dimanche 6 juillet 2014

Actu juillet 2014


27 juillet 2014

               Même si les besoins en produits audiovisuels sont pratiquement illimités dans la société moderne, il est rare qu'une réussite aussi précoce ait lieu. C'est l'occasion, en vacances, de la saluer, en souhaitant que ce puisse être de bon augure pour tous les jeunes qui s'engagent sur le même chemin.




Berry républicain 26 juillet 2014





26 juillet 2014



Voici une actualité triste et dont on se serait bien passé, mais qu’il n’est pas question d’ignorer, et pas seulement au motif qu'elle occupe légitimement la une du journal local.




Brassens le chantait dans Le Temps passé : « Une fois qu’ils ont cassé leur pipe,… Les morts sont  tous des braves types. » Eh bien, cet adage n’a pas cours ici. Tous ces éloges qu’on pourrait croire convenus, pour dithyrambiques qu’ils soient, n’ont rien de forcé. Voilà un personnage classé à droite et de surcroît patron, qui a acquis une large estime dans une ville traditionnellement de gauche, et même, osons ce gros mot qui correspond pourtant à l’histoire, communiste. Pas besoin de chercher beaucoup plus loin des brevets de qualité humaine. Le mot humanisme lui colle à la mémoire, et il lui va comme un gant.






Rien à rajouter au beau portrait qu’en fait ici Rémy. Juste peut-être deux petits détails qui pour nous, et on espère toujours que ce ne soit pas que pour nous seuls, ont de l’importance. Tout le monde sait ici qu’en matière brélienne le fondateur de Vierzoul (Vierzon-Vesoul) et le précédent président de Ciné-Rencontres fut aux premières loges dans les deux cas.  Le premier, c’est l’attention et la sympathie avec lesquelles Max Albizzati a écouté nos arguments pour associer d’une manière positive l’image de Jacques Brel et celle de Vierzon. Le second, mais antérieur chronologiquement, c’est l’efficacité avec laquelle il a participé à la concrétisation du projet du Ciné Lumière, rien que ça, à Vierzon. Je me souviens qu’ils n’étaient pas si nombreux, ceux qui y croyaient ou qui l’approuvaient.
Voilà pourquoi entre autres je l’ai salué lors de sa dernière présence à notre soirée Ciné-Rencontres du 11 avril 2014 consacrée au film Noé. Qu’on me permette de reproduire ici ce que j’écrivais dans le compte-rendu de la séance, et qu’il y ait au moins une chose dont je ne sois pas malheureux aujourd’hui, c’est de n’avoir pas attendu le dernier moment pour le dire :

Et puisque la soirée était oecuménique, aucune considération d'aucune sorte ne m'empêchera de dire que j'ai revu dans cette grande salle du Ciné-Lumière Max Albizzati, qui fait partie des personnes qui ont oeuvré en première ligne pour que ce magnifique cinéma fût créé quasiment à partir de rien, autre type de création ex nihilo nous nous bénéficions tous actuellement.








24 juillet 2014
Voici un film local largement tourné dans le charmant village de Gargilesse, dans l'Indre, qui abrita en leur temps les amours automnales de George Sand auprès de l'artiste graveur et auteur dramatique Alexandre Manceau.

(Notons l'accompagnement de la Région Centre, notamment sur le plan financier).

Berry républicain, 23 juillet 2014, page locale

Berry républicain, 23 juillet 2014, page cinéma nationale





22 juillet 2014

Une animation sur un thème social qui nous en rappelle d'autres...


Et puisqu'il s'agit d'une projection privée, il ne me paraît pas absurde de le retenir pour une éventuelle séance Ciné-Rencontres à partir de la rentrée de septembre. A cette fin qu'on ne l'oublie pas, je le range sous le libellé FILMS SOUHAITES.



Pavel vit à Marcilly, un village des bords de Loire. Il travaille chez Martinsson, l'industriel local, comme son père et son grand-père avant lui. Bientôt, il en est convaincu, il épousera Anja, son amie d'enfance, sa presque-soeur. C'est comme ça, c'est écrit. Pourtant, à 18 ans, Pavel se heurte à une réalité moins docile, moins prévisible, plus violente. Simultanément, il perd son travail à l'usine et voit Anja, rêvant d'émancipation, s'éloigner peu à peu. Pavel a soudain le sentiment d'être effacé de son propre avenir. Il ne le supporte pas. Il préfère, de lui-même, s'effacer du monde.









Le réalisateur d' Après la bataille a déjà réalisé trois courts-métrages.
Après la bataille est le premier long-métrage de Simon Leclère. Mais le réalisateur orléanais a déjà plusieurs cours-métrages à son actif. Le cinéaste a autoproduit le premier d'entre eux, En attendant, dès 1997, co-réalisé avec Jan Speckenbach, parallèlement à ses études de lettres et de cinéma. Il a réalisé ensuite la Mort dans l'âme, en 1999, puis l'Adieu au pirate, en 2002. Il a aussi à son actif deux documentaires, l'Arche de Noé (2006) et Minimum vital (2007).
En 2009, Simon Leclère s'est attelé au tournage du film les Vivants, court-métrage issu d'un chantier de travail avec un groupe de comédiens de théâtre.


Le réalisateur porte le projet de son long-métrage depuis plusieurs années. Il s'est consacré à l'écriture du film dès 2007, au sein de l'atelier scénario de la Fémis, école nationale supérieure des métiers et du son. Le scénario était en lice aux Trophées du meilleur scénario 2008. Également producteur, Simon Leclère a créé la société Alter ego en 2001, à Orléans, et a produit une dizaine de films, des fictions et des documentaires, dans les cinq années qui ont suivi.
SOURCE :


Voir aussi :

L’entreprise Parker Denison investit soixante-dix de ses salariés dans l’expérience du tournage d’un film au sein de sa propre usine. Les caméras de Perspectives Films ont commencé à tourner aujourd'hui pour raconter une histoire d'amour sur fond de crise sociale, et resteront quelques semaines dans le Vierzonnais, avant de filmer à Saumur.





A noter, la pré-annonce de Cineuropa de juin 2013 :


3/06/2013 - Les prometteurs Paul Bartel et Solène Rigot sont en tête d’affiche du premier long du réalisateur, une production signée Perspective Films

Depuis deux jours, Simon Leclère, remarqué avec ses courts et avec sa victoire en 2008 aux Trophées CNC du premier scénario, tourne à Vierzon son premier long métrage : Après la bataille. Au casting se distinguent deux jeunes très prometteurs : Paul Bartel (révélé par Les Géants, récemment à Cannes dans Michael Kohlhaas et à l’affiche le 26 juin dans Les petits princes) et Solène Rigot (découverte dans 17 filles et que l’on verra bientôt dans Tonnerre et Lulu femme nue). A leurs côtés figurent notamment Gilles Masson, Jean-Paul Commin et Bénédicte Loyen.



Produit par Isabelle Mathy et Delphine Schmit pour Perspective Films, Après la bataille bénéficie d’une coproduction des Belges de Iota Production, d’une avance sur recettes du CNC et du soutien des régions Centre et Pays de Loire où vont se dérouler les six semaines de tournage jusqu’au 20 juillet (à Vierzon d’abord, puis entre Angers et Saumur). La distribution France sera pilotée par Jour2Fête, les ventes internationales étant en négociations avancées.






Solène Rigot.
Vous l’avez vue dans des films Ciné-Rencontres, mais vous ne vous souvenez plus exactement où ? Alors, une petite aide est la bienvenue. D’abord, ce fut en 2012 dans Renoir (Gilles Bourdos, janvier 2012, avec Michel Bouquet), puis en 2013 dans Lulu femme nue, et très récemment, dans La belle vie.



Auto-références :



Bien entendu, c’est aussi un film Ciclic :


Depuis le 11 juin et jusqu'au 04 Juillet 2013, le réalisateur orléanais Simon Leclère s'installe avec son équipe en région Centre pour le tournage de son premier long métrage : "Après la Bataille".
 Produit par la société Perspective Films, ce projet a notamment été soutenu à l'écriture ainsi qu'à la production par Ciclic-Région Centre en partenariat avec le CNC et par la région Pays de la Loire .
8 techniciens, 4 comédiens et une soixantaine de figurants de la région participeront activement à ce film qui se tournera principalement dans les villes de Vierzon et Vouzeron (Cher, 18). Le tournage se déplacera ensuite dans le Maine-et-Loire (8 au 19 Juillet).









Et puisque le film de Mordillat a été évoqué à la fin de l'article, osons nous rafraîchir un peu la mémoire, le roman ayant donné lieu à une adaptation cinématographique.

Les Vivants et les Morts est un feuilleton français de  Gérard Mordillat  en 8 épisodes de 52 min, adaptée du roman du même auteur, produit par Archipel 33 et sorti en octobre 2010 sur la chaîne France 2.




Marie Denarnaud (Dallas), Robinson Stévenin (Rudi)

Les Vivants et les Morts raconte l'histoire d’une usine et de ses ouvriers dont un lointain groupe financier a décidé de se débarrasser après en avoir récupéré les actifs. La révolte et le drame social qui s'emparent de la petite ville du Nord où elle est implantée a des répercussions jusque dans la vie intime des travailleurs qui perdent leur emploi. Le récit, en forme d'épopée, met en scène une cinquantaine de personnages et est organisé autour de l'histoire d'amour de Rudi et Dallas, jeune couple dont la vie se trouve bouleversée par les événements.







Le tournage a eu lieu en partie à Hénin-Beaumont sur l’ancien site de l’usine Sublistatic, dont la fermeture avait déclenché un long conflit entre les salariés et la direction.












6 juillet 2014

Bonjour à toutes et tous !

Je vous adresse ce message et sa pièce jointe nous invitant 
en mairie pour la réception d'un groupe de jeunes venus 
de Rendsburg. Certes, cette invitation interessera davantage 
les germanistes de l'up de Vierzon, mais tout le monde est 
généreusement convié.

Bien à vous
Hugues Dallois up de Vierzon


       Ce qui est une suite à :

 Bonjour Hugues, 
je vous adresse ci-joint l'invitation à la réception donnée à l'occasion 
de la venue d'un groupe de 10 jeunes et de leurs accompagnateurs, 
de Rendsburg.

Pouvez vous informer les membres de l'université,

bien cordialement,

 Joanna










Rendsburg, la ville où l'on apprend rapidement et sans peine - je parle d'expérience - le sens exact des adjectifs gemütlich et sympathisch.


Berry républicain  17 juillet 2014

Berry républicain  21 juillet 2014










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