C'est le dernier film avec ce programme.
Le suivant est en préparation.
Nous avons déjà beaucoup de propositions...
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Question posée : Mais l’acteur, lui, où l’ai-je vu ?
On a le choix.
Sa biographie
Ses rôles 90 films 10 séries
Ses réalisations1 film 0 série
Ses productions 7 films 1 série
Alexander Rae Baldwin III, dit Alec, est le deuxième d'une famille de six enfants. Ses frères Daniel, William et Stephen Baldwin embrassent comme lui des carrières d'acteurs. Le jeune Alec étudie le droit et les sciences politiques à l'Université George Washington. Il suit ensuite des cours d'art dramatique à l'Université de New York et s'initie à la méthode de l'Actor's Studio sous la tutelle de Lee Strasberg. Il marque ses débuts d'acteur à la télévision en jouant des rôles récurrents dans les séries The Doctors (1980-1982) et Côte ouest (1984-1985). Parallèlement, il se produit régulièrement sur scène à Broadway (Serious money, La Mégère apprivoisée, etc.). Tout au long de sa carrière théâtrale, il obtient plusieurs récompenses : le Theatre World Award en 1986 pour Loot deJoe Orton et l'Obie Award en 1990 pour Le Baiser empoisonné.
Alec Baldwin fait ses premiers pas au cinéma avec Amos Kollek, qui le dirige dans Forever, Lulu (1987). Dès l'année suivante, il s'impose à l'écran comme un second rôle prolifique. On le remarque en mafioso, époux de Michelle Pfeiffer, dans Veuve mais pas trop (1988), en compagnon infidèle de Melanie Griffith dans Working girl (id.), en mari deGeena Davis dans Beetlejuice (id.), en producteur de radio dans Talk radio (id.) et en cousin prédicateur de Jerry Lee Lewis dans Great balls of fire ! (1989). En 1990, il accepte le rôle de l'analyste de la CIA Jack Ryan dans A la poursuite d'Octobre rouge et se retrouve pour la première fois en tête d'affiche d'une grosse production. Désormais sur la voie du succès, Baldwin rencontre en 1991, sur le tournage de La Chanteuse et le milliardaire, l'actrice Kim Basinger, qu'il épouse en 1993. Le couple est de nouveau réuni à l'écran dans Guet-apens (1993), remake du film de Sam Peckinpah, signé Roger Donaldson.
Héros de The Shadow (1994), l'adaptation cinématographique du célèbre comic book, et des polars Vengeance froide (1996) et Comme un voleur (1999), le comédien, sportif accompli, n'en demeure pas moins un habitué des rôles de méchant et des personnages profondément antipathiques. En témoignent ses prestations de chirurgien machiavélique dans Malice (1993), d'homme de main peu scrupuleux dans La Jurée (1996), d'amant gênant dans A couteaux tirés (1997) et d'impitoyable officier de la NSA dans Code Mercury (1998). Dans les années 2000, Alec Baldwin, déprimé par son divorce avec Kim Basinger et alourdi de quelques kilos, se fait plus rare sur les écrans, se limitant à jouer de petits rôles comme dans Séquences et conséquences (2001) de David Mamet, Pluto Nash (id.) aux côtés d'Eddie Murphy, et Pearl Harbor (id.), où il incarne un officier de l'aviation américaine. Il s'essaye à la réalisation mais sans grand succès avec Sexy devil (2004), puis retourne devant la caméra pour camper des patrons plus ou moins autoritaires : employeur vulgaire de Ben Stiller dans Polly et moi (id.), directeur de casino peu scrupuleux dans Lady chance (id.), entrepreneur de l'aviation civile dans Aviator (id.) de Martin Scorsese, etc.
Deux ans plus tard, l'acteur réussit à décrocher l'un des premiers rôles de la série comique américaine 30 Rock qui lui vaut plusieurs prix d'interprétation aux Golden Globes et aux Emmys. Il est ensuite rappelé pour faire partie de l'équipe de Scorsese dans Les Infiltrés (2006), puis joue sous la houlette de Robert De Niro dans Raisons d'Etat(2007). Baldwin retourne également à la comédie romantique, notamment à travers Pas si simple de Nancy Meyers, où il donne la réplique à Meryl Streep. A l'âge de 54 ans, l'acteur se prépare pour un nouveau mariage et semble bien parti pour donner un second souffle à sa carrière cinématographique : tout en continuant à porter la série 30 Rock, il joue en 2012 - année très chargée pour lui - dans To Rome with Love qui marque sa deuxième collaboration avecWoody Allen, puis dans le très rock 'n' roll Rock Forever d'Adam Shankman, pour enfin prêter sa voix au Père Noël du dessin animé DreamWorks Les Cinq légendes.
Vierzon en pointe.
On s’est souvenu de 1989, avec visite de Japonais et d’Italien.
Troisième centre de France : sur le podium, donc…
Un conseil toujours valable.
On est rentré dans bien des détails, profitant des
compétences disponibles pendant le débat. On a parlé histoire des traitements,
molécules, et on a retenu un conseil simple (au moins en apparence) :
penser au exercices physiques.
Parenté avec le film précédent.
Les souvenirs dont les films ou les photographies sont le support ambigu (consolation ou
surcroît de peine).
Envolée finale dans l’onirisme (ici, la chanson du
générique, là le plan avec la convergence chaleureuse des morts).
Des témoignages.
En écho aux paroles des personnes qui sont dans une démarche
thérapeutique ou d’aide psychologique ou les deux à la fois, des témoignages
vécus forcément très émouvants.
En voici un, par écrit, qui a d'ailleurs été lu à la fin de la projection.
Malheureusement, je ne pourrai pas aller au cinéma.
Ça m'aurait pourtant beaucoup intéressée car directement concernée, ma mère étant atteinte d'une forme de dégénérescence qui lui fait perdre totalement ses repères.
Si j'assistais au débat, la chose que je livrerais, que tu peux transmettre :
le plus difficile pour moi, c'est quand ma mère se rend compte de son état et nous demande de l'aide pour retrouver ses repères qu'elle a perdus.
par exemple, alors qu'elle venait d'être placée à l'EPHAD Ambroise Croizat, elle a dit qu'elle ne se souvenait plus de sa maison et a demandé d'y retourner pour "se souvenir". Mon frère et ma soeur l'ont emmenée un après-midi dans l'endroit où elle a vécu toute sa vie et malheureusement, ce fut pour constater qu'elle n'y avait pas de souvenirs.
sa mémoire est remontée plus loin dans le temps, dans la ferme où elle vivait avec sa parents alors qu'elle était enfant.
d'ailleurs, elle ne réalise pas que ses parents ne sont plus là, parle très souvent de sa mère et fait comme si c'était sa mère que s'occupe d'elle.
l'entourage est souvent démuni face à de telles demandes et de telles réactions et ne sait pas quoi faire: doit-on lui rappeler la réalité ou bien la laisser parler sans la reprendre. Pour ma part, j'adopte la deuxième solution, n'ayant pas envie de lui faire de la peine.
Bonne soirée,
cordialement.
Un témoignage représentatif, car, avec des variantes nécessairement personnelles, plusieurs sont allés dans le même sens.
Il a beaucoup été question de ces phénomènes de mémoire avec opposition de la mémoire récente, plus volatile, et la mémoire ancienne, mieux ancrée.
Pour la question finale, l'unanimité a été dans le sens d'une grande tolérance. Il est vain et contre-productif de vouloir à tout prix sortir le malade de son univers. La représentante de France Alzheimer a tout de suite confirmé: "Et si le malade est heureux dans son univers, surtout, laissez-le!"
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