samedi 2 juin 2018

EN GUERRE

42ème séance avec débat









EN GUERRE

Drame français de Stéphane Brizé (2018- 1h53).





JEUDI 1er  JUIN 2018  (CINE DEBAT)
20H30

Vincent Lindon de nouveau en guerre contre la précarité.
Licenciements bousiers, délocalisations, combats syndicaux,…



Volons tout de suite aux critiques, c’est parfois l’entrée la plus intéressante. 
On n’y apprend rien ? 
C’est certes le cas du spectateur informé, mais quand on sait l’impact des médias sur le grand public, l’argument se relativise très vite. D’autres ont fait remarquer que l’introduction de connaissances n’est pas une obligation pour un film. Bien des films d’amour nous émeuvent, avec des histoires vieilles comme l’humanité. Comme disait Pascal, nous jouons tous avec la même balle, mais tous n’en font pas le même usage. Je précise que la décision récente de Zidane, qui n’a pas attendu l’échec pour retirer ses billes, n’est pour rien dans le choix de cette référence. J’ajoute juste que dans le film le héros, lui, ne s’arrête pas et va jusqu’au bout, et je n’en dis pas plus pour ne pas « spoiler ». 
Des longueurs ? 
Certains l’ont dit. D’autres ont justifié, en disant qu’un conflit de ce genre a forcément ses longueurs, ses moments de doute voire ses impasses, et qu’il faut le faire ressentir. (Semblablement pas question de faire un film de cent ans, mais un film sur la Guerre de Cent Ans qui donnerait l’impression d’une intensité guerrière de chaque minute trahirait son sujet.) 
J’avoue pour ma part que les longueurs ne n’ont pas gêné, et c’est même le contraire, quand je me suis mis à rapprocher la mise en scène de Stéphane Brizé de celle de Peter Watkins traitant de la Commune de Paris. 

Rappel Watkins (conférence 2015 sur le cinéma et la Commune de Paris):



Là, on a cinq heures de longueurs, et c’est quand même un grand film référence. A la différence bien sûr qu’en 1871 les médias télévisés sont un anachronisme volontaire, alors qu’ils participent ici du paysage médiatique normal à notre époque. 
Là, les discours des médias, des institutions (des médias au service des institutions), des clubs, des insurgés, s’exposent et se font écho avec une précision et une exhaustivité qui se retrouvent de la même façon dans ce film-ci. Les révolutions sont bavardes, comme les mouvements sociaux. Et cette concentration de discours idéologiques dans une même action est une nouveauté dans le cinéma consacré au monde ouvrier, comme ce monde ouvrier est lui-même une nouveauté dans le cinéma depuis 68. 
Certes on a vu bien des conflits d’entreprises, et cela tout récemment, depuis les Conti (Xavier Mathieu est conseiller technique sur le film), jusqu’aux Fralib en passant par les ouvrières de la confection. Mais chaque documentaire sur une lutte précise ne peut montrer que ce qu’elle a et ce qu’elle met en oeuvre. 
Ici, les discours sont appelés à se confronter et à s’affronter, à s’enchaîner et à s’entrelacer, celui des ouvriers et celui des DRH, en ajoutant celui de la justice et celui des politiques. C’est in fine ce qui concourt résolument à donner l’impression que les dés sont pipés (une remarque entendue hier dans le film Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent), et qu’il faut pour trouver autre chose qu’une sombre résignation devant l’inéluctable remarquer avec Frédéric Lordon que ce qu’on présente comme un fait de nature auquel on ne pourrait rien, comme la météo, n’est en fait qu’une construction humaine, et que ce que les hommes ont créé, les hommes peuvent bien aussi le défaire. Yes, n’en déplaise à feu Madame Thatcher, there is an alternative. 
Pour cela, il faut que les citoyens forcent les politiques à jouer leur rôle. A savoir tenir la bride à la finance et aux institutions internationales de régulation des marchés, remettant l’humain au premier plan, au lieu de le sacrifier en le réduisant à une simple variable d’ajustement au profit d’intérêts purement comptables. 
Plus facile à dire qu’à faire, certes, mais pas non plus impossible si, comme savent le faire les dominants, les dominés opposent la force de leur union. En montrant les effets fatalement ravageurs de la division, le film montre ipso facto que la seule voie viable et fiable est celle de l’unité. 


Ce qui ne veut pas dire que j’accepte tout sans réserve. J’imagine bien que les représentants CGT que je connais pourraient se battre pour rencontrer le grand patron, mais je doute qu’ils en attendent tout et qu’ils n’envisagent pas que cela peut s’avérer sans effet. Vincent Lindon le dit pourtant à un moment : On veut un rendez-vous avec quelqu’un qui s’en fout. Mais ensuite, il se comporte comme s’il l’avait oublié. Mais la fiction exigeait sans doute ce suspens un peu facile par ailleurs. 

Le choix de l’Allemagne ? Certes, sa position depuis la réunification a pénalisé gravement ses voisins, et notamment la France, mais par un autre biais, celui de l’euro fort sur lequel on est contraint de s’aligner et dont la fonction première est d’assurer de grosses rémunérations aux retraités nombreux et puissants dans ce pays. 
Mais les fermetures d’usines en France ne sont pas une caractéristique allemande, ce pays ayant fait sa prospérité sur la main d’œuvre de leur « arrière-pays » souvent germanophone et aux salaires bas, celui des anciens pays de l’Est. 

La force satirique d’une œuvre d’art n’est pas forcément d’apprendre du neuf sur le réel, mais de créer une telle représentation du réel connu que ce dernier en devienne moins supportable au point de faire évoluer l’opinion, et ainsi, les décisions politiques. A des degrés divers, mentionnons ici Les Misérables de Hugo, ou des photos (sur le Vietnam, un enfant migrant échoué sur une plage, mai 68,…) ou encore des films comme Indigène. Parce qu’on apporte de l’empathie là où auparavant il n’y avait que de l’indifférence, les mentalités et les lois peuvent bouger. Je ne suis pas spécialement vulnérable devant les discours idéologiques véhiculés par les médias. Mais quand j’ai entendu ce matin à la radio que la grève des cheminots était absurde, sans objet, et qu’elle exaspérait d’abord « les Français », j’ai tout de suite pensé au film et à son positionnement. Ce discours n’est plus seulement perçu comme odieux, il est aussi devenu carrément ridicule. Et rien de tel que le rire pour discréditer l’adversaire. 





Notre adhérent Xavier recommande la critique suivante (à lire après avoir vu le film, car on le raconte largement, y compris la fin): 



Sur MEDIAPART

https://blogs.mediapart.fr/cecile-winter/blog/030618/en-guerre-film-de-brize-et-lindon-et-le-cercle-de-craie

"En guerre", film de Brize et Lindon, et le cercle de craie
3 juin 2018
Par Cécile WINTER
Blog : Le blog de Cécile WINTER

Cet excellent film, parce qu’il est précis, subtil, virtuose, exact dans le détail, traitant avec grand soin et minutie chacun des personnages, sans une seule touche de mièvrerie ou complaisance, sans rien d’allégorique, film parfaitement réaliste donc, touche par là au réel ; et ainsi donne à voir de façon claire et didactique ce qu’est l’impasse du moment actuel, et le point à franchir.



La lutte ouvrière se concentre sur la volonté de se trouver enfin face à face avec le patron – allemand- de la firme « Dimke » qui veut fermer son site industriel d’Agen, seule usine subsistant encore dans la région, laissant sur le carreau plus d’un millier d’ouvriers et ouvrières.

 Il est bien difficile d’en arriver à ce résultat, à l’obtention de ce face-à-face, cela a nécessité bien des mobilisations, trajets, actions, y compris le blocage – décisif- de l’autre usine française du groupe, avec le soutien des ouvriers qui s’y trouvent.  Quand cette victoire est enfin obtenue, le camp ouvrier s’est déjà divisé, division représentée par la division syndicale, les uns ayant choisi de négocier le montant de la prime de départ, prenant ainsi la position de « collaborateurs », face à l’aile marchante du mouvement qui tient sur l’objectif de préserver l’emploi,  garder son travail et donc son lieu de travail : cap tenu grâce à la conviction résolue du dirigeant du mouvement, le délégué CGT local ( magnifiquement joué par Vincent Lindon : les autres acteurs sont  des amateurs qui jouent tous magnifiquement « eux-mêmes »).  Cependant, les choses ont déjà progressé en termes de négociations in situ, puisque, même si la justice, conforme à son être d’injustice, a donné raison à la firme et à ses actionnaires (  bien que , en agissant ainsi, celle-ci  enfreigne explicitement l’accord signé par elle deux ans plus tôt) ,  et déclaré  « légitime » le projet de fermeture , il  s’est présenté un repreneur potentiel de l’usine, prêt à la racheter avec un projet qui a reçu l’aval des instances étatiques françaises : les experts de l’état ont en effet déclaré le projet « parfaitement viable ».

Les choses en sont donc là quand se retrouvent de part et d’autre de la table, d’un côté les délégués ouvriers, ainsi que l’avocate qui les soutient, de l’autre le patron de la firme allemande et son staff, avec en bout de table, en supposé rôle d’arbitre ou « meneur de jeu », le représentant du gouvernement français chargé des « questions sociales ».

Il apparait immédiatement que le patron de la firme n’a l’intention de rien céder et n’a jamais eu l’intention de rien céder. Il assume parfaitement le fait d’agir ainsi pour le compte de ses actionnaires, et n’est nullement gêné par les chiffres que lui assène le délégué cégétiste , qui indiquent les bénéfices très importants réalisés au site d’Agen dans les années précédentes, et l’augmentation considérable des revenus des actionnaires. Il ne conteste nullement ces chiffres. Pour les actionnaires, ce n’est pas assez, point barre, et le marché est le marché. Il revient ensuite à sa collaboratrice (une magnifique rousse, très à l’aise, très tranquillement hautaine, témoignant de combien les femmes sont maintenant à leur place dans les hautes sphères du capital, encore plus sûres de leur « bon droit » que leurs homologues masculins) d’exposer que, non seulement bien sûr la firme maintient sa décision de fermeture, mais en outre, ayant étudié le plan du repreneur potentiel, elle l’a jugé « irréaliste » et se refuse « par conséquent » à lui vendre l’usine. (même si la loi les contraint théoriquement à vendre à un acquéreur potentiel).

En ce point on s’attend évidemment à ce que la partie adverse – notre délégué- lui rétorque quelque chose comme : « ce que vaut ou pas le plan de reprise, ce ne sont pas vos oignons madame », voire même, « occupe-toi donc de tes oignons pétasse » Mais il ne le dit pas. Il n’en est pas très loin, il vient un peu au bord, puisqu’il fait remarquer – mais c’est seulement une objection -  que l’expert du gouvernement français a trouvé le plan de reprise « parfaitement viable ; et puis, et puis là il recule, il s’est heurté au mur. Il dit qu’il sait de quoi il retourne, il a compris que la firme allemande ne veut pas vendre pour ne pas voir s’installer un concurrent potentiel, ce qui est bien vu , mais que l’allemand ne va nullement nier ( et qui prouve pourtant que justement le plan de reprise est viable, puisqu’il leur fait peur : mais çà c’est moi qui le dis).

Le PDG allemand n’a nullement besoin de le nier, parce qu’en ce point précisément il est clair que l’affaire est pliée. Lui, il a pu prononcer très clairement : vous avez votre monde, j’ai le mien. Le mien, c’est le monde réel, c’est le seul existant, c’est le marché mondial. J’agis selon les règles de ce monde, point à la ligne. Face à cela, c’est-à-dire face à cette déclaration qui tout bonnement les nie, eux les ouvriers,  qui dit tout bonnement : nous ne sommes pas concernés par la question de votre existence, le porte-parole des ouvriers n’a pu que reculer, et c’est à ce moment-là qu’ il s’est défait intérieurement, dans cet acquiescement implicite qui a pris la forme d’un retour à la simple dénonciation : nous connaissons vos sales motivations.

S’il avait dit : « occupez-vous de vos oignons madame, l’appréciation de la validité du plan de reprise ne vous concerne nullement, et puisque monde et monde il y a, tenez-vous en à ce qui concerne votre basse-cour », il traçait là une ligne de démarcation, il assumait qu’il y a bien du deux, il disait : nous aussi déclarons qu’il y a vous et nous. Si dominant et même hégémonique que soit votre canton que vous agrandissez aux dimensions du monde entier, comme vous venez de nous le déclarer monsieur le PDG, nous vous disqualifions en tout cas en un point, en ce point. Ce faisant, il pouvait retrouver un espace.

Mais il n’a pas pu faire. Comme dirait Brecht, il n’a pas pu franchir le cercle de craie, qui était bien de craie, car aucun mur réel ne l’empêchait de prononcer cette phrase, seul le mur intérieur de l’acquiescement au monde du capital comme monde unique, seul l’absentement du dire : il y a deux voies, deux lignes, deux classes, pétition de principe. Nous validons qu’il y a vous et nous.

De cet acquiescement inconscient, le film déroule immédiatement les conséquences fatales. A la sortie de la réunion, les ouvriers, saisis par leur rage d’impuissance, tentent de s’en prendre à la personne du PDG qui s’engouffre dans sa mercedes, se vengent alors à coups de pieds sur la voiture qu’ils finissent par retourner. Evidemment tout est filmé et la propagande enfle sur les réseaux sociaux. Tout content de l’aubaine, le représentant du gouvernement en profite pour déclarer que, « devant ces inqualifiables violences, il va de soi que son gouvernement se retire et se lave les mains de toute l’affaire ». Treize licenciements sont prononcés, avec à la clef la menace de poursuite judiciaire. Et surtout Laurent, le délégué de la CGT, se retrouve en position d’accusé, les « collabos » le prennent à parti, en font le responsable de toute l’affaire, lui jettent à la face qu’il les a tous menés dans le mur, et lui, non seulement reste sur la défensive, mais il ne peut se défendre, parce que lui-même ne comprend pas. Il dit, l’affaire de la voiture était un dérapage, mais c’est un « dérapage » qu’il ne peut pas comprendre, et c’est normal, puisque c’est un symptôme : ce qui n’a pu être dit pendant la réunion : il y a bien guerre entre votre vision du monde et la nôtre, s’est exprimé de façon symptômale par la destruction symbolique d’une voiture noire.

Après quoi tout s’enchaine vers le geste fatal. Répudié et meurtri par ceux-là mêmes qu’il voulait défendre à tout prix, le délégué va s’immoler par le feu devant le siège central de la firme en Allemagne.

Nous validons cet unique agrandissement théâtral terminal. Partout dans le monde, le geste affreux de s’immoler par le feu est le symptôme atroce de l’impuissance devant qui vous nie, de l’incapacité à déclarer un autre camp, une autre voie, face à la criminalité capitaliste qui n’hésite pas, pour ce qui la concerne, à s’assumer comme antagonique à toute revendication au nom d’un droit d’existence du grand nombre.

Ceux qui, alors qu’ils le pourraient, alors qu’ils se prétendent opposés à l’ordre capitaliste, refusent de se déclarer partisans de la voie communiste et de s’en faire les militants actifs « en situation » sont responsables de cet état de choses.

 Car revenons au film. Que pouvait-il se passer d’autre ? Si on reprenait le film au moment décisif ? Imaginons le scénario plausible, si Laurent, franchissant le fatidique cercle de craie, avait réellement prononcé : « occupez-vous de vos oignons madame. Vous n’êtes nullement habilitée à évaluer le projet du repreneur de l’entreprise que vous avez choisi d’abandonner, et nous ne vous demandons pas votre expertise ».

Il pouvait alors se retourner immédiatement vers le représentant du gouvernement : « Monsieur, vos experts ont déclaré le projet du repreneur parfaitement viable. Puisque nous entendons ici que les représentants de la firme refusent tant de maintenir l’activité de l’usine que de la vendre à l’acheteur qui se présente, nous vous demandons solennellement de prononcer la réquisition de cette usine, afin de la confier immédiatement au repreneur que vous avez validé. Il ne s’agit nullement d’une expropriation, puisque nous maintenons l’offre d’achat, que c’est la firme qui la refuse, manifestant par là que son unique projet concernant l’outil de travail qu’est cette usine est sa destruction pure et simple ».

Evidemment, le représentant du gouvernement aurait été embarrassé, aurait trouvé immédiatement des objections de droit imparables, etc..  Mais la réunion s’achevait alors sur l’ouverture d’un nouvel espace pour le conflit. La délégation ouvrière pouvait s’en retourner avec ce compte-rendu, et la proposition de mobiliser les gens de la région sur cette demande, conforme à la justice et aux besoins évidents de toute la population du secteur.  On se battait maintenant non seulement pour conserver l’emploi, mais aussi pour préserver un outil de travail sur le sol du pays, outil que la firme, non seulement ne voulait pas conserver pour quelque autre usage, mais qu’elle désirait explicitement vouer à la destruction et rien d’autre. Il devenait même possible de laisser « les traîtres », s’ils le voulaient, négocier de leur côté avec la firme sur des primes de départ, si ç’est çà qui leur chante : il n’y avait plus là d’antagonisme, les lignes de front s’étant agrandies et complexifiées.  On se donnait nouvel espace, et nouveau temps.

C’est à quoi aujourd’hui en toute situation il convient de travailler. Déclarer l’autre voie, la faire vivre, en rassembler les militants possibles, en proposer cas par cas les mots d’ordre et les mettre à l’épreuve, bref : réinventer la politique, qui pose toujours qu’il y a une autre voie.



Le Canard enchaîné 30 mai 2018





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Berry républicain 2 décembre 2017



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