37ème séance avec débat
(la dernière de la saison)
(la dernière de la saison)
CHURCHILL
Biopic (drame, guerre) britannique et américain de Jonathan Teplitzky avec Brian Cox, Miranda Richardson, John Slattery (2017, 1h46)
Le célèbre homme politique, le conflit entre alliés dans un contexte militaire crucial, le Débarquement,...
On n’est pas trompés sur la marchandise, et un texte de fin de générique nous rappelle ce qu’on savait déjà : on prend des libertés avec l’histoire factuelle, ce qui ne veut pas dire qu’on trahit gravement la personnalité et l’action de Churchill. Le réalisateur a rendu dramatique et cinématographiquement efficace des situations et des décisions qui furent sûrement dans la réalité le résultats de processus plus longs et plus intérieurs. Qu'importe: non seulement le spectateur friand de spectacle ne lui en voudra pas, mais il lui en saura gré.
Complémentairement au film, on en apprend déjà beaucoup sur Winston Churchill en zoomant sur les passages suivants de son article dans Wikipedia.
Le palais à double événement
Winston Leonard Spencer-Churchill naît au bout de sept mois et demi de grossesse dans la nuit du 29 au 30 novembre 1874, à 1 h 30. C'est donc un prématuré, mis au monde par sa mère dans les vestiaires du palais de Blenheim, celui-là même où il rencontrera plus tard sa future épouse, ce qui est à l'origine de cet aphorisme resté fameux: «C'est à Blenheim que j'ai pris les deux décisions les plus importantes de ma vie, celle de naître et celle de me marier. Je n'ai regretté aucune des deux!».
Littéraire et sportif, mais pas à Eton, l'école de son père
Winston doit se contenter de Harrow School, la grande rivale, moins cotée. Il y entre le 17 avril 1888 à l'âge de 13 ans et y reste jusqu'à ses 18 ans. Dans les semaines suivant son arrivée, il rejoint le Harrow Rifle Corps. Il obtient des notes élevées en anglais et en histoire et obtient un titre de champion d'escrime de l'école.
Voilà de quoi relativiser la boutade cléèbre du grand homme, rappelé par le Huffington Post du 24 janvier 2015 à l'occasion du 50e anniversaire de sa mort.
BIEN-ETRE - Une statue à son effigie trône aujourd'hui en plein milieu de Londres, à Parliament Square. Premier ministre du Royaume-Uni de 1940 à 1945, Winston Churchill est une icône. En 2002, il était nommé "le plus grand de tous" dans un sondage réalisé par la BBC sur un million de téléspectateurs. Ce 24 janvier, les Anglais célèbrent le 50ème anniversaire de sa mort.
Outre le politicien, c'est la sagacité du dandy et son mode de vie hédoniste qui marquent encore aujourd'hui les esprits. Scotch, cigares, "no sport"... Ses habitudes quotidiennes feraient hurler plus d'un spécialiste de la santé. Il se disait pourtant en pleine forme et n'est décédé qu'à 90 ans. Alors n'hésitez plus, (ne) suivez (pas) les conseils du grand homme.
Davantage ici sur ce paradoxe médical:
http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/24/winston-churchill-decede-50-ans-boire-fumer-sport-conseils-sante-bien-etre_n_6524662.html
C’est sa prière
La fin du passage qui suit rend encore plus surréaliste la scène de prière grandiloquente aux accents qui se voulaient sûrement shakespeariens, scène qui a été souvent relevée par les spectateurs présents à cette soirée :
Au début du mois d'octobre 1896, Churchill est transféré à Bombay, en Inde britannique. Considéré comme l'un des meilleurs joueurs de polo de son régiment, il mène son équipe à la victoire lors de nombreux tournois prestigieux.
Aux environs de Bangalore où il est affecté en 1896 avec les 4th Queen's Own Hussars, il dispose de temps libre qu'il met à profit pour lire. Il lit d'abord des livres d'histoire : Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain d'Edward Gibbon et l'Histoire de Thomas Babington Macaulay – des auteurs assez peu conservateurs; des philosophes grecs : Platon, notamment La République, ainsi que les écrits politiques d'Aristote. Parmi les auteurs français, il lit Les Provinciales de Blaise Pascal et les Mémoires de Saint-Simon. Il lit aussi La Richesse des Nations d'Adam Smith, Schopenhauer, Malthus et bien d'autres. Il en tire une très profonde culture historique qui le servira toute sa vie. Il est fortement impressionné par le darwinisme. Il devient alors, selon ses propres termes, « un matérialiste jusqu'au bout des doigts », et défend avec ferveur sa conception d'un monde où la vie humaine est une lutte pour l'existence, avec pour résultat la survie des plus forts. Cette vision a sans doute été influencée par le livre Martyrdom of Man de William Winwood Reade, un classique de l'athéisme victorien, présentant la vision d'un univers sans Dieu dans lequel l'humanité est destinée à progresser par le biais du conflit entre les races les plus avancées et les plus rétrogrades. Churchill exprime cette philosophie de vie et de l'histoire dans son premier et unique roman, Savrola. Toutefois, cet agnosticisme est peu affiché et il participe parfois à des services religieux. Il a également eu une action importante en faveur du christianisme anglican dans le Commonwealth, notamment à Bangalore où l'Église anglicane a joué un rôle de premier plan à ses côtés dans les cantonments.
Churchill began writing the novel on his voyage from Britain to India to take part in the Malakand campaign in August 1897. Churchill was on leave from his posting with the army in India when he had news of fighting in Malakand, and immediately arranged to return. The book was started before, and completed after, writing The Story of the Malakand Field Force about his experiences there. He wrote to his brother in May 1898 that the book had been completed. The working title for the book was Affairs of State. It was initially published as a serialisation in Macmillan's Magazine between May and December 1898, and was then published as a book in February 1900.
Avant de devenir une république stable, la Lauranie, contrée fictive baignée par la Méditerranée, a subi le joug du néfaste général Antonio Molara, parvenu au pouvoir vers 1883.
Ce récit est la chronique des ultimes moments de son règne. Des tensions politiques croissantes entraînent le pays dans une guerre civile destructrice entre partisans du régime et les révolutionnaires du parti populaire. À travers le personnage de Savrola, jeune militant fougueux engagé contre la dictature, Churchill fustige le goût démesuré du pouvoir, ennemi de la légitimité et de la liberté.
À l’heure de la victoire, Savrola sera trahi par le peuple, avant que celui-ci ne fasse de nouveau appel à cet homme providentiel. De retour dans sa patrie apaisée, tel Ulysse à Ithaque, mais sans vengeance au coeur, le noble Savrola pourra méditer la pensée de Gibbons, que « l’histoire n’est autre chose que le registre des crimes, des folies et des infortunes de l’espèce humaine »…
Fable politique sur la vanité du pouvoir, animée par un idéal de paix et de prospérité, mais aussi d’agnosticisme, Savrola, que Churchill écrivit en 1897, à 23 ans, dans le Makaland pakistanais, est une curiosité, introuvable en français depuis sa parution en 1948. C’est aussi un roman à clé, où plusieurs proches du jeune Churchill seraient représentés.
Ce récit est la chronique des ultimes moments de son règne. Des tensions politiques croissantes entraînent le pays dans une guerre civile destructrice entre partisans du régime et les révolutionnaires du parti populaire. À travers le personnage de Savrola, jeune militant fougueux engagé contre la dictature, Churchill fustige le goût démesuré du pouvoir, ennemi de la légitimité et de la liberté.
À l’heure de la victoire, Savrola sera trahi par le peuple, avant que celui-ci ne fasse de nouveau appel à cet homme providentiel. De retour dans sa patrie apaisée, tel Ulysse à Ithaque, mais sans vengeance au coeur, le noble Savrola pourra méditer la pensée de Gibbons, que « l’histoire n’est autre chose que le registre des crimes, des folies et des infortunes de l’espèce humaine »…
Fable politique sur la vanité du pouvoir, animée par un idéal de paix et de prospérité, mais aussi d’agnosticisme, Savrola, que Churchill écrivit en 1897, à 23 ans, dans le Makaland pakistanais, est une curiosité, introuvable en français depuis sa parution en 1948. C’est aussi un roman à clé, où plusieurs proches du jeune Churchill seraient représentés.
L'épouse, le bon sens près de vous
Churchill rencontre sa future épouse, Clementine Hozier, en 1904, lors d'un bal chez le comte de Crewe et sa femme Margaret Primrosed. En 1908, ils sont de nouveau réunis lors d'un dîner offert par Lady St. Heliere. Churchill et Clementine sont placés côte à côte et entament bientôt une histoire d'amour qui durera toute leur vie. Il lui demande sa main au cours d'une «house party» au palais de Blenheim le 10 août 1908 dans le « temple de Diane », la maison d'été du palais. Ils sont mariés le 12 septembre 1908 en l'église St. Margaret à Westminster, comble pour l'occasion, par l'évêque de St. Asaph. En mars 1909, le couple emménage dans une maison au 33 Eccleston Square, dans le quartier de Pimlico. Clementine Churchill est libérale au sens anglo-saxon du terme. Elle est un peu jalouse de Violet Bonham Carter – fille du Premier ministre Herbert Henry Asquith et grand-mère de l'actrice Helena Bonham Carter – qui est, après elle, l'autre grande amie de Churchill. Elle reste néanmoins plus pondérée que son mari et pour François Bédarida « a un bien meilleur jugement que lui aussi bien sur les hommes que sur les situations».
Enraciné en France
Par ses ascendants, Winston Churchill a des liens privilégiés avec la France, ce qui explique qu'à l'instar de sa mère il soit francophile et parle très tôt français mais, comme il le reconnaissait lui-même, avec une très mauvaise prononciation. La grand-mère maternelle de Winston Churchill est une Américaine francophile et francophone, aimant les mondanités et ayant vécu à Paris de 1867 à 1873 où elle a connu les fastes de la cour impériale de l'impératrice Eugénie : elle y était familière au point de recevoir le surnom de « Jeannette ». On compte dans la généalogie de Winston Churchill des ascendants français à la fois du côté de son père et de sa mère : son grand-père maternel est issu d'une famille huguenote française immigrée aux États-Unis ; du côté paternel, l'un des ancêtres des Churchill est le fils d'Othon de Leon, châtelain de Gisors, qui a servi Guillaume le Conquérant et s'est établi en Angleterre après la bataille d'Hastings à laquelle il a participé.
De Gaulle : des hauts, des bas, des débats
Churchill s'oppose au maréchal Pétain et au général Weygand sur l'idée d'armistice dès les 11-12 juin 1940 lors d'une rencontre à Briare, puis à nouveau le 13 juin à Tours. Le projet d'Union franco-britannique élaboré par Jean Monnet et Churchill en 1940 qui vise à fusionner les deux pays et leurs territoires est abandonné le 16 juin 1940, à la suite de la démission de Paul Reynaud et de la nomination du maréchal Pétain comme président du Conseil. Deux jours plus tard, il autorise le général de Gaulle à lancer l'appel du 18 Juin. Le 22 juin la France signe l'armistice et le régime de Vichy devient l'adversaire du Royaume-Uni, lequel soutient la France libre. Le 2 juillet 1940 est lancée l'opération Catapult, visant à rallier la flotte française ou à la neutraliser.
Les relations entre deux hommes de fort caractère, ayant des idées sur l'Histoire, l'Europe et la guerre assez proches, connaissent des hauts et des bas, liés à des divergences d'intérêts. La presse française s'est fait l'écho dans les années 2000 d'un projet de Churchill, auquel s'est rallié Roosevelt, qui pense que « de Gaulle est peut-être un honnête homme, mais il a des tendances messianiques, il croit avoir le peuple de France derrière lui, ce dont je doute». Ils visent à se débarrasser politiquement du général, en lui offrant le poste de gouverneur de Madagascar, et à mettre à sa place le général Henri Giraud, qu'ils jugent plus malléable. Le projet est abandonné lorsque Clement Attlee et Anthony Eden, ayant eu vent de la nouvelle, s'opposent à toute action contre de Gaulle, argumentant qu'ils ne peuvent se permettre de perdre l'appui des Forces françaises libres.
Si de Gaulle veut à tout prix que la France apparaisse comme victorieuse à la fin de la guerre, aux côtés des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'URSS, ses alliés n'ont pas le même point de vue et l'écartent délibérément de la conférence de Yalta. Cela tend leurs relations, d'autant plus que Churchill et Roosevelt craignent que de Gaulle décide finalement de s'allier aux Soviétiques. Néanmoins Churchill, qui comprend que le soutien d'une autre puissance coloniale européenne est un atout majeur au sein du futur Conseil de sécurité des Nations unies, fait le nécessaire pour que la France en devienne le cinquième membre permanent. Plus tard, après la guerre, de Gaulle parlera du Premier ministre britannique comme du « Grand Churchill».
Les discours d’un roi de l’éloquence
Churchill se décrit comme affligé d'un « défaut d'élocution ». Après avoir travaillé de longues années à le surmonter, il a finalement déclaré : « mon défaut n'est pas une entrave ». On présente souvent aux stagiaires orthophonistes des cassettes vidéo montrant les manies de Churchill pendant ses discours, et la Stuttering Foundation of America présente sa photo sur sa page d'accueil comme l'un de ses modèles de bègues ayant réussi. Si des écrits contemporains des années 1920, 1930 et 1940 confirment ce diagnostic de bégaiement, le Churchill Centre, cependant, réfute catégoriquement l'allégation selon laquelle Churchill ait été affecté de ce défaut : il aurait eu un bredouillement, voire un zézaiement et une certaine difficulté à prononcer la lettre « S », tout comme son père.
À l'origine, Churchill n'est pas un orateur et a même des difficultés d'élocution. Ses discours ne sont pas improvisés, un discours de quarante minutes lui demande entre six et huit heures de préparation. Pour F.E. Smith, « Winston Churchill a passé les plus belles années de sa vie à écrire des discours improvisés». De même, pour d'autres, ses bons mots sont parfois travaillés, parfois spontanés – mais dans ces cas-là l'auditoire les sent souvent venir car alors «son propre rire prenait naissance quelque part du côté de ses pieds». De Clement Attlee, son adversaire travailliste qui ne déteste pas ses piques, il dit un jour qu'il est un « mouton déguisé en mouton».
Si Churchill devient un grand orateur, malgré tout, il reste meilleur dans le monologue que dans l'échange. Lord Balfour remarque un jour : « l'artillerie du Très Honorable Gentleman est forte et puissante, mais elle ne me semble guère mobile». En général, ses discours commencent sur un tempo lent et dubitatif avant de donner « libre cours, à l'essence de sa prose : un rythme hardi, pesant, houleux, retentissant, coulant, interrompu par des cadences lancinantes et éclatantes».
Churchill n'aime ni l'euphémisme, ni le langage technocratique. Par exemple, il s'oppose à ce qu'on remplace « pauvres » par « économiquement faibles », ou « foyer » par « unité d'habitation ». Pour lui, les mots, comme il le dit un jour à Violet Bonham-Carter, la fille d'Herbert Henry Asquith, ont une magie et une musique propres. Chez lui, la sonorité du mot est un élément important dans le choix des termes employés. Il aime les mots courts qui frappent dur et aligne souvent les adjectifs par quatre avec des préférences pour « unflinching (inébranlable), auster (austère), somber (sombre), et squalid (sordide) ».
Sa rhétorique est parfois contestée. Pour Robert Menzies, Premier ministre d'Australie, durant une partie de la Seconde Guerre mondiale : « sa pensée dominante est la possibilité, si attrayante à ses yeux, que les faits gênants disparaissent d'eux-mêmes ». Un autre, allié également, écrit : « Il est […] l'esclave des mots que son esprit invente à partir des idées […] et il peut se convaincre lui-même de la vérité dans presque tous les cas, si à travers son mécanisme de rhétorique, il peut continuer ce parcours effréné».
Colin Firth: Albert dit « Bertie », duc d'York et futur George VI
Helena Bonham Carter) : Elizabeth Bowes-Lyon, duchesse d'York (sa femme)
Freya Wilson : la princesse Elizabeth, future reine Elizabeth II (leur fille)
Timothy Spall: Winston Churchill
Dans les années 1930, au Royaume-Uni, le prince Albert, deuxième fils du roi George V, vit un grave problème de bégaiement. L'abdication de son frère aîné Édouard VIII l'oblige à monter sur le trône sous le nom de George VI. Or, le roi doit s'exprimer en public. Sur l'insistance de sa femme, il rencontre Lionel Logue, orthophoniste australien aux méthodes peu orthodoxes. Malgré les réticences du prince, la méthode de Logue fonctionne. Albert doit surmonter ses difficultés de langage pour prononcer, en septembre 1939, le discours radiophonique1 d'entrée du Royaume-Uni dans la guerre contre l'Allemagne lors de la Seconde Guerre mondiale.
Dès la déclaration de guerre à l'Allemagne nazie en septembre 1939, George VI convoque Logue à Buckingham Palace pour préparer l’allocution radiophonique qu’il doit adresser à des millions d'auditeurs en Grande-Bretagne et dans l'Empire. Conscient du défi qui l’attend, Winston Churchill et le Premier ministre Neville Chamberlain lui offrent leur soutien. Le roi et Logue sont ensuite laissés dans le studio. Le roi prononce son discours avec une certaine maitrise sous la direction de Logue. À la fin de son discours, George VI parle sans difficulté avec peu de conseils de Logue voire aucun. Ensuite, le roi et sa famille s’avancent sur le balcon du palais, et reçoivent les applaudissements des milliers de personnes qui s’étaient rassemblées.
Un prix Nobel de littérature
Churchill a écrit seul son premier livre mais, à partir du Monde en crise, il dicte les suivants à des secrétaires et, pour la documentation, il emploie des assistants de recherche issus de l'université d'Oxford. Edward Marsh, son chef de cabinet, relit les manuscrits en corrigeant l'orthographe et la ponctuation. En règle générale, Churchill travaille le matin dans son lit où il mûrit un texte qu'il dicte tard le soir. Il est à ce jour l'unique ancien Premier ministre à recevoir, en 1953, le prix Nobel de littérature « pour sa maîtrise de la description historique et biographique ainsi que pour ses discours brillants pour la défense des valeurs humaines». Lors de l'attribution de son prix, Winston est à la fois déçu – il vise le prix Nobel de la paix – et surpris, s'exclamant : « Tiens je ne savais pas que j'écrivais si bien! »
Parmi ses œuvres les plus célèbres qui ont contribué à sa renommée internationales, on peut citer :
Les six volumes de souvenirs, The Second World War, 1948-1954.
Les quatre volumes d'histoire, A History of the English-Speaking Peoples, 1956-1958, qui couvrent la période s'étendant de l'invasion de la Grande-Bretagne par César (55 av. J.-C.) au début de la Première Guerre mondiale (1914).
Dans les toutes dernières années de sa vie, il regrette de ne pas avoir écrit les biographies de Jules César et de Napoléon Bonaparte.
Merci
à Michel Ch qui a attiré notre attention sur ce point méconnu et pourtant
potentiellement très lourd de conséquences de la vie de W. Churchill. Pour les
personnes intéressées, les liens ci-dessous devraient satisfaire leur légitime
curiosité.
L'opération
Unthinkable (Impensable en français) est un projet britannique qui visait à attaquer
l'Union soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La création du plan
a été ordonnée par Winston Churchill et mise au point par l'armée britannique.
Toutefois,
elle ne fut jamais mise en œuvre du fait de la taille énorme des forces soviétiques
déployées en Europe à l'époque. Ces plans furent rendus publics en 1998.
Berry républicain, 11 mai 2017 |
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Ne vous souciez pas de la date de renouvellement: nous vous contacterons le moment venu.
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