COMME DES LIONS
Documentaire français de Françoise Davisse. (2015 - 1h55)
Grands témoins :
trois grévistes de PSA Aulnay
trois grévistes de PSA Aulnay
VENDREDI 29 AVRIL (CINE DEBAT)
20H30
social, voitures PSA, lutte ouvrière, film engagé,,...
Les salariés de PSA contre la fermeture de leur usine.Si vous étiez dans la salle, ce vendredi soir, c’est dans cet ordre que vous les aviez en face de vous : Nabil, Agathe Martin et François Boethas.
C’est à se demander si ces gens du film ne sont pas de sacrés visionnaires ! Tout se passe en effet comme s’ils avaient une connaissance anticipée de ce qui se passe actuellement, à savoir un matraquage médiatique et politique visant à faire oublier les matraquages policiers. Les policiers sont tous gentils, ils protègent la population du terrorisme dans un esprit républicain exemplaire, et ce sont au final les seules victimes des violences des manifestations. D’ailleurs, ce ne serait pas à eux d’assurer l’ordre public, ce serait l’affaire et la responsabilité unique des services d’ordre des manifestations qui ne sont pas à la hauteur. Curieusement, le public, qui comme attendu a bien trouvé que les grévistes crevaient l'écran, a spontanément déclaré que les policiers avaient vraiment eux aussi l'allure de l'emploi: on n'aurait pas fait mieux avec un casting rigoureux...
On va, ce faisant, au-delà des injonctions de modèle de Manuel Valls, Georges Clémenceau, qui avant 1914 demandait un auto-encadrement des manifestations. Quant à la professionnalisation, tant des organisations syndicales que des pouvoirs publics, elle se fera progressivement après la Grande Guerre.
Alors ici, on ne tombe pas dans le piège. Le slogan le plus répété, c’est : « On est des ouvriers, on n’est pas des casseurs. » On se montre on ne peut plus gentils devant les CRS, ce qui n’empêche pas de prendre pas mal de coup. Dans le film, c'est Jean-Pierre Mercier qui principalement porte ce message pacifique et s'emploie efficacement et finement à le faire mettre en pratique.
Pourtant on aurait eu largement les moyens de mettre le feu à l’usine (tiens, l’idée de la Petite Maison dans la Prairie qui était un modèle revendicatif des Klur de Merci Patron ! Mais au final, force est bien de constater que l’usine, c’est bien les patrons qui l’ont cassée…
Au passage, ils n’ont pas l’air d’avoir été impressionnés par l’injonction de l’émission présidentielle (ratée par ailleurs), où on répétait à qui voulait bien l’entendre qu’on ne devait plus parler de "patrons", devenu un gros mot, mais d’"entrepreneurs", euphémisme branché. Mais le mot est bien trop long pour ces syndicalistes, c’est sûr.
Quand on voit ces trois-là, on se dit qu’il y en a qui ont vraiment des soucis à se faire.
Car ils ont beau investir des moyens considérables pour décerveler le peuple, à grands coups de réformes scolaires destructrices, de captation des grands médias audiovisuels (Taisez-vous, Elkabbach!)ou écrits (Messieurs les censeurs du Monde, bonsoir!), ils ne parviennent pas à effacer l’intelligence, tant individuelle que collective, qui s’exprime toujours dans les circonstances exceptionnelles, et qui ne déçoit jamais.
Non seulement on a eu la preuve qu’il existait encore des ouvriers, mais il existe encore des ouvriers intelligents, qui portent sur le monde un regard lucide et profond, et qui, comme si cela ne suffisait pas, vous affirment qu’ils sont loin d’être uniques, et qu’il existe encore de nombreux bastions ouvriers, évidents quand ils sont encore groupés, mais au moins potentiellement efficaces même quand ils sont éclatés.
Le public a relevé immédiatement le côté impressionnant de leur discipline qui fait la force des armées syndicales : « On est des ouvriers, on n’est pas des casseurs. », slogan répété ici comme dans le film.
Les Conti ?
On les a présentés à Ciné Rencontres en 2013.
Certes, ils ont bloqué le pays, mais au sens strict ils n’ont jamais fait grève. Ils ont réagi une fois leur usine liquidée, pas avant.
Si les producteurs prenaient conscience de leur pouvoir, ils seraient les maîtres du monde.
Mais on n’était que 200…
On a pu rêver d’effet d’entraînement local, vers la fameuse masse critique de 1000 sur 3200. Quant à l’internationalisation du mouvement, à l’impossible nul n’est tenu.
On a fait référence à la devise de l’AIT (1864-1876), Association internationale des Travailleurs, première Internationale: « L'émancipation des travailleurs doit être l'œuvre des travailleurs eux-mêmes.» C’est en effet ce qu’affirme Marx dans son Adresse.
Echo temporel étonnant : c’est la devise qu’adopte notre Edouard Vaillant dès 1867, c’est-à-dire pratiquement dès l’origine, quand il prend à Genève sa carte de l’AIT.
Car on n’a pas eu à les forcer, ceux-là, ni même à les influencer le moins du monde. C’est bien très spontanément qu’ils ont placé la Commune au cœur de leurs références, entre la Révolution, bien sûr, et le Front populaire, pour finir par Mai 68.
A propos de Commune, c’était l’occasion de rappeler que près d’un tiers de son gouvernement était vierzonnais, avec Edouard Vaillant et Félix Pyat.
Où on reparle de François.
Région Beauvais et sa région
PUBLIÉ LE 08/02/2013
Courrier picard
| MERU |
À Méru, les salariés de l'équipementier automobile redoutent l'impact de la fermeture de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois sur leurs emplois.
«Soutenez les PSA, il nous faut des sous pour soutenir la grève». Cheveux au vent, une brassée de tracts sous le bras, François Boethas interpelle avec quelques camarades les salariés de l'équipementier automobile méruvien Faurecia en route pour la cantine. «Nous sommes là pour informer les ouvriers. Ils sont les prochains» , explique le militant CGT de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois, en grève depuis le 16 janvier contre la fermeture annoncée du site.
Devant le tourniquet de sortie, les échanges sont brefs. Un hochement de tête en acceptant le tract, quelques mots au mieux, avant de s'éloigner d'un pas vif de l'escouade de syndicalistes. «On a pris la température pour une éventuelle grève de soutien, mais les gens n'ont pas envie de bouger pour le moment.», note José Peintre, délégué CGT de Faurecia, dont la section a signé un chèque de 1000 euros pour soutenir les PSA. «Ils sont inquiets. Même si la direction assure que nous ne serons pas touchés, ils savent que pour un salarié dans l'automobile, cinq autres personnes travaillent.»
Baisse de la production
Des inquiétudes renforcées par la baisse de production dans les chaînes de l'usine. «Avant le 16 janvier, on produisait 1000 planches de bord, moitié pour Aulnay, moitié pour Poissy. Aujourd'hui, on en fait 800, dont 300 stockées en attente». Le ralentissement de la chaîne frappe surtout les intérimaires, «qui étaient 216 en octobre, 114 aujourd'hui». «Pour le moment, ils sont remplacés par des titulaires. Mais à long terme, on a des raisons d'être inquiets. Surtout que nous livrons beaucoup plus vers l'Europe de l'Est», conclut le syndicaliste, qui attend avec impatience le prochain comité d'entreprise et son lot de nouvelles fraîches. «Le 21janvier, les syndicats des équipementiers ont remporté un référé pour obliger PSA à informer toutes ses divisions qui pourraient être impactées.»
ARNAUD ROSSIGNON
«Comme des Lions», un coup de boule à la désillusion !
27 JANV. 2016 PAR COMME DES LIONS BLOG : LE BLOG DE COMME DES LIONS
Moins que la chronique d'un conflit social, ce film raconte une aventure collective. On y voit des salariés décider eux-mêmes de leurs actions, débattre de leurs doutes, élaborer une stratégie face à celle du groupe PSA et à l'attitude de l'Etat. Un vrai moment de démocratie. Entretien avec la réalisatrice Françoise Davisse, à l'occasion des avant-premières du film, soutenu par Mediapart.
A l'occasion des avant-premières du film, présenté en ouverture du festival "Filmer le Travail" à Poitiers vendredi 29 janvier 2016, entretien avec Françoise Davisse, la réalisatrice.
Qu’est-ce qui a donné l’impulsion à ce film ?
Françoise Davisse : Le tournage a démarré lors de la campagne des élections présidentielles. C’est dans ce contexte que j’ai appris que la CGT d’Aulnay avait dévoilé le plan de fermeture du site de la direction. Il se trouve que je connaissais Jean- Pierre Mercier, négociateur CGT et numéro 2 de lutte ouvrière. En 2007, le syndicat s’était battu pour les salaires. Ce sont des gens combatifs et qui savent négocier au moment où le mouve- ment est le plus fort.
Je voulais suivre en image la CGT de l’usine, ceux qui ne sont pas habituellement les «bons» personnages mais les «têtes dures». Je voulais voir de l’intérieur cette stratégie menée par des gens qui ne renoncent pas à la bagarre. Plus que l’histoire d’une fermeture, c’est un film gé- nérique sur la manière dont se passe en général une grève.
Comment avez-vous introduit votre caméra et donc votre regard dans cette histoire en mouvement ?
Françoise Davisse : Quand l’usine fonctionnait, je n’avais pas l’auto- risation de filmer à l’intérieur. J’ai pu m’y rendre lorsqu’elle était occupée, pendant la grève. J’ai alors suivi toutes les actions et les discussions. On était donc dans un rapport régulier et sur- tout d’égalité car je ne cache pas que je suis là avec ma caméra pour travailler. Je dis ce que je cherche à travers ce film et les contraintes que je rencontre pour le faire, comme par exemple les problèmes pour faire un cadre. Tout ça, je le partage car on est en train de construire une histoire ensemble. Les ouvriers engagés dans la lutte ne m’ont jamais empêché de filmer, même quand ils s’engueulaient. C’était des rapports très clairs où toutes les choses peuvent se dire et se discuter.
C’est un vrai film d’aventure, un film de guerre où chacun avance ses pions »
Y a-t-il des éléments de ce conflit que vous n’avez pas pu tourner ?
Françoise Davisse : Il y a trois forces en présence: les ouvriers, la direction et l’État. J’aurais aimé donner à voir les trois stratégies mais le gouvernement et la direction ne sont pas dans le même rapport à la vérité que les ouvriers. Ils ne peuvent pas montrer ce qu’ils font car il y a de leur part une bonne part de mensonge. J’avais rencontré Arnaud Montebourg afin de pouvoir montrer l’action que menait son cabinet entre la direc- tion de PSA et les ouvriers mais le cabinet n’a finalement pas voulu. Quant à la direction, tout aussi opaque, des cartons expliquent dans le film sa stratégie. C’est un vrai film d’aventure, un film de guerre où chacun avance ses pions.
Du côté des ouvriers, vous aviez affaire à de véritables acteurs...
Françoise Davisse : Je partais avec des gens qui avaient l’expérience de nombreux conflits sociaux. Il n’y a pas cette déception qu’il peut y avoir dans d’autres types de lutte. Ils savent que ce ne sont pas les «grands hommes» qui vont les sortir d’affaire. Ce qui m’a étonné, c’était leur joie et leur envie d’y aller, et pas uniquement de la part des syndicalistes. Même s’il s’agit d’une fermeture d’usine, quelque chose se passe qui fait que les gens se sentent plus costauds, se sentent en vie. Alors que chez les gars qui hésitaient à y aller ou qui n’y sont pas aller, il y a davantage un désespoir qui n’est pas lié à un manque de conviction mais d’énergie. Et cette énergie, je l’ai vraiment découverte lors de ce tournage.
« il y a 200 personnes et lorsqu’une personne parle, tous les autres l’écoutent »
À quel film ces deux ans de tournage ont-ils finalement donné lieu ?
Françoise Davisse : Ce film n’est pas l’histoire d’une lutte mais une façon de se plonger dans ce que l’intelligence ouvrière peut amener de plus beau. J’avais en- vie de faire un film avec du ressenti et de la découverte à partir de séquences où les gens se parlent. Quand j’ai commencé à assister aux réunions, ce qui m’a assez impressionnée et touchée, c’est la capacité des ouvriers à penser ensemble alors même qu’on considère généra- lement qu’ils appartiennent à un milieu qui ne les place pas en position d’experts.
Lors des comités de grève, il y a 200 personnes et lorsqu’une personne parle, tous les autres l’écoutent. Ils ont cette capacité à prendre la parole, à rester tête haute et, du coup, à en- tendre autrement les arguments des décideurs. Ils arrivent ensemble à construire une pensée alors que face à eux, il y a une sorte d’armée de guerre qui n’est pas intelligente mais qui pos- sède cependant des moyens de communication considérables.
La temporalité propre au film renverse complètement le regard que le traitement de l'actualité donne à ce conflit...
Françoise Davisse : Je voulais montrer les effets des actions de la direction, des politiques et des médias sur les ouvriers. Il y a comme un passage obligé dans toute lutte sociale : l’accusation de violence faite aux ouvriers de la part de la direction. Les médias montent au créneau là-dessus et ça déplace l’objet de la lutte car à partir du moment où il y a des sanctions, la lutte doit en obtenir la levée. C’est encore le cas aujourd’hui avec Air France. Tant qu’il y aura cet état de léthargie so- ciale, la mainmise de l’actualité sur le débat de fond va toujours fonctionner.
« les ouvriers de France qui se battent, ce sont eux tout simplement »
Le film est aussi l’occasion de donner une image peu souvent relayée de la classe ouvrière.
Françoise Davisse : Que ces ouvriers soient immigrés, qu’ils soient de deuxième ou de troisième génération, ce n’est jamais cette image-là qu’on donne ni de la Seine-Saint-Denis ni des immigrés. Quand on en parle, on est souvent dans une représenta- tion qui donne l’impression qu’on à faire à des gens extérieurs : les musulmans, les terroristes ou je ne sais qui encore. Alors qu’avec ce film, pour une fois, on voit de quoi et de qui on parle, c’est-à-dire la classe ouvrière dans la région parisienne. Celle-ci est composée de citoyens qui ont leur mot à dire, qui ont une intelligence et une capacité à collective à penser. Montrer cette image, ce n’était pas une volonté de dé- part du film. C’est un état de fait: les ouvriers de France qui se battent, ce sont eux tout simplement.
Et leur exemple rejaillit sur le spectateur...
Françoise Davisse : La question de fond est aujourd’hui «qu’est-ce qu’on peut faire?». Or nous sommes dans une ambiance générale où à peu près tout le monde se dit : «il n’y a rien à faire». Je voulais donc que le spectateur soit vraiment plongé au cœur du conflit, comme si lui-même était au milieu des ouvriers et qu’il ait à se déterminer lui aussi sur la stratégie de grève et sur la façon d’y prendre part, qu’il se dise: «qu’est-ce je ferais à leur place?». C’est pour ça que la caméra est très proche d’eux et qu’on passe du temps à les écouter discuter et à voir leurs réactions sur leur visage. On peut apprendre et réapprendre qu’on peut lutter ensemble. Ce n’est pas que ça banalise la lutte, ça la rend normale, possible et plaisante.
Plus d'infos et toutes les projections à venir sur la page Facebook du film et sur le site
www.commedeslions-lefilm.com
DES PAGES A CONSULTER
https://blogs.mediapart.fr/comme-des-lions/blog/240216/profits-records-psa-et-code-du-travail-comme-des-lions-pour-se-defendre
https://blogs.mediapart.fr/comme-des-lions/blog/270116/comme-des-lions-un-coup-de-boule-la-desillusion-0
On s'en balance on est des lions... ça ferait sans doute un beau slogan.
VINGT ANS - LÉO FERRE
Auteurs: Léo Ferre
Compositeurs: Léo Ferre
Editeurs: Les Nouvelles Editions Meridian,La Memoire Et La Mer
Pour tout bagage on a vingt ans
On a l'expérienc' des parents
On se fout du tiers comm' du quart
On prend l' bonheur toujours en r'tard
Quand on aim' c'est pour tout' la vie
Cett' vie qui dur' l'espac' d'un cri
D'un' permanent' ou d'un blue jean
Et pour le reste on imagine
Pour tout bagage on a sa gueul'
Quand elle est bath ça va tout seul
Quand elle est moche on s'habitue
On s' dit qu'on est pas mal foutu
On bat son destin comm' les brèmes
On touche à tout on dit je t'aime
Qu'on soit d' la Balanc' ou du Lion
On s'en balance on est des lions...
Pour tout bagage on a vingt ans
On a des réserv's de printemps
Qu'on jett'rait comm' des miett's de pain
A des oiseaux sur le chemin
Quand on aim' c'est jusqu'à la mort
On meurt souvent et puis l'on sort
On va griller un' cigarette
L'amour ça s' prend et puis ça s' jette
Pour tout bagage on a sa gueul'
Qui caus' des fois quand on est seul
C'est c' qu'on appell' la voix du d'dans
Ça fait parfois un d' ces boucans
Pas moyen de tourner le bouton
De cett' radio on est marron
On passe à l'examen d' minuit
Et quand on pleure on dit qu'on rit...
Pour tout bagage on a vingt ans
On a un' rose au bout des dents
Qui vit l'espace d'un soupir
Et qui vous pique avant d' mourir
Quand on aim' c'est pour tout ou rien
C'est jamais tout c'est jamais rien
Ce rien qui fait sonner la vie
Comme un réveil au coin du lit
Pour tout bagage on a sa gueule
Devant la glac' quand on est seul
Qu'on ait été chouette ou tordu
Avec les ans tout est foutu
Alors on maquill' le problème
On s' dit qu' y'a pas d'âg' pour qui s'aime
Et en cherchant son coeur d'enfant
On dit qu'on a toujours vingt ans...
Allez ici voir l'interprétation.
https://www.youtube.com/watch?v=SFLYnVLZOfM
COMPLEMENTS, PROGRAMMES, PHOTOS, BANDES ANNONCES,...
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http://cinelumiere-vierzon.info/
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CINE RENCONTRES.
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Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu.
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