mercredi 26 février 2025

LA FABRIQUE DU MENSONGE

                                                                     

  séance avec débat



  




LA FABRIQUE DU MENSONGE
(VO)

19 février 2025 en salle | 2h 04min | Biopic, Drame, Historique
De Joachim Lang 
| Par Joachim Lang
Avec Robert Stadlober, Fritz Karl, Franziska Weisz
Titre original Führer und Verführer



JEUDI 27 FEVRIER 2025

20h30









Bonjour à toutes et tous,
Au cinéma jeudi 27 FEVRIER à 20h30 le film "LA FABRIQUE DU MENSONGE" de Joachim Lang. 


Prochains Ciné Rencontres:



Un film très puissant qui malheureusement ne parle pas nécessairement que du passé mais aussi de notre présent.

Il sera rediffusé en VOST
le vendredi 28 février à 14h00
le dimanche 2 mars à 11h00
le lundi 3 mars à 20h45
le mardi 4 mars à 16h00



Edwige




Synopsis

Tout public avec avertissement
A l’aube de la Seconde Guerre mondiale, Joseph Goebbels est devenu l’éminence grise d'Hitler. Convaincu que la domination du Reich passe par des méthodes de manipulation radicalement nouvelles, le ministre de la Propagande contrôle les médias et électrise les foules. Au point de transformer les défaites en victoires et le mensonge en vérité. Avec le plein soutien du Führer, Goebbels va bâtir la plus sophistiquée des illusions, quitte à précipiter les peuples vers l'abîme.










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en vous rendant sur cette page:

https://cinegraphe.blogspot.com/2015/03/commentaire-mode-demploi.html#more

(Vous trouvez aussi un rappel simplifié en bas de chaque page)

      


Commençons par dire que le réalisateur ne cherche pas les effets de faux suspens, et il fait bien, tant les différents épisodes relatés ont été détaillés dans de nombreux films, pour beaucoup célèbres, sur la Seconde Guerre Mondiale. Ainsi on commence par la débâcle finale, avant que le flash-back suivant nous fasse remonter le temps depuis la montée du nazisme. Le point de vue assumé est de se focaliser sur le couple toxique du Führer et du Verführer (c’est le titre allemand : Führer und Verführer). Si le premier terme est bien connu, le second l’est beaucoup moins : il désigne le séducteur, dont le sens étymologique (latin seducere) évoque l’idée de conduire quelqu’un dans une mauvaise direction, de le tromper, de l’abuser, de le manipuler à sa guise. Au sens fort, c’est un malin génie, le plus élevé dans la conscience collective étant le Diable lui-même. Goebbels se rêve en Méphisto d’Hitler, et se vante de capter, à son profit et à sa guise, les âmes de ses contemporains, après un discours grandiloquent qui se voulait grandiose. 
Mégalomane, voulant à tout prix évincer ses rivaux pour être le second de son dieu, il finit vainement ravi - puisque tout près de la mort - d’être enfin devenu vizir à la place du vizir, chancelier à la place du chancelier. Très explicitement, du début à la fin, Joachim Lang multiplie les invitations à faire le rapprochement entre ces temps terribles et le nôtre, qui menace de le devenir aussi. On aurait pu rester sur l’impression qu’il s’agit ici d’un pur jeu verbal et de simples propos de salon excessifs, si ne venaient pas s’intercaler dans la trame du récit, historique mais fictionnalisé, des images bien réelles celles-là, qui nous rappellent que ces outrances ont conduit aux pires horreurs, que les mots et les idées font des massacres bien réels. Maints passages sont à retenir sur l’idée de propagande, comme quand, au milieu d’artistes où domine une cour féminine ostensiblement séduite, il affirme que la propagande est un art, et que Hitler est donc le plus grand des artistes. Comme il déclare ensuite que c’est lui qui construit de toutes pièces le mythe d’Hitler, on comprend que pour lui, dans ce domaine, le plus grand, c’est lui. 
Exemplaire aussi est l’anecdote d’un Napoléon au ciel réfléchissant à ce qui lui aurait été le plus utile pour sa gloire posthume. La réponse : avoir eu un Goebbels, car il aurait réussi à occulter le fait qu’il a été vaincu à Waterloo. Le rapport à la vérité est ainsi un élément essentiel et évolutif du film. Au début, poussé à la faute par ses concurrents directs, il s’inquiète des risques qu’il prend en devant justifier d’une présentation trop éloignée du réel, et affirme haut et fort que la propagande, pour être efficace, doit s’appuyer au maximum sur la vérité : les gens finiront par savoir, et nous perdrons alors toute crédibilité, et donc tout pouvoir. Mais engagé malgré lui sur le chemin d’une intense désinformation qui ne rencontre finalement que très peu d’obstacles, l’hubris finit par l’envahir, et il finira par se convaincre que la vérité ne sera rien d’autre que ce qu’il aura décidé qu’elle soit : la « vérité alternative » à la Goebbels, en quelque sorte. 
Toujours moderne aussi, la propagande par la déshumanisation (« les Polonais sont des animaux »), qui permet de faire passer auprès des foules conditionnées les plus odieux des massacres : de la Commune de Paris à Gaza, en passant par le Rwanda, les exemples abondent. La propagande n’est pas que dans les actualités, dans la presse écrite, ou encore dans les communiqués radiophoniques : le cinéma y a sa part, et, outre Leni Riefenstahl (Les Dieux du stade), Veit Harlan est largement sollicité, avec des extraits en contrepoint : Le Juif Süss et Kolberg. Puisque l’histoire de la propagande a été brièvement retracée, mentionnons ici des noms cités dans le débat, comme Edward Bernays (neveu de Freud), Aldous Huxley, Noam Chomsky ou Loïc Blondiaux. Sur la perversion du langage, on n’a pas oublié George Orwell, Karl Kraus, Stefan Zweig ni Victor Klemperer. La page du blog permettra d’accueillir d’autres références sur ce sujet historique qui vient heurter, bien trop fortement et bien trop directement, notre actualité. 
Jean-Marie

Joachim A. Lang


Deux projets de films qui devaient traiter du national-socialisme ont été rejetés. Selon une déclaration de Karl Geibel, membre du conseil de radiodiffusion de la SWR, dans un podcast de l'hebdomadaire Kontext, la raison de l'annulation était que « les problèmes du national-socialisme et du Troisième Reich ne sont plus d'actualité ».





La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie (Manufacturing Consent: The Political Economy of the Mass Media) est un essai coécrit par Edward S. Herman et Noam Chomsky sur l'industrie médiatique aux États-Unis. En français, le livre s'intitule Fabriquer un Consentement : la Gestion Politique des Médias de Masse dans sa deuxième traduction, et La Fabrique de l'Opinion publique : La Politique économique des médias américains dans la traduction de Guy Ducornet.
Dans La Fabrication du consentement, Noam Chomsky et Edward Herman avancent l'idée que les médias diffusent avant tout une propagande au bénéfice d'un groupe de dominants. Loin de constituer un « quatrième pouvoir » en démocratie, la principale fonction des médias est, selon eux, de traiter et de manipuler l'information afin de servir les intérêts des élites politiques et économiques. En outre, ces mêmes élites possèdent et contrôlent les médias, soit directement à travers les financements (possession du capital des entreprises de presse, mais aussi subventions d'État), soit indirectement à travers les sources d'information reconnues par eux-mêmes comme seules officielles et crédibles, constituant ainsi ce qu'on appelle le Parti médiatique. Selon Chomsky et Herman, ce modèle de propagande s'exerce à travers cinq filtres :
la dimension économique du média ;
le poids de la publicité ;
le poids des sources officielles ;
les pressions de diverses organisations ou individus sur les lignes éditoriales ;
le filtre idéologique de la société (par exemple l'anticommunisme, la guerre contre le terrorisme, etc.).
Herman et Chomsky dédient leur essai à Alex Carey, chercheur en psychologie sociale dont les travaux ont inspiré leurs propres recherches sur le modèle de propagande. Le titre est un emprunt direct à l'expression « fabrication du consentement », utilisée pour la première fois par Walter Lippmann en 1922 dans Opinion publique.




(un rappel)


Si les partis politiques sont considérés traditionnellement comme des « courtiers en opinion publique » (brokers of public opinion), cherchant à modeler les opinions et les attitudes autour d’une plate-forme ou d’un leader, la grande nouveauté vient de ce qu’ils commencent « à se vendre eux-mêmes et leurs politiques de la même façon que des hommes d’affaires vendent des biens, des denrées ou des services, par la propagande8 ». Les premières critiques de la mercenarisation de l’activité politique surgissent : « Les partis politiques, note un journaliste de Variety, sont en train de se réduire à une marchandise qui peut être échangée contre des votes selon un plan de marketing bien conçu, qui mettent dans leurs stocks les problèmes de revenu, de race et les problèmes locaux, exactement comme pourrait le faire un entrepreneur commercial9. » Cette évolution prête d’autant plus à la critique qu’elle s’appuie sur une exploitation systématique de la crédulité populaire, sur « un art de la fabrication de l’opinion publique », emprunté aux publicitaires, lequel tire son efficacité de ce que la plupart des électeurs ne prendraient pas le temps d’étudier les qualités d’un candidat ou de son programme mais le choisissent « parce qu’ils aiment son sourire radieux, ou la façon dont il monte à cheval ». L’intrusion de ces nouvelles technologies politiques produit le sentiment que toute dimension rationnelle est désormais absente de la campagne et renforce l’image d’électeurs fragiles, pris dans les toiles d’habiles « stratèges » et « manipulateurs » de l’opinion publique. L’évolution des techniques de campagne confirme et amplifie les prédictions de Wallas et de Lippmann10.

Blondiaux, Loïc. La Fabrique de l'opinion. Une histoire sociale des sondages (SCIENC.POLIT) (pp. 109-110). seuil. 






Nous voyons donc que la technique moderne a conduit à la concentration du pouvoir économique et politique ainsi qu’au développement d’une société contrôlée (avec férocité dans les États totalitaires, courtoisie et discrétion dans les démocraties) par les Grosses Affaires et les Gros Gouvernements.

Huxley, Aldous. Retour au meilleur des mondes (FEUX CROISES) (p. 27). Place des éditeurs.




Le Journal de Joseph Goebbels permet de suivre, quasiment quotidiennement, l’avancée des pourparlers secrets. Le 28 avril, le Gauleiter de Berlin note ainsi que « le Führer s’est rendu chez Schleicher. La discussion s’est bien passée ». Derechef le 8 mai 1932 : « Entretien décisif avec le général Schleicher, en présence de quelques messieurs de l’entourage proche du président du Reich. Tout va bien. Le Führer a su leur parler de manière convaincante ». Goebbels parle d’un « plan » concerté, qui procure « le sentiment heureux que personne ne se doute de rien, à commencer par Brüning lui-même » : « Le plan consiste à installer un cabinet présidentiel. Le Reichstag sera dissous, les lois qui nous visent abolies, nous serons donc libres de faire de l’agitation politique et de réaliser un chef-d’œuvre de propagande12 ». On est médusé par l’imprudence politique et l’inconséquence tactique de Schleicher et de la camarilla : dissoudre le Reichstag au moment où les nazis sont au plus haut ? Après les excellents résultats d’Hitler au second tour de la présidentielle, le NSDAP vient également de gagner les élections en Prusse, à Hambourg et dans le Land d’Oldenburg. Il faut être proprement dément, illuminé ou faire preuve d’un amateurisme improbable pour appeler les citoyens du Reich aux urnes dans ces conditions-là, sauf à accepter un raz-de-marée nazi,

Chapoutot, Johann. Les Irresponsables: Qui a porté Hitler au pouvoir ? (pp. 109-110). Editions Gallimard.





Non seulement la propagande est née dans des régimes démocratiques, mais elle y a longtemps été perçue de façon positive. Le mot « propagande » n’a pas de connotation péjorative dans les démocraties libérales, avant les années 1970, lorsqu’il disparaît progressivement des organigrammes politiques et syndicaux au profit d’appellations plus neutres, à commencer par « communication ». La fin de la guerre froide et la victoire apparente des démocraties libérales ont signé, en même temps que la fin des idéologies, la relégation dans l’opinion publique de la notion de propagande au rang de propriété spécifique aux régimes autoritaires.



L’histoire de la propagande est celle d’une science appliquée qui se nourrit à la fois des progrès du système technicien, qui dote les propagandistes d’outils de communication de masse, et de ceux des sciences humaines et cognitives, qui offrent les clés de la persuasion de chaque individu. Par conséquent, ce à quoi nous assistons aujourd’hui, à l’ère numérique, n’est pas le simple retour de la propagande, mais l’avènement d’une propagande d’un type nouveau, à la fois massive, individualisée et d’une efficacité redoutable.



On considère en effet a priori que la propagande a pour but de modifier les opinions du public cible, de le faire adhérer à une doctrine. Or cette idée est généralement fausse. D’abord parce que la propagande consiste plus souvent à conforter, renforcer et instrumentaliser une opinion préexistante – ou des préjugés – qu’à en faire changer et qu’il est même souvent contre-productif de chercher à convaincre quelqu’un qu’il a tort. Ensuite, parce que la propagande a souvent pour but moins de convaincre que de détourner l’attention du public de ce qui pourrait nuire à la cause défendue. Walter Hagemann, dans son livre consacré aux propagandistes du Troisième Reich, relève ainsi que le quart des quelque 25 000 directives de Joseph Goebbels adressées à la presse étaient des consignes de silence. Le silence se double souvent d’offensives de diversion : en 1935, par exemple, Goebbels répond à l’émotion suscitée dans la presse britannique par la persécution des juifs en lançant une campagne de presse pour dénoncer la « persécution » des catholiques irlandais par les Britanniques. L’un des ressorts fondamentaux de la propagande est du reste le recours à l’émotion, qui vise à contourner ou affaiblir le jugement.

Colon, David. Propagande: La manipulation de masse dans le monde contemporain.  Humensis. 


LTI: Lingua Tertii Imperii




Même après leur coup d'État raté, leur existence a rapidement sombré dans l'oubli. Il était impensable à l'époque, en Allemagne, d'imaginer qu'un homme aussi peu instruit qu'Hitler puisse arriver au pouvoir. Zweig explique ce succès grâce aux nombreuses promesses qu'il a faites à quasiment tous les partis, chacun pensait pouvoir l'utiliser. Puis, une fois au pouvoir, il a progressivement — et c'est là son génie selon Zweig —, mais sûrement fait sombrer l'Allemagne dans un régime de terreur. (Wikipédia)























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Rappel du tarif d'adhésion: 10 euros pour un an (de date à date) avec possibilité d'affilier 2 personnes si on le souhaite pour ce montant (chacune aura sa carte, ce qui revient à 5 euros l'adhésion avec cette option couple" au sens très large: amis, relations,...). 5 euros pour étudiant ou chômeur (possibilité également d'adhésion "couple", ce qui revient alors à 2,50 euros).
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Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.







Facile de nous trouver. Il suffit de taper "cinégraphe" sur Google par exemple...
(capture d'écran du 27 septembre 2017).










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(films Ciné Rencontres: les films avec débat + les films labellisés Ciné Rencontres)








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