mercredi 14 octobre 2020

UN PAYS QUI SE TIENT SAGE

        6ème séance avec débat






  




UN PAYS QUI SE TIENT SAGE


30 septembre 2020 / 1h 26min / Documentaire
De David Dufresne
Nationalité Français







VENDREDI 16 OCTOBRE 2020
20h30





[Pas de débat Ciné Rencontres vendredi 23 octobre]
Le vendredi 30 octobre, le film prévu est "Rocks". 






Alors que s'accroissent la colère et le mécontentement devant les injustices sociales, de nombreuses manifestations citoyennes sont l'objet d'une répression de plus en plus violente. « Un pays qui se tient sage » invite des citoyens à approfondir, interroger et confronter leurs points de vue sur l'ordre social et la légitimité de l'usage de la violence par l'Etat.






Berry républicain 14 octobre 2020




Le film (quand notre programme est connu) 
est également présenté sur RADIO TINTOUIN 
avec notre adhérent Jean-Luc aux commandes. 



Horaires des annonces Ciné Rencontres le vendredi:

9h15  12h15  14h15  16h15  17h25













Bonjour,
Un prolongement de notre ciné-débat de vendredi dernier avec le film "un pays qui se tient sage".

Le lien avec l'émission de samedi dernier :  "l'humeur vagabonde" sur France inter.
L’écrivaine Sophie Divry publie un récit bref et violent, « Cinq mains coupées », lisez-le et osez pensez` sur 

cordialement
Edwige







A partir d'entretiens réalisés entre septembre 2019 et février 2020 avec les cinq manifestants qui ont perdu leur main droite après avoir été atteints par des grenades lors du mouvement des gilets jaunes, l'auteure a composé, en s'en tenant à leur seuls propos, un chœur qui raconte leur histoire


Portrait de l'écrivaine Sophie Divry au Salon du livre de Francfort (Allemagne) le 12 octobre 2017. © AFP / FRANK MAY / PICTURE ALLIANCE / DPA PICTURE-ALLIANCE


Souvenez-vous. C’était avant que la crise sanitaire rende floue notre mémoire et nous éloigne du monde d’avant, comme si un siècle nous en séparait. En ce temps-là nous assistions, sidérés, à des scènes de guerre civile dans nos rues. 

Des forces de police, harnachées comme des robocops, affrontaient, avec une violence inouïe, des hommes, des femmes, de tous âges, qui réclamaient le simple droit de vivre décemment de leur travail. 

Alors, certes, nous avions vu des violences de leur côté. Des dégradations de commerces. Des groupes, vêtus de noir, prôner, barres de fer en main, la révolution. Mais, pourtant, quelque chose ne collait pas : ce que racontaient de leur vie et ce que réclamaient ces « derniers de cordée » ne méritait-il pas mieux que la seule répression féroce que leur accordait le gouvernement ?

Souvenez-vous. De ce sang, de ces yeux crevés, d’une femme à sa fenêtre tuée, de ces gens désarmés matraqués avec une sorte de jouissance morbide, de ces mains arrachées, et du discours politique niant tout excès, toute violence policière injustifiée. 

Après Mai 68, où 7 morts furent décomptés, le pouvoir avait tiré fierté des instructions adressées le 29 mai aux policiers par le préfet de police Grimaud leur demandant d’éviter « _les excès dans l’emploi de la forc_e » et rappelant que 

frapper un manifestant à terre c’est se frapper soi-même ». 
Cinquante années plus tard, sous le regard éberlué de l’Europe, ceux qui nous gouvernent semblent avoir déclaré la guerre à leur peuple. 

Ce que cette année de violence inédite a fait à notre collectivité, ce qu’elle dit de ce pays et de notre relation au politique n’a pas pu être discuté, pour cause de virus. 

La littérature, souvent, est ce qui permet de remettre en route la réflexion. 

L’écrivaine Sophie Divry publie au Seuil un récit bref et violent, « Cinq mains coupées », lisez-le et osez penser.

La programmation musicale:

THE INSPECTOR CLOUZEAU The Run

L'équipe
Kathleen EvinProductrice
Jérôme BouletRéalisateur
Claire TeisseireAttachée de Production
DjubakaProgrammateur musical





Cinq mains coupées
Sophie Divry

« Je m’appelle Gabriel, j’ai 22 ans. Je m’appelle Sébastien, j’ai 30 ans. Je m’appelle Antoine, j’ai 27 ans. Je m’appelle Frédéric, j’ai 36 ans. Je m’appelle Ayhan, j’ai 53 ans. C’était le samedi 24 novembre. C’était le 1er décembre. C’était le 8 décembre. C’était à Bordeaux. C’était à Tours. C’était place Pey-Berland. C’était place Jean-Jaurès. C’était sur le boulevard Roosevelt dans le XVIe arrondissement. Ça s’est passé le 9 février devant l’Assemblée nationale, à Paris. »

Dans ce livre, pas une phrase n’est de Sophie Divry. Toutes sont issues d’entretiens réalisés entre septembre 2019 et février 2020 avec les cinq manifestants mutilés de la main lors du mouvement des Gilets jaunes. Ils étaient tous droitiers, ils ont tous perdu la main droite. Il travaillait à l’usine, il amarrait des bateaux, ils étaient plombier, étudiant ou apprenti chaudronnier. Un samedi de manifestation, leur main a été arrachée par une grenade bourrée de TNT, et leur vie n’a plus jamais été la même.

Chacun a raconté son histoire à l’autrice, qui en a fait un choeur.
Parce que c’est une seule et même histoire, celle de manifestants démembrés alors qu’ils formaient un même corps.

Sophie Divry, née en 1979, est une écrivaine française. Elle est diplômée de l’École supérieure de journalisme de Lille et de l’IEP-Lyon. Elle a publié six ouvrages, des fictions et des essais, dont La Condition pavillonnaire en 2014 (mention spéciale du prix Wepler-Fondation La Poste) et Trois fois la fin du monde en 2018 (prix de la Page 111).

Littérature française
Romans
Cadre rouge
Date de parution 01/10/2020
14.00 € TTC
128 pages

Extraits:

Non, c’était vraiment un endroit où il ne se passait rien du tout. Les flics, on les voyait au loin, mais c’était pas du tout la manifestation à cet endroit-là, il y avait des papis et des mamies, il y avait même des enfants… Je ne me sentais pas particulièrement en danger.
Soudain la tension monte. Je vois des mecs en fauteuil roulant se faire gazer. Je vois un type qui se prend un coup de matraque en s’approchant de trop près des barrières. Ensuite, ça a été les flashballs. Je vois un canon dépasser du cordon de police. Un policier tire au LBD sur les manifestants. Un collègue à moi est touché sur le torse par un rebond. Il y a de la colère, il y a de l’incompréhension. Je suis avec deux petites dames de 50 ans, elles ne comprennent pas, elles paniquent un peu. Pourtant, tout le temps où je suis sur la place, je vois des gens en famille, j’ai vu des pères, des mères, avec des adolescents, des jeunes filles. Je leur dis de rester au milieu de la foule, de se mettre derrière un poteau pour éviter les flashballs.
...

Je n’entends rien. Je sens un énorme choc. Par réflexe, je tourne la tête et je ferme les yeux. Quand je reprends mes esprits, je sens quelque chose de bizarre sur moi. Je me dis bien que quelque chose a été éjecté de la grenade, mais à cet instant précis je ne sens rien. Je ne perds pas connaissance. Ma première réaction, c’est de partir en courant en tenant mon bras, pour me mettre à l’abri. Je cours vers les Gilets jaunes. Je me rappelle sentir alors comme des fourmis dans les mains. C’est la réaction des autres qui m’a alerté, on le voit sur la vidéo qui a circulé sur Internet après : autour de moi les gens s’écartent avec des yeux écarquillés d’horreur.
...
J’ai posé les yeux sur ma main et il n’y avait plus rien. Je me suis dit d’abord : « Je n’ai plus de gant. » J’ai fait une fixation sur le gant, il se passe quelques secondes avant que je me dise qu’en fait non, ce n’est pas le gant, c’est la main qui a disparu. Pulvérisée. Plus de main. À la place, il y a une espèce d’amas de chair dégoulinant de sang. Je voyais l’os au milieu, et des lambeaux de chair de chaque côté, comme une banane. Ma main a explosé. Elle est complètement déchiquetée. C’est une horreur. Alors je crie. Non par douleur mais parce que je suis horrifié par ce que je vois. Je dis à mon collègue : « Putain, j’ai plus de main, j’ai plus de main… » J’ai dû répéter ça plusieurs fois. J’étais perdu. J’ai une douleur intense tout de suite. À chaque battement de cœur, j’avais l’impression que ma main qui n’existait plus prenait du volume. Je me rappelle de tout. Je courais en tenant ma main. C’est un Gilet jaune qui m’attrape par les épaules et qui me dit : « Assois-toi, t’as la main arrachée, tu vas pas aller loin. » C’est ma mère qui m’a assis contre une vitrine, en plein milieu d’une rue. Tout de suite, un Gilet jaune me prend et m’allonge sur le trottoir. Deux ou trois personnes se sont groupées autour de moi. Ils m’ont enveloppé le moignon avec le drapeau français que j’avais dans l’autre main. Mon frère m’a maintenu la main et puis on a couru, il m’a dit après qu’il sentait mes doigts qui lui coulaient entre ses doigts, dans le mauvais sens. Cinq ou six personnes m’ont soutenu et m’ont déposé dans une petite rue derrière. J’ai tout vu. Je n’ai pas perdu conscience. Je me suis mis au sol, je suis peut-être tombé. Les gens ont fait comme une carapace contre les lacrymos, une haie pour me protéger. Parce que les gaz ont continué, les grenades, les flashballs, les lacrymogènes, c’était non-stop. Leurs corps ont servi de boucliers.
...

J’avais aussi des impacts sur les yeux, sur le visage. J’avais des trous dans mon jogging, sur la jambe. J’ai de la chance que ça ne me soit pas tombé sur la gorge, ou dans la capuche comme pour Rémi Fraisse, sinon j’étais mort, j’étais mort. Faut voir les dégâts que peuvent faire ces engins. La même grenade a aussi blessé mon frère et mon cousin, aux pieds, aux cuisses, au dos, et ma sœur et ma mère aux tympans.
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C’était vraiment le choc. Dans le camion, un mec a photographié ma main et l’a mise sur Twitter ou sur Instagram. C’était pas très poli mais ça m’a servi ensuite. Les os étaient encore attachés ensemble, mais toutes les chairs pendaient lamentablement autour – une horreur. Y avait rien à sauver.
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Je ne savais pas comment expliquer à mes enfants que c’était la police qui m’avait fait ça, parce que pour eux la police, c’est les gentils, c’est pas les méchants, et là, c’était pas le cas du tout.
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J’apprends l’existence des grenades GLI-F4, j’apprends qu’elles sont chargées de TNT, que la GLI-F4 elle est grise avec un capuchon rouge, et la lacrymo est grise avec un bandeau rouge… Autant dire que pour les distinguer, c’était pas évident.
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Deux ou trois jours après l’amputation, des mecs de l’IGPN rentrent dans ma chambre. Ils m’apprennent que la police a déposé plainte contre moi !
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C’était l’enfer à Pompidou. Il y a des milliers de chambres. C’est comme dans n’importe quel métier où on te presse, on te presse, les nanas courent sans arrêt. Ce qu’on a vécu à Pompidou, c’est révélateur justement de ce pour quoi on s’était mobilisés : la carence du service public.
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Quand l’infirmier est venu, il a dit que ça avait été mal suivi à Pompidou, et que ce n’était pas normal que je sois ressorti dans cet état.
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On est vraiment bien encadrés. C’est là que l’on se rend compte de l’importance de la protection sociale et d’autres organismes qui fonctionnent très bien en France, et qu’il ne faut pas laisser qui que ce soit les casser, ou les dépouiller.
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hâte. La main bionique est arrivée, mais pas de bol, une pièce déconnait, on l’a renvoyée en Écosse. Il y en a pour 40 000 euros de prothèses remboursés. Ça coûtait 23 000 euros, je crois. Je n’ai pas reçu de facture. Tout a été pris en charge par la Sécu.
...

Mandela, ce grand homme, qui dit « Je ne perds jamais : soit je gagne, soit j’apprends ».
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Pour l’enquête de l’IGPN, j’ai été reçu par la plus haut gradée, une cador, quelqu’un de pas simple. Mon avocat n’avait pas pu venir. Mon frère m’accompagnait, il a essayé de placer un mot. Tout de suite la lieutenant a dit : « Prochain mot que vous dites, vous dégagez. » On était choqués.
...

D’après le rapport de l’IGPN, ils ont reconnu que c’était de l’autre côté du boulevard que ça se passait, qu’ils avaient lancé la grenade du mauvais côté et sans sommations.
...
Et puis voilà, alors que l’IGPN avait fait une bonne enquête, le procureur a classé sans suite. Et le procureur, il répond aux ordres du ministre ou du président. Fin juillet-début août – le moment bien choisi –, je reçois un courrier dans lequel ils stipulent que ma plainte est classée sans suite, le motif étant qu’on ne pouvait pas savoir qui avait tiré cette grenade. Mais, pour Gabriel, ils ont trouvé qui c’était précisément. Ça a changé quelque chose ? Rien. Le procureur a décidé de classer l’affaire…
...

Je m’attendais au minimum à être reçu ! Même pas ! Ça m’a subjugué. Je n’ai pas été auditionné alors que je suis le premier concerné, tout de même. Les policiers, les donneurs d’ordre, tous ont été entendus sauf moi !
...

Même si on ne se fait pas d’illusions, même si j’avais très peu d’espoir, ne pas être convoqué du tout, ça m’a choqué. C’est pour ça, quand on dit qu’il y a une enquête ouverte, ça ne veut rien dire. On verra bientôt que, parmi toutes les enquêtes ouvertes par l’IGPN, aucune n’aboutira. Du coup, je peux me porter partie civile. Mais est-ce qu’il y aura vraiment un procès ? Franchement, j’en mettrais pas ma main au feu – celle qui me reste. Il faudrait qu’on paye 2 700 euros pour être partie civile. On ne peut pas les sortir comme ça. Est-ce qu’on ne ferait pas mieux de les garder pour mes autres frais ? Avec ma mère, on hésite à laisser tomber le procès.
...

Je vois bien sur quelle corde ils jouent. Ils se disent : « On va leur compliquer la tâche, on va leur barrer la route, leur mettre des obstacles, et beaucoup de mutilés vont se décourager, vont abandonner, parce que le temps guérit de tout. » Mais je sais comment ça marche maintenant. On est obligés d’user toutes les procédures en France, et ensuite européennes. Je suis prêt à aller au bout. Ça va prendre beaucoup de temps, beaucoup d’années. Mais je ne lâcherai pas. J’ai tout mon temps maintenant. On fera ce qu’on a à faire. On lâchera pas jusqu’à ce qu’on soit reconnus comme victimes de violences policières.
...

dégressives. Je vis avec les indemnités journalières de la marine, soit avec 800 euros par mois. J’ai appris récemment que ma prothèse ne sera pas prise en charge par la MDPH. Je n’ai pas droit à la pension d’invalidité, et comme je suis retourné chez mes parents, je n’ai pas le droit au RSA non plus. J’ai dépensé tout ce que j’avais mis de côté les années précédentes. Je n’ai plus un euro sur mon compte.
...

La seule méchanceté, elle est venue des médias, direct, le soir du 9 février, un mec, un syndicaliste de la police je crois, a dit sur un plateau : « C’est bien fait pour sa gueule. »
...

La douleur la plus présente, c’est un phénomène de serrage, comme s’il y avait un étau qui englobait mon moignon et me serrait en permanence, c’est la douleur la plus insupportable, et elle est tout le temps là. J’ai aussi des sortes de décharges électriques, des fourmillements et une sensation de chaleur, de brûlure. Les douleurs fantômes, il faut ne plus y penser pour pas que ça gratte, mais c’est compliqué parce que plus t’essayes de ne pas y penser, plus t’y penses. Paradoxalement, mon moignon est très sensible au froid, et le soir, quand j’enlève ma prothèse, c’est un glaçon. On me dit que ces genres de douleurs peuvent durer pendant neuf ou dix ans. On m’a donné plein de trucs, contre les douleurs fantômes, le Lyrica, des codéines, mais j’ai arrêté, j’avais toujours mal même quand j’en prenais.
...

parler. J’ai toujours mes revendications d’avant, sur le pouvoir d’achat, mais je suis beaucoup plus révolté. J’ai beaucoup plus de colère. De voir ces flics devant moi armés jusqu’aux dents, de voir toujours cette répression, je ne dis pas qu’un jour je ne sauterai pas sur un flic.

Divry, Sophie. Cinq mains coupées (French Edition) (p. 106). Seuil. Édition du Kindle. 




La source et le moteur du problème

L'Égalité, c'est mieux : Pourquoi les écarts de richesse ruinent nos sociétés (traduction de l'éditeur québécois) ou Pourquoi l'égalité est meilleure pour tous (traduction de l'éditeur français) (titre original The Spirit Level: Why More Equal Societies Almost Always Do Better) est un livre de Richard Wilkinson et Kate Pickett paru en 2013.





La guerre sur plusieurs front...






Des vidéos à voir pour aller plus loin:


LE REALISATEUR S'EXPRIME SUR SON FILM

https://www.youtube.com/watch?v=RXqAVbLEyUc



CRITIQUE CINEMA UN TRES BON FILM, UN FILM CITOYEN

https://www.youtube.com/watch?v=jX4umLi3iq4



LE MEDIA

HUMA

https://www.youtube.com/watch?v=BuitdsJorx4


LE MEDIA

https://www.youtube.com/watch?v=66BrrEDc5XU


ALLO PLACE BEAUVAU

https://www.davduf.net/alloplacebeauvau


DUFRESNE : GRAND ECRAN, DEBAT, MAX WEBER

https://www.youtube.com/watch?v=ElqxxV23djo


DUFRESNE : MAX WEBER

https://www.youtube.com/watch?v=j8Xn_K-bQpE


UN SOIR PEUR DES MANIFS

https://www.youtube.com/watch?v=xogjMRm8U4I&t=9s


PARCOURS du Bérurier Noir aux Gilets Jaunes

https://www.youtube.com/watch?v=S2aUp2_e7xM


ART QUENTIN DULUERMOZ

https://laviedesidees.fr/La-police-de-proximite-un-projet.html

Jean-Marie





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 qui concerne :

FESTIVAL RENCONTRES CINE
Université populaire du pays de Vierzon
Café repaire
Médiathèque Vierzon
Micro-Folie (Espace Maurice Rollinat)
Office de tourisme
Vierzon Cinéma
Rassemblement solidarité enseignant
Lettre d'Ariane Ascaride
Musée de Vierzon expo photos
Quinzaine du goût
Octobre rose
Filmage au collège Camus
Ciné Rencontres présenté dans Vierzonitude
Des livres locaux
Expo Kanak Musée du Berry
Puzzle Centre en forêt
Promenade philosophique
BNF à Vierzon?
Le Café Ô Berry
Nouveaux tarifs Ciné Lumière
Cours de cinéma en ligne ciclic



(Depuis le début du blog:)


Le 26 janvier 2020, le blog a franchi le cap des 200 000 vues:














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Précision utile: les séances Ciné Rencontres sont ouvertes à tous, et pas seulement aux membres de l'association. Même chose pour notre pot d'après débat.







Facile de nous trouver. Il suffit de taper "cinégraphe" sur Google par exemple...
(capture d'écran du 27 septembre 2017).










Tiens... tiens... "abondante et variée"... Et si Ciné Rencontres y était un peu pour quelque chose en fin de compte?...


Autres tarifs au Ciné Lumière: 


Berry républicain 2 décembre 2017



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