriculture…). À travers une observation minutieuse des énergies naturelles,
des systèmes de design efficaces peuvent être développés. Ceci est maintenant
connu sous le nom de Design de Systèmes Naturel19.
L'éthique de la permaculture
La
permaculture s'appuie sur une éthique. C'est un ensemble de valeurs
fondamentales qui gouvernent la réflexion et l'action.
L'éthique
de la permaculture peut être résumée ainsi20 :
Prendre
soin de la Nature (les sols, les forêts, l’eau et l'air)
Prendre
soin de l’Humain (soi-même, la communauté et les générations futures)
Créer
l’abondance et redistribuer les surplus.
La
suite ici :
Et pour ne pas oublier...
N’hésitez pas à visiter la page de l’actualité du mois,
qui concerne :
L'Université populaire du Pays de Vierzon
Café repaire
Cinéma et psychanalyse Châteauroux
Nicolas Vannier au Ciné Lumière dimanche 17
Salon du livre de Vierzon
https://cinegraphe.blogspot.fr/2017/09/actu-octobre-2017.html
Voir ici les films souhaités pour la suite:
https://cinegraphe.blogspot.fr/2017/08/liste-des-films-proposes-pour-le.html
Café repaire
Cinéma et psychanalyse Châteauroux
Nicolas Vannier au Ciné Lumière dimanche 17
Salon du livre de Vierzon
Vaillant primé au salon du livre
Don du sang
Salon d'automne Arts Issoudun
Troc plantes Saint-Laurent
https://cinegraphe.blogspot.fr/2017/09/actu-octobre-2017.html
Voir ici les films souhaités pour la suite:
https://cinegraphe.blogspot.fr/2017/08/liste-des-films-proposes-pour-le.html
COMPLEMENTS, PROGRAMMES, PHOTOS, BANDES ANNONCES,...
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http://cinelumiere-vierzon.info/
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CINE RENCONTRES.
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NOUVEAU. Tarif de 5 euros sur présentation de la carte d'adhérent de Ciné-rencontres à la caisse. (Ce tarif est appliqué uniquement sur les films sélectionnés dans le programme de Ciné-rencontres.)
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Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu.
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Vous pouvez remplir cette fiche chez vous, après l'avoir copiée et collée (par exemple) dans un traitement de texte (Word,...).
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Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.
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